POIRIER |
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D'argent
(aliàs d'or), au POIRIER arraché de sinople. |
Cette famille a possédé des terres dans la région de Douzat, Tarsac, Saint-Saturnin, Trois-Palis, Bouteville, Châteauneuf, Mosnac, etc... |
- POIRIER Jean. Il fut cité à
partir du 5 janvier 1531. - Il exerça la profession de médecin, à Angoulême. - Il épousa Agnès des Halles, (alias des Alles), fille d'une famille de l'échevinage d'Angoulême. - Il acheta, le 5 janviers 1531, de Jacques Valleteau, du bourg de Douzat, moyennant 8 livres tournois, deux boisseaux de froment, mesure d'Angoulême, de rente perpétuelle assignée sur les maisons, bâtiments, jardins et houches (pré non cultivé sur lequel on plaçait les moutons) du vendeur. (Trigeau, notaire royal à Angoulême). - Le 10 février 1531, il acquit de Benoist Pageot, de la paroisse d'Hiersac, un septième de journal et quart de pré, sis à Moulède, paroisse de Nouère (actuellement commune de Linars ?)(Trigeau, notaire royal à Angoulême). - Il acquit le 5 mars 1531, de Jean Bouteiller et de Denise Gautherau, sa femme, douze sillons de terres situées au village de Tarsac, paroisse de Saint-Saturnin, terres tenues à rente du seigneur de Jarnac.(Trigeau, notaire royal à Angoulême). - Il acquit encore, le 18 janvier 1532, de Guillaume et Benoit Bouyer, frères, de la paroisse d'Hiersac, un quart de journal de terre labourable, sis en la paroisse de Saint-Saturnin, sur la rivière de Bourgault, et tenu à rente des seigneurs de Jarnac. (Trigeau, notaire royal à Angoulême). - Le 9 décembre 1532, il procèda à un échange d'héritage avec Jean Delacoux, de la paroisse de Saint-Saturnin. (Trigeau, notaire royal à Angoulême). - le 14 octobre 1533, demoiselle Agnès des Halles, femme de Jean POIRIER, acheta les droits héréditaires pouvant appartenir à Marguerite Pageot, venderesse, sur une pièce de pré sise à Moulède, paroisse d'Asnières (Trigeau, notaire royal à Angoulême). - Le 10 mars 1535, Jean acheta à François Caillon, écuyer, sieur de Bellejoie, et maître Jean Caillon, écuyer, abbé de Notre-Dame de ..., chanoine de Saint-Pierre d'Angoulême, tous les droits d'agrier pouvant appartenir aux dits vendeurs, sur le plantier de la Chabanne, paroisse de Douzat (actuellement, la Chebanne) (Trigeau, notaire royal à Angoulême). - Le 16 octobre 1535, Jean reçut quittance, par honorable et sage maître Vincent Bouduc, alias Boulduc, et Mathurine POIRIER, demoiselle sa femme, avec demoiselle Agnès des Halles, sa femme (Trigeau, notaire royal à Angoulême). - Le 11 novembre 1535, il reçut une donation irrévocable de Pierre de La Place, écuyer, sieur de Javrillac : " pour raison de plusieurs vacations, ordonnances et autres actes de médecine par le dict POYRIER, faites tant à la personne du dict De La Place, que à autres de sa maison, et pour autres bonnes causes et raisons, de 18 sous de rentes avec les arérages de deux années faisant les dits 18 sous la moitié de 36 sous de rente que le dit POIRIER et Etienne Lizée, devaient au dict de La Place sur une maison sise à Angoulême, paroisse Saint-André, dont ils étaient détenteurs. La donation irrévocable est faite à honorable et sage maître Jean POIRIER, docteur en médecine." (Trigeau, notaire royal à Angoulême). (Pierre de La Place, jurisconsule, fut tué lors de la Saint-Barthélémy). - Il décéda avant le 14 novembre 1539, date à laquelle Hélie, fille de Jean et d'Agnès fit son testament. - Agnès, veuve de Jean POIRIER, fit le 21 novembre 1549, un échange d'héritage avec Héliot Valeteau, et Marie Vignault, sa femme, demeurant à Saint-Saturnin. -Ils avaient eu pour enfants, au moins :
