de PERRY |
D'argent
à la bande de sable accompagnée de deux lions léopardés
de gueules, l'un en chef et l'autre en pointe. (Il est parfois dit 2 lions, à la place des lions léopardés) Support : deux griffons. Cimier : Une tête de licorne. (Petiet René : Armorial Poitevin). |
D'argent à deux lions léopardés de gueules,
au chef de sable. Support : deux griffons. Cimier :Une tête de licorne. (Abbé Lecler : Dictionnaire historique de la Haute-Vienne). |
La maison de PERRY était originaire d'Irlande où elle avait rang parmi les anciens barons de ce pays. |
I) PERRY Guillaume, écuyer, vint en France sous le régime de Charles VII, roi de France. Il servit dans les gardes du corps de ce prince. L'angoumois faisant partie du domaine royal, le roi, en récompense de ses services, lui fit don de terres du Mas Marteau (Confolens). De son union avec Ysabeau Eimbasmade, il eut :
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II) PERRY Pierre, écuyer, sieur du Mas Marteau. Il épousa le 5 juin 1470, Jeanne Tizon, dame de la Chauffie, fille d' Aymeri, sieur de la Chauffie (Pressignac). (Devant Guy Vidault, prêtre, notaire juré du château et châtellenie de Chabanais, Confolens, Loubert et Châteaumorand). Elle fut dotée par son père et son frère Jean, de la somme de 300 écus neuf du poids de Fleurance, ainsi que d'un moulin, nommé de la Combe, avec ses droits et appartenances, situé au bord de la Vienne, entre le ruisseau qui descend de la fond de la combe d'une part, et le ruisseau qui descend de la fond de Prissac d'autre part.. Le contrat fut passé en présence de frère Pierre de Cabon, prieur du prieuré de Pressignac, et d'Héliot Singaraut (Sinagaraud). (Abbé BUREAU). La famille Tizon (alias Tison), portait pour blason : "D'or à deux lions léopardés de gueules, l'un sur l'autre, et au lambel de gueules en chef". Il n'est pas impossible que les PERRY adoptèrent les deux lions léopardés, en signe d'alliance. Jeanne Tizon, devenue veuve, fit son testament le 16 janvier 1496, (Haynie, notaire en la chancellerie de Chabanais). Elle y fixa le lieu de sa sépulture, dans l'église paroissiale de Pressignac et tombeau de ses prédécesseurs, et fit plusieurs legs pies. Elle légua aussi à son fils François ses biens meubles et acquêts immeubles assis tant au lieu du Mas Marteau, ses appartenances et ses dépendances (situées tant en la terre et châtellenie de Confolens, ainsi que dans le comté de la Marche). Il décéda le 30 janvier 1496, ayant eu pour enfants :
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III) PERRY François, écuyer, sieur de la Chauffie (Pressignac), de Mas Marteau, et de Mazières. Par testament du 21 janvier 1496, Jeanne Tizon, sa mère, l'institua son héritier. Il rendit un hommage, le 27 septembre 1526, (par acte passé au lieu noble de Calfia, par François Bigard, clerc en la chancellerie de la châtellenie de Chabanais, Confolens, Loubert et Câteaumorand), et reconnut tenir en fief de noble et puissant seigneur Louis, vicomte de Rochechouart, seigneur de Tonnay Charente et de Mauzé, sous un hommage lige et serment de fidélité de 50 sols tournois, pour un hébergement situé près du château de Rochechouart, avec le verger et colombier, et autres appartenances. (Abbé BUREAU). Il fit un autre hommage le 21 mai 1539 (Chassat et Bléat, greffiers), à Jean de Vendôme, vidame de Chartres, prince de Chabanais. (Simon des COUSTURES). (Nouveau d'Hozier - Dossier PERRY). Il épousa Charlotte Chauvet, fille de Jean, seigneur de Frédaigues, et de Françoise de Bonneval. Le 21 mars 1551, il fit son testament et fixa le lieu de sa sépulture au devant de l'église paroissiale de Pressignac. Il légua à Claude, son fils aîné, par préciput, ses biens acquêts immeubles, à prévaloir dans sa succession avant tout partage avec ses cohéritiers. Il nomma pour exécuteurs testamentaires, Hierosme de Caingrelles, écuyer, sieur du Mas Marteau, et maître Jean Laurens, prêtre.