de BARBEZIÈRES |
Famille noble et ancienne, originaire de la principauté de Marcillac (Marcillac-Lanville), où se trouve une paroisse de Barbezières située sur les confins du Poitou et de l'Angoumois, dont elle a pris le nom. |
Fuselé
d'argent et de gueules. (VERTOT). |
D'argent à
6 fusées de gueules en fasce. (d'AGUESSEAU). On trouve aussi D'argent à une fasce fuselée de gueules de 5 pièces. (BARENTINES). |
Noms isolés : |
- de BARBEZIÈRES (le seigneur de), obéit à la semonce donnée par Philippe Le Bel, roi de France, pour se rendre aux armées en 1303. (Bibliothèque nationale). |
- de BARBEZIÈRES Philippe, était en 1531, prévôt des maréchaux (?) du seigneur de La Trémoille, dans l'île de Ré. Huguenot, il fit partie en 1534, de la maison du vicomte et de la vicomtesse de Thouars (Chartrier de Thouars). |
- de BARBEZIÈRES, (le seigneur de), promit de servir le roi de sa personne, à défaut de Jean Acarie, seigneur du Fief-Archier, le 30 mai 1536, au ban de Saintonge tenu par M. de Morthemer. |
- de BARBEZIÈRES Françoise, épousa Bernon Joubert, écuyer, seigneur de Nieuil, alliance dénoncée dans le contrat de mariage de son fils Léonard, avec Jeanne de La Béraudière, le 5 mars 1549. (O. Regnauld). |
- de BARBEZIÈRES N. Le Ier août 1549, il était gouverneur de Taillebourg (Archives Historiques du Poitou - 12). |
- de BARBEZIÈRES Catherine, épousa en 1550 Jean de Lestang, écuyer, seigneur de Rulles. |
- de BARBEZIÈRES Anne, épousa vers 1550 Jean Bouhier, écuyer, seigneur de Beauregard (D'après le registre de Malte, Rochefoucauld-Bayers, 1638). |
- de BARBEZIÈRES de BOIS-BERTON Jean. Il fut reçu chevalier de Malte en 1550. (Vertot). |
- de BARBEZIÈRES Jeanne, dame de la Chaume. Elle devait aide à François de Pontlevin, écuyer, seigneur de la Tablerie, pour le service du ban de Saintonge convoqué en 1553. |
- de BARBEZIÈRES François, de Saint-Martin, et autre - de BARBEZIÈRES François, et - de BARBEZIÈRES Jean, servirent comme archers dans la compagnie de 50 lances, sous les ordres de M. de Gonnord, qui fit montre à Chauvigny le 15 janvier 1555. |
- de BARBEZIÈRES Antoine, écuyer, seigneur de Saint-Mary et de Cherde en partie. Il était en 1557 homme d'armes dans la compagnie du duc de Montmorency. |
- de BARBEZIÈRES-Chèmerault, chevalier de l'ordre du roi, et ses deux fils, concoururent à la défense de Poitiers en 1569. (Liberge). |
- de BARBEZIÈRES N., habitant La Rochelle, livra en 1569 à la ville, pour le service de la cause protestante, deux cloches qu'il gardait en sa maison. |
- de BARBEZIÈRES Renée, veuve en premières noces de René Gauthier, écuyer, seigneur du Fresne, épousa en secondes noces le 31 mars 1571, André de Montalembert, co-seigneur de Vaux et seigneur d'Estrades. (Généalogie Montalembert). |
- de BARBEZIÈRES Louis, écuyer, seigneur de Mongeret. Il épousa le 27 mai 1570, Antoinette de Rochechouart, fille de Claude et de Jacqueline de Baudot. Elle décéda le 15 janvier 1571. (Généalogie Rochechouart). |
- de BARBEZIÈRES Pierre, était archer du vice-sénéchal d'Angoumois, en 1578. |
- de BARBEZIÈRES Marie, épousa Paul de Massougnes, écuyer, le 19 janvier 1603. (Mesnard, notaire à Marcillac). |
- de BARBEZIÈRES Louise, qui épousa Brice Graffart, trésorier principal provincial de l'extraordinaire des guerres en Angoumois, Saintonge, etc. Il devint seigneur, à cause d'elle, de Cramahé, dont il rendit aveu à l'évêque de Maillezais, le 18 janvier 1601. Louise en était veuve le 27 septembre 1617. |
- de BARBEZIÈRES N., fut tué le 7 janvier 1616, près de Nanteuil, dans un engagement avec l'ennemi. (Dictionnaire universelle de la noblesse, tome I, page 459). |
- de BARBEZIÈRES Jean, écuyer, seigneur d'Estrades. Il épousa Renée Jourdain, fille d'Antoine, écuyer, seigneur de Lavaux (Saint-Macoux - Vienne), et de Marguerite de Montalembert. (Jean-Claude VRILLAC). |
Filiation suivie : |
I) de BARBEZIÈRES Pierre Il aurait épousé Catherine Guinée, alias de Bourgon, fille de Guillaume, écuyer, sieur dudit lieu, paroisse de Ventouse. Elle en était veuve en 1426. Il semble qu'il eut deux fils, qui partagèrent le 28 mai 1436, et qui furent :
|