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- POIRIER Mathurine, femme d'honorable et sage maître Vincent Bouduc, alias Boulduc, (qui donnèrent une quittance le 16 octobre 1535), était une parente de Jean POIRIER, cité ci-dessus, dont le degré de parenté n'était pas précisé. Il s'agissait peut-être d'une soeur. |
Branche de la Folie (Trois-Palis) : |
I) POIRIER Daniel. Il fut procureur fiscal à Bouteville, de 1687 à 1717. Le 3 septembre 1717, devant Pierre Jeheu, notaire royal à Angoulême, il reçut quittance de 1778 livres 12 sous, par maître Roux, sieur de la Jumière, directeur et fondé de procuration de messieurs les Economes Séquestres Généraux de France. Il eut pour enfants :
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II) POIRIER David. Il fut procureur
fiscal à Bouteville, de 1717 à 1737, greffier en chef
de la maréchaussée de Cognac, et fermier du temporel du prieuré de Bouteville. Ce fut sans doute lui, qui le 14 mars 1718, à la requête d'André Thoumie, docteur en théologie, dressa un inventaire de la chapelle Notre-Dame de Bouteville. Il eut probablement pour fils :
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III) POIRIER François, né vers 1690, sieur de la Folie. Il exerça les charges de procureur en 1744, de juge assesseur de Sireuil en 1746, et de praticien le 2 octobre 1760, date de son décès. (Le 2 octobre 1760, a été inhumé dans l'église de cette paroisse (Trois-Palis), le sieur François POIRIER, praticien décédé du même jour en sa maison de la Folie, âgé de 68 ans, et muni des sacrements. Ont été présents à l'enterrement : Jean Meillion et Jean Hay, sacristains). Il fut un petit magistrat de campagne, qui cumulait sans doute toutes ces charges. Il fut présent au baptême de Marie-Suzanne Coiffie, fille de Pierre et d'Antoinette, et fut parrain, avec dame Marie-Rose Guillemet, le 12 février 1740, à Trois-Palis. Le 16 août 1751, à Gensac La Palue, il fut encore présent et signa au baptême de Pierre Guillemeteau de l'Eclopard, fils de Pierre et de Marie Rabouin. Il avait épousé, avant 1742, (Il est possible qu'il ai dejà contracté une autre union avant ce mariage), Suzanne-Françoise Boussiron, et eut pour enfants, au moins :
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IV) POIRIER François-David.
Il naquit à la Folie le 22 novembre 1742, et fut baptisé le même jour. Il eut pour parrain François-David POIRIER, procureur fiscal du Prieuré Saint-Paul de Bouteville, fils de Daniel, et pour marraine demoiselle Marie Boisounes (Boussiron ?) (Ont signé : POIRIER, Boysounet, POIRIER, Marie Rabouin, R. Boylevint, Boilevin, P. Rivivier (alias Beauvivier)). Il fut juge de paix d'Hiersac, après avoir été en 1789, délégué de sa paroisse à l'Assemblée des Etats-Généraux du Tiers-Etat, à Angoulême. Il épousa en premières noces Marie Joubert (d'une famille de l'échevinage d'Angoulême). En 1773, il fit rénover et aménager pour sa jeune femme, le logis de la Folie. A cette occasion, il fit édifier le portail qui porte sur son fronton un poirier à 20 poires. Elle décéda à la Folie, le 22 août 1780, âgée de 32 ans, et fut inhumée le 23, dans le cimetière de Trois-Palis, après avoir reçu les sacrements. François-David épousa en secondes noces le 9 novembre 1784, à Gensac La Palue, (avec une bulle de dispense papale de parenté au troisième degré), Louise Guillemeteau, fille de Pierre Guillemeteau de l'Eclopard, et de Marie Rabouin. (petite fille de Jeanne POIRIER et de Joseph Rabouin). Ce mariage fut célébré en présence de Pierre