de SINGARREAU
ou SAINT-GARRAUD
blason de la famille Saint-Garreau
D'argent à trois hures de sanglier de sable.

Branche de PRESSAC :
I) de SINGARREAU Jehan.
Il fut père de :

II) de SINGARREAU Simon, né vers 1470, seigneur de Sainte-Terre (Benest).
Il fut échevin de la ville d'Angoulême en 1522, et assesseur de cette ville.
Il fut aussi seigneur de Pressac par son mariage, avec Anne de Pressac (Saint-Quentin de Chabanais).
Il participa à l'élaboration des Coutumes d'Angoumois, et figura le 10 septembre 1514, sur la liste des magistrats signataires du procès-verbal de "l'arrest desdits coutumes".
Ils eurent pour enfants, au moins :
  1) Marie, qui épousa le 7 mai 1524, Bertrand d'Assier (Dassier), seigneur de la Courterie et de Chassac.
2) Jean, qui suit.

III) de SINGARREAU Jean, écuyer, seigneur de Pressac et de Sainte-Terre.
Il épousa Anne Caillou, d'une riche famille d'Angoulême.
Le prince de Chabanais autorisa Jean à reconstruire le château de Pressac, qui était en ruine encore en 1543.
Il y fit faire de nombreuses modifications, entre autres, il fit supprimer le mur d'enceinte Nord-Ouest de la porte, fit abattre la tour Sud, fit allonger le corps de logis d'environ 2 mètres, et fit faire de nouvelles salles, ainsi qu'un grand escalier de pierre.
Il fit aussi sculpter ses armes sur la porte d'entrée, entourées du collier de Saint-Michel.
Il eut pour enfant, au moins :

IV de SINGARREAU Jean, (alias Philippe), écuyer, seigneur de Sainte-Terre, de Pressac, et de la Vimière.
Il épousa Catherine, alias Marguerite, de Bermondet, et n'en eut qu'une fille :
  1) Guyonne, qui épousa le 15 janvier 1613 à Pressac, Raymond d'Abzac de La Douze.
Elle décéda en 1622.
(Devenu veuf, il épousa en secondes noces Anne d'Alloue).
Jean, eut deux autres filles naturelles, qu'il fit légitimer en 1627 :
  2) Marie Guyonne, qui épousa Jean Plument, écuyer, sieur d'Ecossac.
Elle décéda le 4 août 1659.
3) peut-être Léonarde, qui épousa Guichard Gailhou, seigneur de la Forgerie et de Sainte-Terre. (Ils demeuraient au logis de Sainte-Terre vers 1631).
On peut lire sur le montant droit de la porte de la chapelle du logis de Sainte-Terre, gravée dans la pierre : "Léonarde De Singarreau AV".

Branche de TRALLEBAULT (alias TRALBOT) :
I) de SINGARREAU Raymond, écuyer, seigneur du Treuil, Savignac, etc...
Il fit le 12 octobre 1648 un échange de biens avec François de Montfreboeuf, écuyer, seigneur de Madalye.
Il fut maintenu noble par M. Barentin, le 10 décembre 1667.
Il épousa Marie Jourdain, fille de Louis, écuyer, seigneur de Trallebaud, alias Traslebost (Tralbot de nos jours sur la carte IGN, en Châtain - Vienne).
Elle en était veuve le 2 mars 1680, et décéda elle-même en 1684.
Ils eurent pour enfants, au moins :
  1) Charles, qui suit.
2) Jeanne, qui épousa en premières noces, Daniel Jourdain, écuyer, seigneur des Villanières; et en secondes noces, le 27 novembre 1674, François de Montfreboeuf, écuyer, seigneur de Beauregard.

II) de SINGARREAU Charles, écuyer, seigneur de Trallebault, du chef de sa mère.
Il épousa Suzanne de Félix, ou Fielix, fille de François, receveur des décimes en Bourgogne, et gentilhomme servant le roi.
De cette union naquirent :
  1) Charles, qui suit.
2) Suzanne, qui épousa en premières noces, Joseph Sylvain de Savatte de Gennebrie, écuyer; et en secondes noces, Jean Baptiste Joseph Joubert, dit le chevalier de Cissé.