II) de BARBEZIÈRES Jean. Il eut semble-t-il dans son partage de 1436, l'hôtel de Barbezières, à cause de son droit d'aînesse. (D'après Guienne, Jean partagea avec son oncle Perrot de BARBEZIÈRES, le 28 mai 1436, les biens de son aïeul, et eut pour son droit d'aînesse comme représentant, Perrinet de BARBEZIÈRES, son père : l'hôtel et l'hébergement de Barbezières avec toutes ses clôtures anciennes...) (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD). Il semble qu'il se maria deux fois, et en secondes noces vers 1450, avec Amice Lhermite (peut-être sœur du grand prévôt de Louis XI). De cette union naquirent :
|
III) de BARBEZIÈRES Jean, écuyer, sieur de Barbezières, et de Bougon. Il épousa Clémence d'Orgemont. (Elle épousa en secondes noces Pierre Desmier, écuyer, sieur de la Mirandeet de Chenon). Il décéda avant 1485. En 1489, ses enfants étaient sous la tutelle d'André de BARBEZIÈRES, écuyer, sieur de Vitrac. Celui-ci fit en leur nom un partage avec Guillaume Desmier et Jacqueline de BARBEZIÈRES, sa femme, Guillaume de La Porte et Bernarde de BARBEZIÈRES, sa femme, qui étaient oncles et tantes des mineurs. Ces enfants étaient :
|
IV) de BARBEZIÈRES Philippe, écuyer, seigneur de Barbezières. Il reçut commission du roi, le 10 mai 1516, pour chasser et punir les malfaiteurs qui infestaient l'Angoumois. Il fit un accord le 18 août 1515, avec Jean de BARBEZIÈRES, écuyer, seigneur de Bourgon. Le 23 janvier 1497 (contrat passé devant J. Johannon, clerc, garde-scel à Saint-Jean d'Angély), il épousa Hélène de Fonsèque, fille de Rodrigue, chevalier, seigneur d'Eguré, et de Louise de Clermont. Ils eurent de très nombreux enfants :
|
V) de BARBEZIÈRES Charles, chevalier, seigneur de Barbezières, Péré. Il fut capitaine de Taillebourg. Comme tuteur des enfants de son frère Jacques, il rendit son compte de tutelle, le 18 décembre 1571. Il épousa le 13 juillet 1534, Jeanne Poussard, fille unique de Guy, chevalier, seigneur de Péré, et de Jeanne de Pontville. De cette union naquirent :
|
VI) de BARBEZIÈRES Charles, chevalier, seigneur de Barbezières, Péré. Il fut maintenu par les commissaires du roi en Poitou, le 19 avril 1599, comme chef de sa maison. A cette occasion, il prêta ses titres à Méry de BARBEZIÈRES-CHEMERAULT, son parent, nommé chevalier du Saint-Esprit en 1585. Il épousa en premières noces le 24 janvier 1580, Jeanne de Gontaut-Biron, fille d'Arnaud, baron de Salaignac, et de Jeanne de Salaignac. Ils eurent pour enfants :
De cette union naquit :
|
VII) de BARBEZIÈRES Pierre, chevalier, seigneur de Barbezières, Péré. Il fit un accord le 29 juin 1614, avec ses frères et sœurs, au sujet de dettes laissées par leur père. Le 12 mai 1618, conjointement avec Louis de BARBEZIÈRES, seigneur de Nogeret, son cousin, il fit bail à rente d'une maison sise à Barbezières. Il épousa Jeanne de La Cave, et décéda semble-t-il, sans postérité. Il se pourrait cependant qu'il eut tout de même une fille :
|
Branche de La TALONNIÈRE : (Fouqueure) |
VII) de BARBEZIÈRES Salomon, écuyer, seigneur de la Talonnière. Il fut baptisé le 31 décembre 1604, et eut pour parrain Salomon de Livenne, écuyer, sieur du Plessis, et pour marraine, Marie du Sauvage (signé Tagault). Il épousa le Ier avril 1628 (reçu Lotte et Babin, notaires à Marcillac), Florence de Lastre, fille de Louis, écuyer, sieur des Salles, et de Jeanne Rabion. Le logis de la Talonnière fut dans la famille du XVIIème au XVIIIème siècle, qui en redit hommage aux religieuses de Tusson. (Bruno SÉPULCHRE). De cette union naquirent :
|
VIII) de BARBEZIÈRES Charles, écuyer, sieur de la Talonnière. Lui et sa sœur firent un accord, le 10 mai 1666, avec Henri de Cherments (?), écuyer, sieur de Péré, auquel ils cédèrent les droits en l'hérédité de feu Pierre de BARBEZIÈRES, seigneur de Péré, leur oncle, qui était débiteur de feu Salomon, leur père. Il épousa à Angoulême, le 25 août 1667, Anne Prudence de Couvidon, fille de Bernard, écuyer, sieur de Rayneau, et de Catherine de La Pommeraye. De cette union naquirent :
|
IX) de BARBEZIÈRES Charles, chevalier, seigneur de la Talonnière et de la Fenêtre (Juillaguet). Il épousa en premières noces le 8 février 1705 (Charraudeau et Royer, notaires à Poitiers), Marie Jeanne Chasteigner de Rouvre, fille de Jean, écuyer, sieur de Rouvre, et de Jeanne Sochet. De par ce mariage, la seigneurie de la Tour (Brettes), fut partagée par actes des 18 et 20 mars 1716. Une partie alla aux descendants de René Chasteignier, frère de Marie Jeanne, et l'autre entra dans celle de BARBEZIÈRES. (Bruno SÉPULCHRE). Ils eurent pour enfants :