(F. Boules, notaire sous la cour de l'official de Limoges). Ce testament fut extrait, collationné et vidimé à son original le 21 juillet 1582, à la requête de Joseph Cailhou, écuyer, sieur de Pressac, tant pour lui que pour demoiselle Hilaire de Caingrelles, sa femme, assisté de maître François Ramperien, son avocat, et aussi en présence de maître Pierre Le Comte; comparant pour Claude PERRY, écuyer, seigneur de la Chauffie, devant Jean Robert, conseiller du roi, lieutenant général en la sénéchaussée de la Basse-Marche. (signé Robert et Rampion, greffiers). (Abbé BUREAU). De son union avec Charlotte naquirent :
Cette Hilaire de Caingrelles épousa aussi Joseph Cailhou, écuyer, seigneur de Pressac. Il se disait aussi seigneur du Mas Marteau, d'où un conflit pour cette terre avec la famille de PERRY. |
IV) PERRY Claude, écuyer, sieur de la Chauffie et de Mas Marteau, demeurant en la paroisse de Pressignac. Il épousa en 1551, Florence de Saint-Georges, fille de Jean, sieur du Fraisse, et de Léonarde de Razès, dame de Balledent. Il semble qu'à cette époque, les PERRY passèrent à la religion protestante. le 20 octobre 1563, il produisit une quittance de 2000 livres, pour payer les dettes de son père François PERRY. (Simon des COUSTURES). Il fit son testament le 22 octobre 1586 (Feynaud, notaire), et ordonnait que son corps soit inhumé dans l'église paroissiale de Pressignac, dans les tombeaux de ces prédécesseurs. Il donna et légua la charge, cure et tutelle de ses enfants à Florence de Saint-Georges, sa femme, ainsi que l'administration de ses biens. Il donna à Françoise, sa fille, la somme de 4000 écus, moyennant quoi elle devait renoncer à toute succession directe et collatérale au profit de son frère Louis. (Abbé BUREAU). Henri de Navarre lui accorda le 18 mai 1588, des lettres de sauvegarde datées de Montaignac, par lesquelles il l'exempta de tout logement des gens de guerre, et le mit lui et sa famille, sous sa protection. Il fit un contrat de vente, passé au lieu de la Chauffie, le3 juillet 1589 signé Denet, notaire royal), en faveur de Robert Crodin, écuyer, sieur de Fraude, de certaines rentes. (Nouveau d'Hozier - Dossier PERRY) De son union naquirent, entre autres :
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V) PERRY Louis, écuyer, sieur de la Chauffie, habitant du dit lieu de la paroisse de Pressignac. Il fut constitué légataire universel de son père en 1586. Le 27 avril 1602, il signa une transaction avec Pierre Malar, marchand d'Angoulême. (Simon des COUSTURES). Par contrat de mariage (Madranges, notaire), passé le 10 mars 1596 au château de Mayac en Périgord, il épousa Marguerite d'Abzac, fille de défunt François, écuyer, sieur de Mayac, de la Rivière et de Limeyrac; et de Bonne d'Heu. La future épouse fut assistée de dame sa mère qui lui constitua la somme de 4000 écus sols, valant 12000 livres, outre ses bagues, joyaux et habits et ornements nuptiaux). Le 15 mai 1627, il rendit foi et hommage, baiser et serment de féauté, qu'il devait pour cause de sa maison noble, fief et seigneurie de la Chauffie, appartenances et dépendances, à Adrien de Montluc, prince de Chabanais, comte de Carmain, baron de Montesquieu; dans la grande salle du château de la ville, sénéchaussée et principauté de Chabanais. (Gondolin et de La Quintinie, greffiers). (Abbé BUREAU). De cette union naquirent 12 enfants, entre autres :
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VI) PERRY Raymond, écuyer, sieur de la Chauffie et de Rossignol (Gouts-Rossignol - Dordogne). Il naquit le Ier juin 1614, et eut pour parrain Raymond d'Abzac, et pour marraine Anne PERRY, dame de Villars. Il épousa le 5 février 1641, Souveraine de Lageard, fille de Philippe, chevalier, sieur de Charnard, Saint-Martial de Viveyrol, Beauregard, conseiller du roi et son sénéchal en Angoumois; et de Renée Goulard. Souveraine fut assistée de ses père et mère puis lui constituèrent 12000 livres. (acte reçu par Seguin, notaire royal en la principauté de Chabanais). (Abbé BUREAU). Il eut acte le 15 janvier 1667 de la représentation de ses titres, devant d'Aguesseau, commissaire pour la vérification des titres de noblesse dans la généralité de Limoges. (Abbé BUREAU). De son union avec Souveraine naquirent 5 enfants, dont : |