III) de SINGARREAU Charles, écuyer, seigneur de Trallebault, etc...Il partagea le 3 janvier 1719, la succession de Marie de Cléré, sa belle-mère, avec ses co-héritiers.
Il épousa en premières noces Madeleine de Pérés, fille de Jacques et de Louise Garnier.
Ils eurent pour enfants :
  1) Louis, qui suit.
Charles épousa ensuite en secondes noces, le 28 juin 1717, dans l'église de Châtain, Madeleine Le Breton, fille d' Hippolyte, écuyer, seigneur de la Nouhe, et de feu Marie de Cléré. Le contrat de mariage ne fut passé que le 23 février 1720).
Elle décéda le 11 novembre 1767.
Charles était décédé le 11 mars 1751.
De cette seconde alliance naquirent :
  2) Louise, reçue religieuse de choeur au monastère de Montazay, le 21 juillet 1739.
3) Marie, reçue religieuse de choeur au monastère de Montazay, le 21 juillet 1739.
4) Susanne, qui épousa le 20 janvier 1755, Louis de La Porte du Theil, écuyer, seigneur des Forges.
Elle décéda le 31 mai 1780.
5) Madeleine, qui fut reçue religieuse au couvent de la Puye, le 2 juillet 1743.

IV) de SINGARREAU Louis, écuyer, seigneur de Trallebault, etc..., baptisé à Châtain (Vienne), le 15 septembre 1711.
Il était en 1742, sous la garde noble de son père.
Il partagea avec Susanne, sa soeur, le 3 février 1752, la succession de leur père.
Il épousa en premières noces, à Châtain, par contrat du 14 février 1735, Marie Marguerite de Pons, (née à Pleuville le 9 décembre 1716, décédée à Pleuville le Ier avril 1735), fille de feu Antoine, écuyer, seigneur de Fellet (Pleuville), et de Anne Renée de Saint-Laurens.
Ils eurent pour enfant :
  1) Marie Renée, née à Pleuville le 4 janvier 1736, et qui devint supérieure de la communauté des Ursulines de Poitiers.
Elle décéda à Poitiers le 21 février 1826.
Devenu veuf, Louis épousa en secondes noces, à Charroux (Vienne), le 3 janvier 1741, (par contrat passé devant Rivet, notaire à Ambernac), Marie-Anne de James (née à Saint-Laurent de Céris le 13 janvier 1716), fille de Hélie, écuyer, seigneur des Frégnaudies, et de Jeanne de Pons.
La cérémonie religieuse eut lieu à Charroux (Vienne), le 3 juillet suivant.
Il testa le 19 décembre 1780, et décéda à Châtain le 20 décembre suivant, âgé de 70 ans, où il fut inhumé le lendemain.
Il eut pour enfants de sa seconde union :
  2) Jeanne, qui épousa en premières noces, en la chapelle du logis de Tralbot à Châtain, Jacques du Verrier, (né à Pleuville le Ier décembre 1727, décédé à Pleuville le 16 février 1770), écuyer, seigneur de Maltard et du Pavillon, gendarme de la garde du roi, qui l'institua sa donataire le 29 juillet 1766.
Ils n'eurent pas de postérité.
Elle épousa en secondes noces à Limoges (Haute-Vienne), paroisse Saint-Jean dans la Cité, le 30 octobre 1773, Etienne Brandy, (né à Saint-Pardoux-Corbier - Corrèze, le 11 avril 1741), écuyer, seigneur de Leypinas, de Saint-Pardoux et autres lieux, greffier rapporteur au Point d'Honneur de la sénéchaussée de Bellac, maire de Meursac (Haute-Vienne).
D'où postérité.
3) Louis Charles, qui suit.
3) Jean, qui fera la seconde branche.
3)Joseph, né et baptisé à Châtain le 15 octobre 1748, dit Monsieur de La Richardière.
Il décéda au Cap Français (Haïti).
5) Marie Anne, née à Châtain le 6 juillet 1750 et baptisée le lendemain.
Le 7 février 1780, elle épousa à Châtain, Gaspard Pierre de Saint-Savin, écuyer, seigneur de Malbuffe (né à Pressac le 7 novembre 1756, décédé à Pressac le 26 fructidor an VI - 12 septembre 1798).
Elle décéda à Availles-Limouzine le 26 juillet 1819, sans postérité.
6) N., qui devint religieuse. Elle fut supérieure du couvent de la Puye.
7) Louise, qui fut religieuse et supérieure du couvent de Montazay.