|
X) de BARBEZIÈRES Charles Antoine, chevalier, seigneur de la Talonnière, la Chapelle, Brettes, Souvigné en partie, etc. Il fut officier au régiment de Pons, chef de bataillon, et fut breveté chevalier de Saint-Louis. Le 24 avril 1771, il vendit sa terre de la Tour de Brettes, pour 43000 livres, à Jean Joseph de Pressac, chevalier, seigneur des Egaux. (Bruno SÉPULCHRE). Le 23 avril 1735 (Bernard et de Rouvelle, notaires), il épousa à Angoulême, Marie de Livenne, fille de François, chevalier, seigneur de la Chapelle, et de Marie Tesnier. Le 16 avril 1748, Charles Antoine et Marie de Livenne, demeurant au logis de la Talonnière, affermèrent le logis de la Chapelle (La Chapelle), à Jean Auriol, marchand de Mansle. (Danielle ARNAUD). Ils eurent de nombreux enfants, dont cinq seulement survécurent :
|
XI) de BARBEZIÈRES Charles Antoine, chevalier, seigneur de la Chapelle, Brettes, Souvigné en partie. Il naquit le 3 janvier 1738 à Fouqueure. Il fut capitaine, puis devint chef de bataillon au régiment de Guyenne-Infanterie, et fut nommé chevalier de Saint-Louis. Il se trouva à l'assemblée de la noblesse du Poitou, réunie à Poitiers en 1789 pour nommer les députés aux Etats Généraux. Il fut du nombre des rédacteurs des cahiers de l'ordre de la noblesse, et nommé commissaire pour la correspondance dans l'enclave de l'Angoumois. Il émigra en 1791 et fit la campagne de 1792 dans l'armée des Princes, frères du roi, en qualité de commandant en second de la quatrième compagnie de la noblesse du Poitou-Infanterie. Il épousa à Angoulême, par contrat du 31 janvier 1770, (Mattat et Bourguet, notaires royaux), (célébration religieuse à Saint-Jean d'Angoulême le 9 février 1770), Françoise Josèphe de Nesmond, fille de Philippe, chevalier, seigneur de Brie, la Jauvigère, la Michenie, la Simarde; et de Jeanne Marguerite Garnier. Le couple était dit demeurant au logis de la Chapelle. (Danielle ARNAUD). De cette union naquirent :
Il décéda à Iserloln, comté de Lamark (Allemagne), le 22 septembre 1799. (abbé Pierre BUREAU). Il fut amnistié le 21 Prairial An XI. (abbé Pierre BUREAU). |
XII) de BARBEZIÈRES François Hélène Joseph, né à la Chapelle le 19 mars 1781. Il épousa Eléonore du Rousseau de Ferrières. Il décéda le 12 mai 1833, à Saint-Loubès (Gironde), ayant eu pour enfants :
|
XIII) de BARBEZIÈRES Joseph Charles François, marquis de Barbezières. Il habitait Bordeaux en 1842, où il décéda en 1872. (Eric PERCY-MARINIER). Il épousa Marie de Jousselin. Ils eurent un fils :
|
Branche de NOGERET (Fontaine-Chalandray -- Charente-Maritime): |
V) de BARBEZIÈRES Jacques, écuyer, seigneur de Nogeret. Il épousa Jeanne de Moussy, fille de Regnaud, écuyer, seigneur de Saint-Martin l'Ars, et de Marguerite de La Touche. Ils eurent pour enfants :
|
VI) de BARBEZIÈRES Louis, chevalier, seigneur de Nogeret. Il épousa en premières noces le 27 mai 1570, Antoinette de Rochechouart; puis en secondes noces en 1574, Charlotte de Boulainvilliers, veuve de Pierre Belcier, baron de Cozes. D'une de ces deux unions, il eut pour enfant unique : |
VII) de BARBEZIÈRES Louis, seigneur de Noyers. Il épousa le 19 juin 1605, Jeanne de Jousserand, fille de René, écuyer, sieur de Londigny, et de Renée Robin. De cette union naquirent :
|
Branche de MONTIGNÉ : |
Fuselé
d'argent et de gueules. |
II) de BARBEZIÈRES Perrinet, alias Pierre, ou Péricaud, écuyer, seigneur de Montigné. Le fief de Montigny, dépendant de Tourriers, était à hommage lige et l'achaptement d'un clou d'or à faire et payer à muance de seigneur et de vassal. Le 14 janvier 1434, il rendit aveu aux La Rochefoucauld, pour l'hôtel et appartenance de Montigny. (Inventaire des titres de la baronnie de Montignac et Tourriers) (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD). Il partagea avec son frère aîné Jean, en 1436. Il épousa en premières noces avant 1435, l'héritière de Montigné, Eygline (?) de Montigné, fille de Mériot (alias Héliot) de Montigné, qui lui transmis la terre de Montigné. (Jean Marie SAUVIGNON). Ils eurent pour enfants :
De cette union naquirent :