VII) PERRY Isaac, chevalier, sieur marquis de la Chauffie, Pressignac, Rossignol et Chassaignac. Il naquit le 6 avril 1655, et eut pour parrain Isaac PERRY de la Roche de Genouillac. Le 29 juin 1681, il épousa par contrat, Anne de Rochechouart, fille de Jean, chevalier, comte de Saint-Auvent, marquis de Montmoreau, Marval et autres places; et Marie Regnault. (Chapuis, notaire à Saint-Auvent). (Abbé BUREAU). Ils habitèrent à la Chauffie. Le 18 avril 1695, il reçut une lettre de M. de Sourdis, lui informant de se tenir prêt à partir pour le ban et l'arrière-ban. (Abbé BUREAU). Il eut un certificat de service au ban du Périgord, le 27 novembre 1697 (LaDouze), et un autre le 11 août 1702, (Villette), constatant qu'il servait alors dans l'escadron commandé par M. de Loche. (Abbé BUREAU). Le 4 juillet 1703, il eut un certificat de M. le Maréchal de Chamilly portant qu'il servait alors dans l'escadron des gentilshommes d'Angoumois. Il en eut encore un autre le 3 septembre 1703 de M. Villette de Marsay, portant qu'il servait dans l'escadron de Charente. (Abbé BUREAU). De 1682 à 1700, 9 enfants naquirent à la Chauffie, et 2 en 1685 et 1688, à Chez Boige, paroisse de Lézignac-Durand. Anne de Rochechouart hérita des biens de son père, après le décès de celui-ci en 1695, et le décès de son frère aîné, Jean II, en 1709. A cette date donc, Isaac devint comte de Saint-Auvent et baron de Montmoreau. Ils partirent habiter le château de Saint-Auvent, qui devint alors leur résidence principale. Le 27 avril 1713, il transigea, devant Rousseau, notaire royal de la ville de Périgueux, avec Hélie d'Escravayat. (Abbé BUREAU). Anne décéda en 1730, et Isaac en 1735. Il fut inhumé à Pressignac. Parmi les 11 enfants, 6 sans doute moururent en bas-âge, et furent inhumés à Pressignac. Les 5 restants furent :
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VIII) PERRY François, né à la Chauffie le 29 avril 1694, seigneur comte de Saint-Auvent, baron de Montmoreau, sieur de la Chauffie, Marval, Milhaguet (Saint-Mathieu - Haute-Vienne), Saint-Martin de Jussac, du quartier Saint-Pierre de la ville de Saint-Junien (Haute-Vienne), de Saint-Cyr en partie, du Mas Vicomtaud (faubourg de la ville de Saint-Junien), et autres lieux. Il épousa par contrat du 17 août 1723, Marie Anne Gabrielle Frottier de La Coste, fille de Benjamin Louis Marie, chevalier, marquis de la Coste Messelière, sieur des Ouches (près de Melle - Deux-Sèvres), et autres lieux, lieutenant du roi du gouvernement de la province de Poitou; et d'Elisabeth Olive de Saint-Georges de Vérac. En juin 1736, il rendit hommage à l'évêque d'Angoulême, pour raison de sa baronnie de Montmoreau, située dans l'étendue de la sénéchaussée d'Angoulême. François décéda le 8 février 1759, et fut inhumé dans le caveau situé sous le choeur de l'église de Saint-Auvent. Il avait sans doute testé en faveur de sa femme, car elle conserva la gestion de tous les biens de la famille jusqu'à son décès en 1781 ou 1782. De leur union étaient nés 7 enfants :
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IX) de PERRY Louis Benjamin Annet, né le 18 décembre 1726, marquis de Perry, sieur de Montmoreau. En 1743, il fut lieutenant en second, sans appointements, au régiment du Roi-Infanterie. En 1747, il obtint l'agrément d'acheter une compagnie au régiment de Cavalerie de Noailles. Il fut réformé à la fin de la campagne de 1748, et acheta ensuite une autre compagnie, au même régiment, dont il devint lieutenant-colonel. Il était brigadier des armées du roi (4 août 1770), et chevalier de Saint-Louis à son décès en 1774. Il épousa par contrat de mariage du 22 décembre 1767, Suzanne Adélaïde Estienne de Fontenay de Gomberville (née à Pont-Audemer en 1742, décédée à Paris en 1822), fille de François Estienne de Fontenay, directeur général des aides à Neufchâtel en Normandie; et de Marie Anne Dumouriez (alias du Mourier de Perier). Il décéda à Saint-Auvent, le 9 janvier 1774, ayant eu pour enfants, de Suzanne Adélaïde :
