GARNIER
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Gironné d'or et de gueules de 8 pièces. (Branche de la Boissière) |
Famille noble et très ancienne originaire du Poitou, où elle s'est divisée en plusieurs branches. |
Filiation suivie : |
I) GARNIER Pierre, écuyer, seigneur de Villedon, la Coindrie et la Coudre. Il fut maire de Poitiers 14 fois de 1230 à 1239, 1243 à 1444, 1247 à 1248, 1257 à 1258, 1260 à 1261. Au mois de juin 1230, il rédigea de concert avec les bourgeois de la commune, avec l'évêque et les abbayes, un règlement général de tous les moulins de la ville. Il fit construire la même année, de nouveaux jeux de paume, et possédait en 1232 des jardins dans la censive de l'abbaye de Sainte-Croix, au Pré l'Abbesse. Il possédait également des vignes situées devant l'Aumônerie de la Tranchée. D'une alliance inconnue, il eut semble-t-il pour fils : |
II) GARNIER Pierre, écuyer, seigneur de Villedon, la Coindrie et la Coudre. Il fut élu maire de Poitiers en 1264 et l'était encore en 1267, 1271, 1275, 1280 et 1283. Il assista avec son prédécesseur Guillaume Barbier aux assises tenues au mois de juillet 1265, par le sénéchal de Poitou, dans lesquelles ce magistrat rendit une ordonnance relative à un litige pendant, entre le comte et le chapitre de Saint-Hilaire. Avec les échevins et le prévôt de Poitiers, il rédigea une ordonnance sur la police des taverniers, qu'il rendit exécutoire le Ier juillet 1272. Le même jour, il publia également une ordonnance sur les regrattiers, et le 30 août parurent de nouveaux statuts sur les cordonniers. Pierre possédait des maisons situés sans la prévôté de Poitiers, et fut en 1286 l'un des exécuteurs testamentaires de Girard de Reims. Ce fut lui, ou peut-être son père, qui d'après Thibaudeau, fonda une chapelle dans l'église de Sainte-Radegonde de Poitiers. D'une alliance inconnue, il eut pour enfants :
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III) GARNIER Aimery, écuyer, seigneur de Villedon, la Coindrie et la Coudre. Il rendit plusieurs fois aveu de la terre de la Coindrie au château d'Argenton, appartenant au duc d'Uzès. En 1286, il fit l'acquisition d'un moulin à eau sur la rivière de Dollan en la paroisse de Saint-Aubin du Plain (Deux-Sèvres), par acte passé par Jean Doyen, notaire à Bressuire. Il semble qu'il eut pour enfants : |
IV) GARNIER Guillaume, écuyer, seigneur de Villedon, la Coindrie et la Coudre. En 1321, il fit hommage pour le fief de Villedon au château de Lezay (Deux-Sèvres). D'une alliance inconnue, il eut pour enfants :
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V) GARNIER Louis, écuyer, seigneur de Villedon et Butré (Lezay - Deux-Sèvres). Il épousa en premières noces Jeanne Pontenier, veuve de Pierre Bruleau. De cette union naquirent :
Elle en était veuve le 11 juillet 1421, d'après un dénombrement qu'elle rendit à cette date à Jacques de Beaumont, chevalier, seigneur de Bressuire, la Mothe Saint-Héray, etc., à cause du château de ce dernier lieu, des fiefs et seigneuries du Couldré, paroisse de Clussais (Deux-Sèvres), contenant de 60 à 80 septerées de terre ou environ, mesure de Lezay (Archives de la Coussière). De cette seconde union naquit :
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VI) GARNIER Louis, écuyer, seigneur de Villedon, Butré. Il arrenta quelques pièces de terre à Louis Bellin, de Lezay, en 1465. Le 20 mars 1476, il succéda comme échevin à Jean Boislève, fut maire de Poitiers en 1479, et ambassadeur près du roi d'Angleterre. Il fut également maître des requêtes du roi Louis XI, qui apprécia son habileté et sa fidélité. D'une alliance inconnue, il eut pour enfants :