Le 14 juin 1450, il y eut un accord entre Perrinet et Perrinet Dubois, mari de Marguerite de Montigné, petite-fille d'Héliot de Montigné et de Jeanne de BARBEZIÈRES (?). Perrinet décéda avant le 6 décembre 1457, date d'un nouveau dénombrement, qui indiquait alors comme possesseur du fief "Pierre de BARBEZIÈRES, écuyer, fils de feu Péricault de BARBEZIÈRES, en son vivant écuyer, seigneur de Montigny". (Inventaire des titres de la baronnie de Montignac et Tourriers). (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD).. |
III) de BARBEZIÈRES Pierre, (alias Jean ?), écuyer, seigneur de Montigné. |
IV de BARBEZIÈRES Louis, écuyer, seigneur de Montigné, Estrades (Verdille). La porte piétonne du logis possède un écu aux armes de BARBEZIÈRES. (Jean-Paul GAILLARD et Bruno SÉPULCHRE). Il eut en 1480 un procès avec sa mère au sujet de dîmes réclamées par le commandeur de Beauvais sur Matha. (Ces dîmes pouvaient être celles de Barbezières, ou bien celles de Montigné). (Archives de la Vienne). Il rendit un aveu pour Montigné, le 17 mars 1491. (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD).. En 1491, il servit comme archer au ban d'Angoumois. Il reçut plusieurs aveux, entre autres, le 12 novembre 1492, de Jean Corgnol, seigneur de Tessé, pour le fief de Tessé, ainsi que pour le fief de Germeville. Il épousa en premières noces Catherine Guytaud, qui lui donna pour enfants :
Il fut mentionné comme noble habitant la paroisse de Coutures, dans l'enquête faite pour la contribution à la rançon de François Ier, en 1529. |
V) de BARBEZIÈRES Hercule, écuyer, sieur de Montigné. Il épousa en premières noces, le 20 octobre 1528, (Maingarniau, notaire à Angoulême), Guillemine Jay, fille de Julien, écuyer, sieur de Moutonneau, et de Marguerite Regnaud (Marguerite Regnaud devint à cette même date, la seconde épouse de son père.) Le 6 juillet 1541, il passa une transaction avec François Jay, son beau-frère, pour la dot de sa femme. (Nau et Tiau, notaires de la principauté de Marcillac). Hercule épousa en secondes noces Jacquette de Paye (Paille). (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD) De cette union naquirent :
Il fit une transaction réglant le partage entre lui et ses deux fils Jean et Louis. (Mesnard et Arnaud, notaires sous le scel de Marcillac). (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD) Il décéda après le 11 novembre 1593, date du mariage de son petit-fils Jérémie, où il se fit représenté par Jean de Curzay, sieur de Boisbreteau. (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD) |
VI) de BARBEZIÈRES Jean, écuyer, sieur de Boisauroux et de Montigné, puis de Villesion, par mariage. En 1579, il était époux en premières noces, de Jehanne de Maubert, alias Naubet. De cette union, ou de la suivante, naquirent :
Le 15 avril 1586, (Rambaud, notaire à Mansle), Jean passa un accord et échange sur des lieux en la paroisse de Nanclars, avec Uriel Jay, prieur de Nanclars, fils de François et de Marie de BARBEZIÈRES. (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD) De cette seconde union naquit :
|
VII) de BARBEZIÈRES Jérémie, écuyer, seigneur de Montigné, Boisauroux, Villesion, etc. Il épousa par contrat, le 11 novembre 1593, (Bion, notaire à La Rochelle), Marie Thévenin, fille de François, écuyer, seigneur d'Azay, Saint-Crépin, et de Gabrielle Pineau. Le mariage religieux ne fut célébré que le 4 juin 1595, dans un des temples de La Rochelle. Il décéda entre le Ier décembre 1606 et le 30 juillet 1607, et Marie Thévenin, sa femme, après 1645. (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD) De cette union naquirent :
|
VIII) de BARBEZIÈRES Etienne, chevalier, seigneur de Montigné, Villesion et Nanclars en partie. Il naquit vers 1596, et demeura au logis de Villesion. Il épousa par contrat du 2 mai 1622 (Galliot, notaire), Fleurence Corgnol, fille de Isaac, écuyer, seigneur de Maigné, et de Renée d'Alloue, demoiselle de Chastellus. Il décéda avant le 31 décembre 1658, date à laquelle sa veuve partagea (Hugon, notaire à Marcillac), les biens provenant de sa succession, avec ses deux fils. Fleurance décéda avant le 6 janvier 1669, date à laquelle les enfants partagèrent sa succession et celle de son marie (Sicard, notaire). (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD) Ils eurent pour enfants :
|