Beauvivier, notaire royal, Jean-Baptiste Beauvivier, prêtre de Cravant (diocèse de Saintes), sieur François POIRIER, prêtre et vicaire de Rioux. (Ont signés : POIRIER, P. Guillemeteau, Beauvivier, prieur-curé de Cravant, Beauvivier, Guillemeteau, Joubert Guillemeteau, vicaire, Frugier, Lary, Boussiron-Guillemeteau, Guillemeteau, vicaire de Gensac, Beauvivier). Il fut présent, le 3 avril 1815, à Roullet, avec Louise Guillemeteau, sa femme, au mariage de son fils, François, avec Louise-Pauline Valleteau de Montboulard. Il décéda à la Folie, le 21 août 1825. François-David eut de sa seconde union, neuf enfants :
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V) POIRIER François, né le
16 septembre 1789, à la Folie. Il fut baptisé dans l'église paroissiale de Notre-Dame de Trois-Palis. Il eut pour parrain François Guillemeteau, vicaire de ?, représenté par François Croiset, qui a déclaré ne pas savoir signer, et pour marraine demoiselle Marie Journaud (alias Jouneau), épouse du fils Guillemeteau, représentée par Jeanne Nailhon, qui a aussi déclaré ne pas savoir signer. (Ont signés : J. Paturaud, POIRIER, Rullier). Lors de son mariage, le 3 avril 1815 à Roullet, il était dit propriétaire, habitant la Folie. Il épousa Louise-Pauline Valleteau de Montboulard, fille d'Emmanuel-Pierre, et de dame Anne POIRIER de Longeville (née le 12 juillet 1788, et décédée à Saintes, le 25 février 1871). Le 11 novembre 1847, au mariage de son fils Pierre-Emmanuel, il était dit propriétaire et percepteur, domicilié à Gensac. Il décéda le 23 mars 1862, à Châteauneuf, étant dit comme ex-percepteur de Châteauneuf. (acte de décès du 24 mars). Il eut pour enfants :
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VI) POIRIER Pierre-Emmanuel, dit
Ludovic, né le 11 juin 1818, à la Folie. Il fut percepteur des contributions directes. Il épousa, à 29 ans, le 23 novembre 1847, à Saintes, Marie-Joséphine Savary (née le 7 juin 1828 à Saintes), fille de Pierre-Honoré, capitaine d'infanterie en retraite, chevalier de la Légion d'Honneur, et de Antoinette-Elisabeth Brunet. Marie-Joséphine, au moment de son mariage, était âgée de 19 ans, et était orpheline. Le mariage religieux eut lieu le même jour, à l'église Saint-Vivien. Il décéda le 12 octobre 1870, à Châteauneuf. Ils eurent pour enfants :
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VII) POIRIER François-Emmanuel,
né à Segonzac, le 24 février 1849. Il fut notaire à la Papillere à la Poitevinière à Préguillac, près de Saintes. Il épousa, à une date inconnue, Elisabeth-Marthe Allotte de La Fuye (née le 2 avril 1857 à Brossac), fille de Paul-Joseph, et de Marie-Magdeleine Delie Phelippon. Elle décéda le 22 mars 1845, à Préguillac. Il décéda le 6 décembre 1924, à Préguillac. François-Emmanuel eut pour enfants de son union avec Elisabeth-Marthe :
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VIII) POIRIER Georges, notaire à Saint-Hilaire
de Villefranche. Il épousa Suzanne Riche, et eut pour enfants :
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IX) POIRIER Philippe, né en 1912,
et décédé en 1945. Il fut officier et fut tué pendant la guerre. Il avait épousé Christiane d'Ange d'Orsay. Ils eurent pour enfants :
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X) POIRIER d'ANGE d'ORSAY Philippe. Diplomé de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, et de l'Ecole Nationale d'Administration. Il est Secrétaire Général de la Fédération des Armateurs de France. Il a les distinctions de chevalier de la Légion d'Honneur, de l'Ordre National du Mérite, et du Mérite Maritime. Il a épousé Michelle Aubert, et a pour enfants :