V) de SINGARREAU Louis Charles, chevalier, seigneur de Tralbot, et de Juyers (du chef de sa femme), né à Châtain le 20 juillet 1745 et baptisé le lendemain.
Nommé capitaine de grenadiers au bataillon provincial de Poitou, il fut reçu dans chevalier dans l'ordre Royal et Militaire de Saint-Louis.
Il émigra en 1791, et fit partie de la compagnie formée des officiers du régiment de Poitou-Infanterie.
Il fit partie en 1801, de la 6ème compagnie du régiment noble à cheval d'Angoulême.
Le 4 août 1774, il épousa à Champagne-Mouton, Marie Anne Henriette de Goret, (décédée le 19 septembre 1793 au logis de Tralbot à Châtain), fille de Louis Olivier, chevalier, seigneur de Juyers, et de Susanne Prévost de Sansac de La Vauzelle. (Begaud, notaire à Champagne-Mouton)
Il décéda à Juyers (Champagne-Mouton), le 13 mars 1809.
Ils eurent pour enfants :
  1) Louis Amédée, né à Champagne-Mouton le Ier mai 1773et baptisé le lendemain.
Il fut capitaine de cavalerie et breveté chevalier de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, le 6 décembre 1814.
Il décéda le 29 juillet 1851, sans alliance et sans postérité.
2) Célestin Marie Olivier, baptisé à Champagne-Mouton le 20 mai 1774.
Il émigra avec ses frères, et servit avec eux.
Il décéda en 1795, en Hollande, des suites de ses blessures.
3) Henri Julien, né à Champagne-Mouton le 9 avril 1775, et baptisé le lendemain.
Il émigra en 1791.
Incorporé, avec ses frères, dans la compagnie formée par les officiers du régiment de Poitou, ils firent la campagne de 1792, à l'armée des Princes.
Ils passèrent ensuite dans la légion de Béon en 1792, et firent toutes les campagnes jusqu'à la prise de Bois Le Duc, où ils échappèrent au massacre de leurs camarades.
Ils entrèrent en qualité de cadets gentilhommes dans les hussards d'Yorck, et firent avec ce corps les campagnes de Hollande et de Hanovre, jusqu'à l'embarquement des troupes à Coukxaven (Hanovre) pour l'Angleterre. Ils suivirent ce corps à Saint-Domingue, puis à la Jamaïque, et revinrent en Angleterre avec le grade de capitaine de hussards, qu'ils avaient acquis en passant par tous les grades intermédiaires.
Ils furent licenciés en 1801, et rentrèrent en France en 1802.
Ils furent reçus chevalier de Saint-Esprit par le comte d'Artois, le 10 décembre 1814, et furent nommés capitaines pour prendre rang à partir du Ier septembre 1799, par brevets du 27 janvier 1815.
Officier de cavalerie, Henri Julien fut breveté chevalier de l'Ordre Roayl et Militaire de Saint-Louis, le 10 décembre 1814.
Ils avaient reçus plusieurs blessures dans le cours de leurs campagnes, et notamment à l'affaire du 16 juin 1794, en Hollande, où le plus jeune fut atteint de trois coups de sabre.
Il testa en faveur de Mme de Clervaux (Marie Aimée de SINGARREAU), et décéda le 28 octobre 1850 à Champagne-Mouton, sans alliance ni postérité.
4) Jean Marie Auxence, né à Champagne-Mouton le 16 juillet 1776.
Il décéda à Châtain le 29 novembre 1782, et fut inhumé le lendemain.
5) Jean Anselme, né à Champagne-Mouton le 16 juillet 1776.
6) Thérèse, née à Champagne-Mouton le 26 août 1778, et baptisée le lendemain.
7) Pierre, né et baptisé à Châtain le 14 octobre 1782.
Il décéda à Châtain le 16 octobre 1782 et fut inhumé le lendemain.