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X) de PERRY Hubert Léonor Benjamin, né à Pont-Audemer le 24 janvier 1770. En 1785, il entra aux gardes du corps du roi, à la compagnie de Luxembourg. En 1788, il fut employé au camp de Metz, comme aide de camp de Monsieur le comte de Crillon. En 1789, il obtint une des douze commissions de capitaine de cavalerie à la suite du régiment de Luxembourg, et fit en cette qualité la campagne de 1792. Il émigra en Angleterre en avril 1793, et fit ensuite la campagne de 1794, au service du Prince d'Orange. La même année, il fut employé à la chancellerie de l'armée anglaise pendant tout le temps de son séjour en Allemagne. Il eut alors le grade de Major. Rentré en France en 1798, il épousa le 29 Thermidor an VIII (18 août 1800), au château des Dauges, commune de Chassenon, Marie Philippine de Roquard, fille de Jérôme, sieur des Dauges, et de Marie Elisabeth de La Bastide du Pêcher. A la Restauration (août 1814), il reçut la croix de Saint-Louis, et fut promu au grade de colonel de cavalerie. Il fut attaché à l'Etat Major de la ville de Paris. Il quitta l'armée en 1815. Il décéda au château de Saint-Auvent, en 1859, ayant eu pour enfants :
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Branche de NIEUIL : |
VIII) PERRY Jean, né en 1697 à la Chauffie. Il porta le titre de marquis de Montmoreau. Il fut donataire des terres de Rossignol et Vitrac, dans la contrat de mariage de son frère, le 17 août 1723. (Abbé BUREAU). Il épousa en 1724, Françoise Suzanne Grain (alias Green) de Saint-Marsault, veuve de Regnauld de La Soudière. Elle lui apporta la terre de Nieuil, et fera la branche des PERRY de NIEUIL. Il décéda en 1739, ayant eu pour enfants :
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IX) PERRY François Louis, né en 1729, marquis de Nieuil, sieur de Vitrac, Roussac, Bellevue et autres lieux. Il fut page du roi de la Petite et de la Grande Ecuries, en 1744. En avril 1789, il demeurait à Malleyrand lorsqu'il eut une comparution à Angoulême, pour l'assemblée de la Noblesse d'Angoumois. Il s'y fit représenter par Charles Normand de Garat, lieutenant des vaisseaux du roi. Il épousa Marie Thérèse, alias Louise, des Ruaux, fille d'Hélie Jean, comte de Rouffiac, et d'Elisabeth Gandillaud. Elle lui transmettra par ce mariage la terre de Moussac. Il décéda à Nieuil, en 1792, ayant eu pour enfants, au moins :
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X) PERRY Michel Olivier Isaac, né le 29 septembre 1765, et baptisé le même jour à Nieuil, marquis de Nieuil. Il fut capitaine de frégate, chevalier de Saint-Louis et de la Légion d'Honneur. Il épousa à Nouic (Haute-Vienne), le 9 janvier 1790, Thérèse Henriette des Monstiers, (1770-1829), chanoinesse du chapitre noble de Largentière, fille de François Martial, chevalier, vicomte de Mérinville et Brigueuil; et de Charlotte Elisabeth Gallucio de l'Hospital. Il fut détenu à Angoulême, suspecté d'émigration, puis mis en liberté par arrêt du comité de Sureté de la Convention Nationale, le 23 Vendémiaire an III. Un procès-verbal d'inventaire d'une métairie à Saint-Paul, (Chazelles ?), dont il était propriétaire, énonçait qu'il était présumé émigré. Cependant, il présenta à la municipalité de Saint-Paul, un certificat de municipalité de Nieuil, daté du 2 mai 1792, attestant qu'il se trouvait à la date du 27 mars 1792, dans la maison de son père, et y était demeuré depuis. (abbé Pierre BUREAU). Il décéda le 28 juin 1830 à Nieuil, ayant eu au moins trois enfants : (Pierrick MAITRE du CHAMBON).