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Branche cadette : |
VIII) POIRIER Paul, né le
2 août 1891, à Preguillac. Il fut d'abord élève au grand séminaire de Saint-Sulpice jusqu'en 1913, à Paris. Il étudia la philisophie, et prépara l'agrégation, à la Sorbonne et à l'Université de Louvain. Soldat au 53ème régiment d'Infanterie, il fut gravement blessé lors de la bataille de Charleroi, le 22, ou 23 août 1914 (il ne dut son salut qu'à la promptitude d'un officier allemand qui détourna la bayonnette du soldat qui voulait l'achever). Il reçut à ce titre la Croix de Guerre, dont le diplôme fut signé par le maréchal Pétain. Prisonnier de guerre dans un camp de représaille en Allemagne, il y dénonça les atrocités allemandes, et ne dût son salut qu'à être rapatrié sanitaire en Suisse, par la Croix Rouge. Il entrepris en 1918, des études de médecine qu'il mena à bien en moins de trois ans. Il s'installa alors comme médecin à Montendre, en Charente-Maritime. Il fut nommé délégué général par le gouvernement de Vichy, en 1940, et assuma ce poste sur ordre de la Résistance. Il fut élu maire de Montendre en 1944, poste qu'il conserva au dessus des partis, jouissant de l'estime de tous, jusqu'en 1972. Il fut aussi conseiller général de la Charente-Maritime, et Président du Conseil Général de l'Ordre des Médecins, et eut la distinction de chevalier de la Légion d'Honneur. Il épousa le 28 juin 1923, Renée Julien-Laferrière, fille d'Alfred, caissier général de la Banque de France, et de Marguerite Delol. Ils eurent pour enfants :
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IX) POIRIER Joseph. Il fut docteur en médecine, à Montendre. Il a épousé Nicole Bourru de Lamotte. De cette union sont nés :
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X) POIRIER Jean, né le 28 mai 1958,
à Jonzac. Il est docteur en médecine, et a soutenu sa thèse, le 28 juin 1988, sur le thème :"La pollution oxycarbonnée d'origine automobile, à Bordeaux". Il s'est installé comme médecin à Montendre. Il a épousé Alix de Braquilanges, fille d'Alain, colonel, officier de la Légion d'Honneur, et d'Anne de Saint-Exupéry. Ils ont pour enfants :
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Branche de Bouteville : |
III) POIRIER François-David,
né vers 1698. Il demeurait à la Pinauderie (Bouteville). Il fut procureur fiscal de Bouteville, de 1737 à 1759. Il reçut une quittance de la somme de 150 livres, en 1742, de Joseph Rabouin, notaire royal et procureur au siège de Blanzac, et de Jeanne POIRIER, sa femme, pour les intérêts d'une somme de 3000 livres restant à payer à la dite POIRIER sur sa constitution dotale. (Tabuteau, notaire royal à Angeac). Il fut parrain, le 22 novembre 1742, de François, alias François-David POIRIER, fils de François et de Suzanne Boussiron. Il épousa Marie-Anne, alias Madeleine-Mary Boulanger née en 1689). Elle décéda le 30 novembre 1777, à Gensac La Palue. Lui-même décéda le 22 septembre 1758, à Bouteville. Ils eurent pour enfants, au moins : |
IV) POIRIER Pierre. Il fut notaire
royal à Bouteville. Le 8 juin 1768, un ban dans l'église de Bouteville lui fut concédé. Il était situé à main gauche au dessus et joignant le pilier le plus proche de la porte. Il avait 5 pieds de longueur et 4 de largeur. Il épousa en premières noces Marie Roux, et eut pour enfants :
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Autre famille POIRIER à Bouteville : |
I) POIRIER Jean, né vers 1707,
et décédé le 2 novembre 1767. |
II) POIRIER David. Il épousa Marguerite
