de Verthamon
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Ecartelé, au 1 de gueules au lion passant d'or, au 2 et 3 à cinq points d'or équipolé d'azur, et au 4 de gueules plein.
- Marie-Anne de Verthamon,
veuve de Jean Constantin (décédé en 1757), avait acheté
une partie du tiers de la seigneurie de Barret. Elle même décéda
en 1772.
Le 25 novembre 1747, M. Pierre de Noailles, porteur de procuration de dame Marie-Anne
de Verthamon, afferme à Louis Gardrat, notaire royal à Barret,
tous les revenus du fief "d'Itier de Barbezieux", sauf les lods et
ventes excédant la somme de 600 livres, et ceux que la dite dame voudra
retirer, pour 2200 livres par an.
(Le fief de l'enclave des Bruns, Fongareau et les Grollons, possédé
par Marie-Anne de Verthamon, veuve de Jean Constantin, conseiller au parlement
de Bordeaux, consistait en rentes et agrières, comportant droits de lods
et ventes, et de prélation sur les héritages de ladite enclave,
tenu à foi et hommage sous le devoir d'un épervier.
Ce fief est le résultat d'un échange conclu, le 30 juillet 1239,
à Saintes, par Hugues X et sa femme Isabelle, et le seigneur de Barbezieux,
qui leur abandonna en contre-partie ses droits sur Merpins et Bouteville. Il
était autrefois de la mouvance d'Archiac, et s'étendait sur les
paroisses de Barret, Lagarde et La Chaise.)
- Martial-François de Verthamon d'Ambloy, fit renouveler
le terrier du tiers de la seigneurie de Barret en 1773.
- Jean-Baptiste-Maurice de Verthamon, président
à mortier du parlement de Guyenne (1746-1809), est dit sieur du tiers
de la seigneurie de Barret. Il vote à Saintes, pour son fief, en 1789.