Seconde branche :
V) de SINGARREAU Jean, né vers 1747, seigneur de la Barre, puis de Maltard, par la vente que lui en fit Jeanne, sa soeur, le 11 décembre 1773.
Breveté chevalier de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, après avoir été gendarme de la garde du roi, il fut pensionné du roi après la réforme de ce corps.
Il épousa en premières noces, le 12 février 1775, Marie de Bernon, fille d'Etienne, écuyer, seigneur de Puymérigou, et de Louise de Nollet.
Ils eurent pour enfant :
  1) Marie Agathe, née et baptisée à Châtain le 27 janvier 1781.
Elle décéda à Châtain le 7 janvier 1783, et fut inhumée le lendemain.
2) Marguerite Jeanne, née à Châtain le 31 juillet 1782.
Il épousa en secondes noces, Marie Rose Guichard des Ages (née à Pressac le 3 septembre 1768, décédée à Hiesse le 22 décembre 1840), fille de François Gaspard, écuyer, seigneur des Ages, et de Marie Babaud de Logerie.
Jean décéda à Maltard (Pleuville), le 2ème jour complémentaire an XIII (19 septembre 1805).
De sa seconde union était né :
  2) Pierre Frédéric, qui suit.

VI) de SINGARREAU Pierre Frédéric, né à Maltard (Pleuville), le 19 floréal an III (8 mai 1795).
Il fut maire-adjoint d'Availles-Limouzine.
Le 6 juin 1816, il épousa à Availles-Limouzine (Vienne), Françoise Désirée Corderoy La Bussière (née à Pressac le 3ème jour complémentaire de l'an VII (19 septembre 1799, décédée à Pressac le 17 décembre 1866), fille de Nicolas, sieur de la Bussière, et de Marie Mallebay.
Pierre Frédéric décéda à la Jarrige (Pressac), le 30 juin 1855.
De son union avec Françoise Désirée naquirent :
  1) Marie Aimée, née à Pressac le 15 janvier 1824.
Elle épousa à Brigueuil, le 4 avril 1837, Charles Augustin, marquis de Clervaux, maire de Montrollet (né à Poitiers vers 1813, décédé au château de Montrollet le 17 septembre 1782).
D'où postérité.
2) Marie Elidie, née à Pressac le 15 janvier 1824.
Elle épousa à Hiesse le 5 février 1846, Pierre Bugeon (né le 18 février 1821 à Availles-Limouzine).
Marie Elidie décéda à Champagne-Mouton, le 30 janvier 1898, d'où postérité.
3) Marie Emilie, née à Brigueuil le 8 janvier 1828.
Le 15 septembre 1845, elle épousa à Hiesse Louis Alphonse Larue (né à Nieul le 4 avril 1821).
Elle décéda à Confolens le 18 mars 1905, d'où postérité.

Branche de la GRANGE de QUAYRE (Chassenon) :
Cette branche serait issue de celle de Pressac.
- de SINGARREAU Jean, écuyer, seigneur de la Cour (en Saint-Maurice des Lions ?), et de la Grange Nesmond (ancien nom de la Grange de Quayre).
Il fut capitaine de cavalerie, chevalier de Saint-Louis.
Il avait épousé Marthe Gertrude Françoise d'Asnières de La Redortière.
Il décéda en 1789, et de ce fait, ne put être électeur de la noblesse. Ce pouvoir fut donc dévolu à sa veuve.
(Elle se remaria en secondes noces, à 55 ans, avec Jacques Abraham d'Asnières, seigneur de Villefrance. Elle fut emprisonnée à Confolens le 24 pluviose an III (13 mars 1795), comme femme démigré. Son domaine ne fut pas vendu, et elle y décéda sans postérité, le 15 avril 1820. Son second mari décèdera le 2 février 1821).

- Le cadastre de 1834, indique la Grange de Quayre, comme indivis entre deux veuves :
  - Mme SINGARREAU (SAINTGARAUD) Léonard.
- Mme SAINTGARAUD-JILIBERT.

Branche du THEIL (Chirac) :
- de SINGARREAU Jean, seigneur du Theil.
Il épousa Jacquette d'Assier, fille de Jean, écuyer, seigneur de la Courterie et de Chassac, et de Philippe Blanc. (Elle décéda avant le 10 avril 1537).

- de SINGARREAU Jean, écuyer, seigneur du Theil.
Il épousa Suzanne de Barbarin, veuve de Jérôme de Saint-Laurent. Elle déclara en 1689, que son mari ne possédait aucun fief, et que comme tutrice de ses enfants de son premier mariage, elle possédait le fief des Châlards, valant 20 # de revenu.
(Abbé Adolphe Mondon : Notes historiques sur la baronnie de Marthon en Angoumois.)