IX) de BARBEZIÈRES François, écuyer, né vers 1624, seigneur de la Touche, alias ka Touche de Villeneuve, alias la Touche de Montigné, puis de Montigné, après son frère Louis. Le 12 janvier 1700, il fut maintenu noble par M. de Maupéou, et fit partie du ban de la noblesse du Poitou convoqué en 1690. Il récupéra avec le temps les autres parts de la seigneurie. Le 18 avril 1689, il possédait les 4/5èmes de la seigneurie, la dernière part étant détenue par Marguerite André. Plusieurs procès, dont certains à Poitiers, concernant le fief de Boisredon, paroisse de Montigné, opposèrent les Montigné aux Bardonnin, pour la préséance dans l'église, hommage dû aux seigneurs de Montigné, etc. Il épousa en premières noces par contrat du 6 juin 1662 (Hugon, notaire à Marcillac), Marie Arnaud, fille de Charles, écuyer, sieur de Langlée, et de Jehanne de Massougne. Marie décéda le 8 janvier 1670 à Montigné, et fut inhumée dans l'église en présence du curé d'Anville. Le 16 juin 1672 (Bourdeau, notaire), Gabriel Arnaud, sieur de Langlée, frère germain de Marie, demanda ses droits successifs. Ceux-ci étaient contenus dans les biens de la seigneurie de Montigné, dont certains obtenus par échange. Finalement, François acheta ces droits pour 300 livres. Cependant Gabriel Arnaud ne devait pas représenter tous les héritiers, car plus tard, d'autres Arnaud, dit de Bellevue, revendiquèrent également une portion leur revenant sur la terre de Montigné du fait de la dot. Il semble que cela se soit réglé à l'amiable le 24 mars 1740, (Delechelle, notaire), entre le fils de François et les petits-neveux de Marie Arnaud. François épousa en secondes noces par contrat du 23 novembre 1670, Anne de Piot, fille de Claude, sieur de la Brousse du Breuil.(Triault et Chauvigneau, notaires à Champagné Saint-Hilaire - Vienne). La célébration religieuse eut lieu le 16 août 1671 à Montigné. Le 6 janvier 1672 (Georget, notaire à Marcillac), François testa en la faveur de son épouse, et en celle des trois enfants bâtards qu'il avait eu avec Marie Maingueneau, fille d'Antoine et de Marie Maillocheau, demandant qu'après son décès, les enfants et leur mère vivent également au logis de Montigné. De cette union naquit :
Elle testa le 6 novembre 1688 (Bourdeau, notaire), en faveur de son mari. Le 6 mars 1689, Catherine fut entendue lors de l'assassinat de Jean Bardonnin, seigneur des Leurres, tué par N. Perays, sieur des Vieilles Vignes. Elle décéda le 15 octobre 1706, à Montigné. François épousa encore en quatrièmes noces par contrat du Ier janvier 1709 (Gratias, notaire à Villeneuve la Comtesse - Charente-Maritime), Marie Anne Guy (née vers 1688), fille de René et de Jeanne de Fleury. Elle décéda le 15 avril 1758 à Montigné, et fut inhumée le 16 dans l'église. De cette union naquirent :
Les 9 et 19 juin 1724 fut dressé un inventaire au logis de Montigné, à la requête de sa veuve. (Jean Marie SAUVIGNON). |
X) de BARBEZIÈRES Etienne, chevalier, seigneur de Montigné. Il naquit et fut baptisé le 8 mars 1711 à Montigné. Il eut pour parrain Charles de BARBEZIÈRES, et pour marraine Marguerite de BARBEZIÈRES des Courances. Il épousa par contrat du 16 décembre 1732 (Boistaud, notaire), Anne, alias Marie Anne de Laisné, demoiselle de Francheville, fille de Pierre, sieur du Pont d'Herpes, et d'Elisabeth Roussier. Elle décéda le 13 avril 1759 au logis de Montigné, âgée de 47 ans, et fut inhumée le 14 dans l'église. Etienne décéda à Rouillac le 14 novembre 1765 et fut inhumé le lendemain dans l'église de Montigné. (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD). De leur union naquirent :
|
Branche de BOISAUROUX (Rouillac): |
VIII) de BARBEZIÈRES Jean, écuyer, sieur de Boisroux (alias Bois aux Roux). Il épousa le 28 décembre 1632, Louis de La Porte, fille de Pierre, écuyer, sieur de la Vallade, et de Louise de Livenne. Il semble qu'ils eurent pour enfant : |
IX) de BARBEZIÈRES Jean, écuyer, sieur de Boisroux. Il épousa le 7 décembre 1656, Catherine de Marsay. En 1667, il était dit demeurant en sa maison noble de Boisauroux. En 1695, elle appartenait à François Valentin. (Jean-Paul Gaillard et Bruno Sépulchre). |
Branche de SAINT-MARY : |