Maumusson. Il fut présent, le 10 février 1766, au mariage de son fils Pierre, et le 23 février 1767, au baptême de son petit-fils. Il eut donc au moins, pour enfant : |
III) POIRIER Pierre, qui épousa
le 10 février 1766, à Bouteville, Jeanne Texier, fille de Louis, et de
Marie Merle, de la paroisse d'Eraville. Ils eurent pour enfants :
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Noms isolés : |
- POIRIER Geoffroy, prêtre. Le 24 novembre 1584, en tant que prieur de Barret, au diocèse de Saintes, il donna une procuration à Jamet Joussaulme, sergent royal. ( Gerard Couvidou, notaire royal à Angoulême). |
- POIRIER Geoffroy, sieur de Tersac (Tarsac). Il fut avocat au tribunal
du présidial de Poitiers. Le 15 avril 1592, il effectua un échange d'héritage avec Guillemin Dorcenge. |
- POIRIER Jean. Il signa à Bouteville, le 22 janvier 1769, après la publication des trois bans, au mariage de François Sauvestre, (fils de François et de Louise Guillot), et de Jeanne Rabit (fille de Pierre et d'Ester Augeraud). |
- POIRIER Jacques. Il fut parrain, le 26 octobre 1771, de Jacques-Helie POIRIER, fils de Pierre, notaire royal, et de Marie Roux (Il eut pour marraine Louise Puissant). |
- POIRIER Jacques, fils de Pierre, tisserand, et
de Jeanne Moulet. Il était né le 8 février 1788, et fut baptisé le lendemain. Il eut pour parrain Jacques POIRIER, et pour marraine Louis MOULET. |
Branche des POIRIER de Longeville : |
Les POIRIER de Longeville tirent leur nom du logis noble situé sur la commune de Châteauneuf sur Charente. |
- POIRIER Philippe, sieur de l'Etang, demeurant à Châteauneuf, effectua une transaction au sujet d'une obligation avec René d'Anton, écuyer, sieur du Bourg et de la Sablière, demeurant au lieu dit de la Sablière, paroisse de Saint-Léger de Blanzac. (à moins que ce soit plutôt sur la paroisse de Saint-Estèphe). |
- POIRIER de LONGEVILLE Jeanne. Elle épousa, le 17 avril 1719, Jean Piet de La Descenderie, fils de François, et de Marie Fé (de la famille Fé de Ségeville). Il décéda le 2 novembre 1754. Elle même décéda le 16 janvier 1762. |
- POIRIER de LONGEVILLE Jeanne. Elle fut citée comme assistante de la Communauté de l'Union Chrétienne, dans plusieurs actes en 1744 et 1745. |
- POIRIER de LONGEVILLE Jean-Louis. Il épousa, le 17 août 1716, Marguerite Rambaud, fille de Pierre, seigneur de Mareuil et de la Roque, conseiller du roi et lieutenant particulier au siège de Cognac; et de Jeanne Fleury, de Châteauneuf. |
Filiation suivie : |
I) POIRIER de LONGEVILLE Jean-Louis. Il s'agit peut-être de la même personne que le Jean-Louis cité précédemment. Si c'est le cas, il se sera donc marié deux fois. Il épousa Catherine Desmier. Il avait obtenu, le 26 février 1737, le brevet de maître de Poste de Châteauneuf, où il remplaça le sieur Maurice Nouveau. Il décéda avant le 20 février 1744, date à laquelle sa veuve obtint la survivance de sa charge. Ils eurent pour enfants :
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II) POIRIER de LONGEVILLE Jean-François. Le 3 janvier 1754, il fut procureur de sa mère, pour donner quittance à Monsieur Gralhat, directeur des Postes d'Angoumois. Il devint maître de poste à Roullet. Il épousa Anne Menault, alias Mesnault, fille de Jean Mesnault de Pinfrian, et de Catherine ?. Il décéda avant le 9 avril 1779, date à laquelle sa veuve reçu du roi Louis XVI, un brevet de survivance, rédigé au nom de Anne Menant veuve POIRIER de Longeville. Elle décéda à Roullet le 30 avril 1819, âgée de 86 ans. Ils avaient eu pour enfant :
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