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XI) PERRY de NIEUIL Augustin Marie, né en 1803. Il fut officier de dragons, démissionnaire en 1830. Il épousa le Ier septembre 1832, Marie Henriette Melchiorine de Nuchèze (1810-1879). Il décéda le 5 avril 1873, ayant eu pour enfants : (Pierrick MAITRE du CHAMBON).
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Branche de MALLEYRAND (Yvrac et Malleyrand) : (Héloïse BADINAND). |
VI) PERRY René, écuyer, sieur de Mareuil. Il épousa par contrat en 1647, Guillemine du Souchet, fille de défunt Pierre, sieur de Malleyrand (Yvrac et Malleyrand), et de Léa de Courraudin. Le contrat de mariage assigna en dot à Guillemine tous les biens de ses parents. De cette union naquit : |
VII) PERRY Henry, né vers 1657, sieur de Malleyrand. Le 22 avril 1692, il épousa à Montemboeuf, Jeanne de Séchères (née le 12 août 1668 à Mazerolles, décédée le 23 novembre 1750 à Montemboeuf), fille de Jean, sieur d'Ecossas, et de Marie Dauphin. Il décéda le 19 mars 1730 à Yvrac et Malleyrand, ayant eu pour enfants :
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VIII) PERRY Louis, écuyer, sieur de Malleyrand. Il épousa en premières noces Catherine Dauphin (décédée avant le 9 janvier 1770). De cette union naquirent :
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IX) PERRY de MALLEYRAND Pierre, écuyer. Il épousa le 9 janvier 1770 à Chabanais, Marie Françoise Delimagne, fille de Jean, et de Jeanne de Lapisse. Il décéda avant le 27 juillet 1790, ayant eu pour enfants :
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X) PERRY de MALLEYRAND Louis, né le 12 janvier 1771 à Yvrac et Malleyrand, écuyer. Il fut élu maire d'Yvrac et Malleyrand. Le 27 juillet 1790, il épousa à Asnières sur Nouère, Marie Françoise Nadault de Nouhère, fille de Pierre Marie et de Marie Françoise Dubois de La Vergne. De cette union naquirent :
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XI) PERRY de MALLEYRAND Jean Antoine, né le 7 mai 1791 à Malleyrand, écuyer. Il fut lieutenant des grenadiers au 8ème régiment de Lignac-capitaine, le 13 mai 1828. Le 18 avril 1834, il fut breveté chevalier de la Légion d'Honneur. Le 5 juillet 1824, il épousa à Dijon (Côtes d'Or), Claudine Antoinette Nicole Caroline Surget, (née le 5 juillet 1796 à Dijon, décédée le 30 mai 1871 à Angoulême), fille de Nicolas, et de Marie Marguerite Thierry. Il décéda le 6 avril 1878 à Angoulême, ayant eu pour enfants :
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Noms isolés : |
- de PERRY Jérôme Philippe, né le 21 mars 1827 à Vitrac (Vitrac Saint-Vincent). Il fut lieutenant de cavalerie, puis capitaine au 23ème régiment de dragons. Par décret du 28 décembre 1867, il fut fait chevalier de la Légion d'Honneur. Il décéda le 2 avril 1879. (Pierrick MAÎTRE du CHAMBON) |
- de PERRY Isaac Bertrand, né vers 1830. Il fut docteur en médecine à la faculté de Paris. De son union avec Octavie Euphémie Constans (née vers 1832), naquit :
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- de PERRY Henri, qui décéda pendant la guerre de 1914-1918. Il fut cité sur une plaque commémorative située dans le hall d'entrée de la bibliothèque de Droit de la faculté de Poitiers. (Pierrick MAÎTRE du CHAMBON) |
- de BREMOND d'ARS : Extrait
du cahier du rôle du ban et arrière-ban de la sénéchaussée
d'Angoumois, 1635. - Dr GREZILLIER : (Bulletin de la société archéologique et historique de la Charente, année 1973-74 - Simon Des COUSTURES : Nobiliaire de la Généralité de Limoges. - Abbé Pierre BUREAU : Les émigrés charentais. - Importante documentation généalogique envoyée par M. Martin PINOT. - Pierrick MAITRE du CHAMBON : Précisions généalogiques sur Michel Olivier Isaac PERRY et sa descendance. - Héloïse BADINAND : Généalogie sur Geneanet : http://gw.geneanet.org/badinand?lang=fr;p=rene;n=perry |