III) de BARBEZIÈRES Jean, dit André, écuyer, sieur de Vitrac. (Il apparût comme seigneur de Saint-Mary et de Vitrac, le 5 septembre 1450, aux côtés de son beau-frère, Jean de Frondeboeuf, qui avait les mêmes titres). (Eric PERCY-MARINIER). En 1442, son père (ou autre Perrinet de BARBEZIÈRES), fut cité pour un aveu concernant Mauregard (Annepond - Charente-Maritime). Ce fief dépendait de la seigneurie de Taillebourg, avec moyenne et basse justice. L'aveu en était fait au devoir de 100 sols. Est-ce lui, ou un autre membre de la famille, portant même prénom, qui en fit aveu à son tour le 25 avril 1457, puis encore le 5 mai 1462 ? (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD). Il fit bail à cens au nom de son père, le 7 février 1452, pour des terres à la Charlotière, paroisse de Vitrac. (Archives de la Charente). Il servit au ban d'Angoumois en 1467, comme homme d'armes. En 1451 et 1483, il rendit aveu au roi pour Vitrac. (Eric PERCY-MARINIER). En 1490, il fut nommé tuteur des enfants de Jean de BARBEZIÈRES et de Clémence d'Orgemont, pour les partages qu'ils avaient à faire avec leur tante. Il épousa avant le 8 février 1445 (date d'une procuration de ces beaux-parents), Jeanne de Sallebrache, fille de Jean, seigneur de Saint-Mary, et d'Agnès Vigier. (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD). Il partagea en 1450, avec Jean de Frondeboeuf, écuyer, son beau-frère. (Archives de la Charente). Il semble qu'ils eurent pour enfants :
|
IV) de BARBEZIÈRES Jean, écuyer, sieur de Saint-Mary en partie et de Bourgon (Valence). Est-ce lui ou un autre membre de la famille portant le même prénom qui fit aveu pour le fief de Mauregard (Annepond), le 3 avril 1506 ? (Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD). (Sur une clé de voûte des nervures de la chapelle du château de Bourgon, se voit un écu parti aux armes de BARBEZIÈRES, et d'un écu à deux fasces accompagnées de merlettes) (Frédéric DEGORCE et Bruno SÉPULCHRE). Il servit comme lieutenant de la compagnie des princes d'Orange, dans les guerres de Charles VIII. Il donna quittance le 31 juillet 1492.
De cette union naquit :
Selon le Cabinet des Titres relatif au Grand Prieuré d'Aquitaine (Volume IV), Jean aurait épousé Jeanne du Hallier. (Informations envoyées par M. Lionel MÉRIAU) Ils eurent pour enfants :
|
V) de BARBEZIÈRES Guillaume, écuyer, seigneur de Saint-Mary en partie et du Bourgon. Il partagea le Ier avril 1518, avec Jacquette de La Béraudière, veuve de son père, qui était tutrice de ses enfants du second mariage. Il épousa vers 1510, Louise Chauvet, fille de Jean, seigneur de Frédaigne, et de Françoise de Bonneval. (Eric Percy-Marinier). Ils eurent pour enfants :
|
VI) de BARBEZIÈRES Jean, seigneur de la Soudière. Il épousa le 26 juin 1555 Marguerite Regnauld. (Eric Percy-Marinier). De cette union naquirent :
|
VII) de BARBEZIÈRES Antoine, écuyer, sieur de la Soudière, Villeneuve, Saint-Mary en partie. Il fut sans doute aussi ce sieur de la Barbonclière, qui épousa en premières noces Jeanne de Grany. Ils eurent pour enfants :
Elle en était veuve le 28 novembre 1633, lorsqu'elle fit aveu à Robert de Lezay, chevalier, seigneur des Marais, pour le fief de Vérines. |
VIII) de BARBEZIÈRES Charles, écuyer, sieur de la Soudière, Villeneuve, Limalonges. Il avait des droits en 1622, sur les "Bauches du Bourgond", cette terre étant un arrière-fief de la seigneurie de la Soudière, située sur la commune de La Tâche". (Eric Percy-Marinier). Il épousa en premières en 1612 noces Henriette Pidoux, qui lui donna pour enfants :
|
Branche de CHÈMERAULT (Brux - Vienne): |
Ecartelé, au 1 d'argent à 6 fusées
de gueules, au 2 d'azur à la croix raccourcie et denchée d'argent,
au 3 d'hermine et à un chef de gueules, au 4 d'or à l'aigle de
gueules. |
Ecartelé, au 1 d'argent à trois fusées et deux demies
de gueules, au 2 d'azur à la croix ancrée d'argent, au 3 d'hermine
et à un chef de gueules, au 4 d'or à l'aigle de sable. |
V) de BARBEZIÈRES Geoffroy, chevalier, sieur de Chèmerault, la Roche de Bord. Il fut nommé chevalier de l'ordre du roi le 21 juin 1568, et servit avec ses deux fils au siège de Poitiers en 1569, assiégé par l'amiral de Coligny. Il épousa le 4 février 1533, Catherine de Vivonne, dame de Brejeuille, fille de Jean, écuyer, seigneur de Marigny, et d'Honorée d'Authon. De cette union naquirent :
|