- de SINGARREAU Pierre, sieur du Theil, paroisse de Chirac.
(Nobiliaire de la généralité de Limoges).

- de SAINT-GARRAUD Jean, écuyer, seigneur du Theil.
Il épousa Catherine Guyot, paroisse Saint-Sébastien,( Chabanais), en 1789.
Il est dit y avoir à Chabanais, une maison SAINT-GARRAUD. Il s'agit d'une maison de ville à tour d'escalier.

En 1789, on assiste à l’affermage des dîmes de Chirac. C'est maître Drinaud notaire à Confolens qui passe la ferme des dîmes :
«  Aujourd’hui 21 juin 1789, jour de dimanche, à la porte et principale entrée de l’Eglise paroissiale de Chirac issue de la messe de la dite paroisse, le peuple sortant de l’entendre, assemblés au son de la cloche en la manière accoutumée, ce requérant, Messire Jean PLANTEAU prêtre curé de la ditte paroisse et demeurant en la maison presbytérale dudit lieu , Nous notaire royal en Angoumois soussigné demeurant en la ville de Confolens, sommes avec nos temoins cy après nommés transportés au dit bourg de CHIRAC sur la place étant devant de la ditte Eglise ou étant en la présence de Messire François de SAINT GARREAU, écuyer, Sieur du THEIL, faisant pour Dame Catherine Guyot veuve de Messire Jean de SAINT GARREAU, escuyer demeurant à Chabanais, et en l’absence des chapelains de CREMAUX , DES BARBARINS, du Sieur DESROCHES et de M. de la RAPIDIE de TISSEUIL et de M. l’abbé Commendataire de LESTERPS, lesquels comparants ont déclarés à haute et intelligible voix à tous les habitants de ladite paroisse et autres cy assemblées, que ce jourd’huy heure présente, seront mises encheries et adjugées aux plus offrants et derniers enchérisseurs les dixmes de bleds de laditte paroisse de CHIRAC, appelées le haut CHIRAC, en la manière accoutumée, village par village, enclave par enclave… »
(extrait de l'ouvrage de M. José DELIAS : CHIRAC).

- de SINGARREAU Gilbert, écuyer, seigneur du Theil, et François, furent présents à la rédaction des cahiers de doléances pour la noblesse, en 1789, à Angoulême.
L'administration du canton de Chabanais, le 19 floréal an VI (26 avril 1798), appliqua les lois des 3 brumaire an IV, et 9 vendémiaire an VI, qui excluaient de toute fonction publique les parents émigrés, nobles et anoblis. Il fut donc remplacé, à cette occasion, par Reygondeau Lavalette.
( Archives de la Charente)

- de SINGARREAU du THEIL Louis, fils de François et d'une demoiselle Sardain de Fonfais de La Soutière.
Il serait décédé à Chabanais en 1906, sans postérité.

Noms isolés :
- de SINGARREAU Françoise, née vers 1525. Elle épousa Jacques Barbarin.

- BEAUCHET et FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou.
- Alexandre de GRANDMAISON : Informations généalogiques sur la branche de Tralbot.
- Jean-Robert CHARRAUD : Histoire de Benest, enclave poitevine de Charente.
- Charles DARRAS, opus. cité de Rempnoulx du Vignaud : Sainte-Terre en Benest, extraits de l'article de l'ouvrage Châteaux, logis, et demeures anciennes de la Charente. (Librairie Bruno Sepulchre)
- José DELIAS : Pressac en Saint-Quentin de Chabanais, extraits de l'article de l'ouvrage Châteaux, logis, et demeures anciennes de la Charente. (Librairie Bruno Sepulchre)
- Jacques DUMONT : Sainte-Terre en Benest, et Pressac en Saint-Quentin de Chabanais, extraits de l'article de l'ouvrage Châteaux, manoirs et logis de la Charente. (Association Patrimoine)
- Jacques DUMONT : La Grange de Quayre, en Chassenon, extraits de l'article de l'ouvrage Châteaux, manoirs et logis de la Charente. (Association Patrimoine)
- les données généalogiques de la branche du Theil, en Chirac, m'on été transmises en majorité, par M. Jean-Philippe SINGARAUD.
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