VI) de BARBEZIÈRES François, chevalier, seigneur de Chèmerault. Il fut particulièrement chéri par le roi Charles IX. Ce prince, en considération des services que François et son frère Aymeri lui avaient rendus, leur accorda la jouissance de l'abbaye de Celles. Charles IX le créa aussi guidon dans sa compagnie de gendarmes. Il fut chambellan et chevalier de ses ordres, et gouverneur de Lusignan (Eric Percy-Marinier). Plus tard, François devint lieutenant de ce corps, qu'il commanda pendant plus de 25 ans. En 1572, en tant que sous-lieutenant de la compagnie du duc d'Anjou, il donna quittance au trésorier ordinaire des guerres. Un sceau ovale de 21 mm y était appendu, sur lequel on pouvait voir ce blason :
Ils eurent une nombreuse postérité :
|
VII) de BARBEZIÈRES François, chevalier, seigneur de Chèmerault, seigneur engagiste du comté de Civray, chevalier des ordres du roi. Il épousa en 1611 Charlotte de Fontlebon, fille de Charles et de Catherine Tizon. Il fut tué en janvier 1616, à la batraille de Nordlingen, en commandant une compagnie de chevau-légers, sous les ordres de M. de Guise. (André LEMOINE). (Charlotte épousa en secondes noces Nicolas de Verdun, le 15 avril 1626, à Paris. Nicolas fut nommé tuteur des enfants de François de BARBEZIÈRES et de Charlotte, le 17 juin 1626. Il décéda le 15 mars 1627). (André LEMOINE). Il avait eu pour enfants :
|
VIII) de BARBEZIÈRES Charles, chevalier, seigneur de Chèmerault, comte de Civray. Il fut d'abord nommé abbé de Celles, puis succéda à son frère vers 1640. Ce fut de lui que parla l'intendant du Poitou Colbert, dans son rapport au roi : "Il est, dit-il, gouverneur du château de Lusignan, et seigneur engagiste du domaine de cette ville. C'est un gentilhomme d'esprit, dont les affaires ne sont pas en fort bon état. Il a 4000 livres de rente. Il a épousé une Bruneaux-Rabastelière, dont il n'a eu que trois filles, dont l'aînée a été fille d'honneur de la Reine-mère, et la cadette fille d'honneur de Madame". Il épousa en 1641, Marie Bruneau, fille de Charles, seigneur de la Rabastelière, et de Suzanne Tiercelin. De cette union naquirent :
|
Branche de la ROCHE-CHÈMERAULT : |
VII) de BARBEZIÈRES Geoffroy, chevalier, seigneur de la Roche-Chèmerault. Il fut nommé abbé de Celles, dont il touchait les revenus, d'après la concession faite par Charles IX à son père et à son oncle. Plus tard, il la résigna entre les mains d'un ecclésiastique qui consentit à lui en servir les fruits. Cet abus subsistait encore en 1613, et ne prit fin qu'après un long procès, à la suite duquel Louis de La Rochefoucauld, évêque de Lectoure, fut reconnu comme seul abbé de ce monastère, mais à la charge néanmoins de payer à Geoffroy, une pension de 3000 livres et 36000 livres pour les arrérages du passé. Il épousa le 22 août 1615 (Patraud et Houlier, notaires à Melle), Louise de Marans, veuve de Louis de Vernou, et fille de Pierre de Marans, chevalier, seigneur des Ormes Saint-Martin, et de Renée Thibault. Dans son contrat de mariage, il prenait le titre de haut et puissant chevalier, seigneur de la Roche-Chèmerault. De cette union naquirent :
|
VIII) de BARBEZIÈRES Charles, seigneur de Turny, la Roche-Chèmerault. Voici se qu'en disait Colbert : "C'est un jeune gentilhomme qui a servi et suivi M. le prince de Condé, fort vaillant et fort craint, toujours contraire au service du roi, au fait de la taille". Il épousa Madeleine Tabouret (ou Tabourot), fille de Martin, seigneur de Thury, secrétaire du roi, et de Madeleine Cante. Ils eurent pour enfants :
|
IX) de BARBEZIÈRES Jean Noël, comte de Chèmerault. Il servit en qualité de brigadier dans l'armée de Catalogne, qui, sous le commandement du duc de Vendôme, s'empara de la ville de Barcelone (10 août 1697). Il fut charger de porter au roi Louis XIV la nouvelle de ce succès. Arrivé le 15 août à Versailles, il reçut du roi 12000 livres de gratification et le grade de maréchal de camp. En 1702, il fit partie de l'armée de Flandres, commandée par le duc de Bourgogne, et profitant des dispositions favorables du grand bailli de Gand, il s'empara de cette ville le 4 juillet, par un heureux et hardi coup de main. En récompense de ce fait d'armes, il fut revêtu de la charge de lieutenant-général, grade avec lequel il figura en Italie en 1702 ou 1703.Le duc de Vendôme l'ayant envoyé pour conférer avec le duc de Bavière sur divers projets relatifs à la campagne qui allait s'ouvrir, Jean Noël de BARBEZIÈRES, afin de traverser avec plus de sureté les pays ennemis, se déguisa en paysan. Mais il fut pris près du lac de Constance, fut conduit à Innsbruck, jeté dans un cachot et gardé à vue. Ne sachant comment donné de ses nouvelles, et craignant d'être pendu comme espion, il prétendit être sérieusement malade, et demanda un capucin afin de remplir ses devoirs de religion. Quand il fut seul avec le moine, il le saisit par la barbe pour s'assure qu'elle n'était pas fausse, et que le capucin pouvait recevoir sa confession. Il lui avoua alors son nom et ses titres. Ce dernier, gagné par ses confidences, avertit secrètement le duc de Vendôme. Le prince écrivit aussitôt au comte de Staremberg, commandant l'armée ennemie, qu'il traiterait le commandant et la garnison de Vercelli, selon que BARBEZIÈRES, qu'il savait bien être lieutenant-général des armées du roi, serait traité lui-même. Cette menace lui sauve probablement la vie, mais il ne fut rendu à la liberté que longtemps après. Sorti de prison, il se rendit auprès du duc de Vendôme, et le suivit dans ses campagnes. d'après le duc de Saint-Simon, il eut une grand part au gain de la bataille de Cassano, où le prince Eugène fut battu (16 août 1705). Il épousa en 1696, Louise Françoise de Moreuil, fille d'Alphonse, comte de Moreuil, et de Hélène Fourré de Dampierre. Il fut tué à Malplaquet, le 9 septembre 1709, sans avoir laissé de postérité. |
Branche de BOIS-BRETON (Montigné): |
V) de BARBEZIÈRES Germain, écuyer, sieur de Bois-Breton. Il épousa Françoise Le Grand, fille de François, écuyer, sieur de Massac, et de Catherine Envahy (Informations Lionel MÉRIAU) De cette union naquirent :
|
VI) de BARBEZIÈRES Charles, écuyer, sieur de Bois-Breton. Il servit le 3 février 1573, comme écuyer d'écurie de la Reine. (Pièces originales)Son sceau portait un écu fuselé. Une quittance au trésorier de la maison de la Reine du 15 février 1573, montre en effet un sceau ovale avec un écu fuselé. (J. ROMAN). En 1583, il était gentilhomme du roi de Navarre. Il épousa Claude d'Alloue, fille de René, écuyer, sieur de Chastellus, et de Florence de BARBEZIÈRES. Elle en était veuve vers 1600, et elle épousa en secondes noces César de Lestang, écuyer, seigneur de Rulles (1607). Sa postérité s'il en eut une est inconnue. |
- BEAUCHET-FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou. - Eric PARCY-MARINIER : Histoire et généalogie de la maison de Regnauld de La Soudière. - de BREMOND d'ARS : Extrait du cahier du rôle du ban et arrière-ban de la sénéchaussée d'Angoumois, 1635. - Jean-Paul GAILLARD : articles sur Puychaussac (Aussac), la Fenestre (Juillaguet), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Editions Bruno Sépulchre. - Bruno SÉPULCHRE : articles sur la Tour (Brettes), la Talonnière (Fouqueure), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Editions Bruno Sépulchre. - Danielle ARNAUD : article sur le logis de La Chapelle, dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Editions Bruno Sépulchre. - Jean-Marie SAUVIGNON : article sur le logis de Montigné, dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Editions Bruno Sépulchre. - Jean-Paul GAILLARD et Bruno SÉPULCHRE : articles sur Boisauroux (Rouillac), Estrade (Verdille), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Editions Bruno Sépulchre. - Frédéric DEGORCE et Bruno SÉPULCHRE : article sur Bourgon (Valence), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Editions Bruno Sépulchre. - abbé Pierre BUREAU : Les émigrés charentais. - André LEMOINE : Précisions généalogiques. - Bernard BORDIER et Christian RIMBAUD : Généalogie de la famille de BARBEZIÈRES, publiée dans le bulletin de l'Association Généalogique de la Charente "La recherche généalogique en Charente". - André LEMOINE : rectificatifs généalogiques sur la famille de BARBEZIÈRES. - Jean-Claude VRILLAC : Recueil historique, généalogique et héraldique des anciennes familles du Ruffécois. - J. ROMAN : Inventaire des sceaux de la collection des pièces originales du cabinet des titres à la bibliothèque nationale. - Lionel MÉRIAU : Informations généalogiques sur l'ascendance de Germain de BARBEZIÈRES. |