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VII) GARNIER Hilaire, écuyer, seigneur de Butré, Lezay, Villedon. Il était encore vivant à la date du 11 octobre 1519, époque où avec son épouse, Marie de Troussange, fille de Charles, écuyer, seigneur de la Voulte et de Limor, se firent une donation mutuelle dans laquelle ils demandèrent à être enterrés dans l'église de Lezay, en la sépulture de leurs parents. Cet acte fut passé à Butré en la cour de Lezay, par A. Vincent, notaire à Rom (Deux-Sèvres). Le 14 décembre 1524, Charles de Troussange, écuyer, seigneur de la Voulte et de la Haute Maison de Limor, y demeurant, paroisse de Clussais (Deux-Sèvres), fit une donation en raison des services rendus par Hilaire GARNIER et Marie de Troussange, sa femme, à René et Guillaume GARNIER, leurs enfants, de tous ses biens (dont il garda cependant l'usufruit sa vie durant), avec la tierce partie de son domaine, sous la réserve de ladite Marie de Troussange, sa fille et leur mère. Cet acte fut passé à Limor par Meschin, alias Neschin, notaire à Lezay, et Y. Bernard, notaire en la cour de l'archiprêtré de Chaunay. Hilaire décéda avant le 25 mai 1546, date où sa veuve était remariée avec Jacques de Frondeboeuf, écuyer. Le partage de ses biens entre ses enfants eut lieu à cette même date. De l'union d'Hilaire et de Marie naquirent :
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VIII) GARNIER René, écuyer, seigneur de la Voulte, Butré, etc. Il rendit hommage à Civray (Vienne) pour son hébergement de la Voulte, de Mairé et d'Aulneau, paroisse de Mairé-l'Evescault (Deux-Sèvres), le 23 février 1547. Il fut cité dans la donation de son aïeul maternel Charles de Troussange. Le 3 août 1554, il transigea par acte passé par Jean Nourry et Jean Boucard, notaires à Melle, avec Guillaume et autre Guillaume, ses frères, au sujet de la succession de leurs père et mère, dans celle de feu Charles de Troussange, écuyer, seigneur de la Voulte, et dans celle de feu Olivier GARNIER, leur oncle paternel, seigneur de Butré, qui leur avait laissé plusieurs beaux domaines tant nobles que roturiers, situé en pays de Poitou. René, comme aîné et principal héritier, eut pour son droit d'aînesse l'hôtel et la seigneurie de Butré (Carrés d'Hozier) et Archives de la Vienne). René épousa en premières noces Jeanne d'Estampes, et en eut pour enfant :
Il décéda avant le 25 septembre 1588, ayant eu pour enfants de cette seconde union :
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IX) GARNIER de La ROCHE-SÉCHAUD Gilles, écuyer, seigneur de la Garnerie, de la Roche-Séchaud (Vieux-Cérier), et de la Courrière. Le 8 janvier 1563, il épousa à Champagne-Mouton, (Vadier et de Goret, notaires de la baronnie de Champagne-Mouton), Jeanne de Goret, fille de François et de Jeanne Rousset. (M. Rempnoulx du Vignaud la dit fille de Mathurin, seigneur de Fontclairet, et de Pernelle Berthelot) De cette union naquirent au moins :
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X) GARNIER de La ROCHE-SÉCHAUD Joseph, écuyer, seigneur de la Roche-Séchaud et de la Boissière (Champagne-Mouton). Il épousa le 7 juin 1604 à Civray (Vienne), (Guény, notaire à Civray - Vienne), Suzanne de Nouzières de la Boissière, fille de Jacques, écuyer, seigneur de la Boissière, et de feu Françoise Landry. Ce mariage lui apporta la seigneurie de la Boissière, dont il rendit foi et hommage le 8 août 1633, au baron de Champagne-Mouton, et aveu et dénombrement le 28 janvier 1635, tant en son nom que comme maître des droits de sa femme. Il décéda avant le 23 août 1649 (Archives de la Vienne), ayant eu pour enfants :
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XI) GARNIER de La BOISSIÈRE Jacques, écuyer, sieur de la Boissière. Il comparut avec son père au ban et arrière-ban du Poitou, en vertu d'une procuration que ce dernier lui avait donné le 30 août 1635, et reçut deux certificats, l'un de Pierre Gaucher, commissaire extraordinaire des guerres, du 21 novembre 1635, et l'autre du sieur Martel de Tricon, commandant de la noblesse du Poitou, le 10 décembre 1635. Il partagea avec son frère Pierre et sa soeur Jacquette, la succession de Joseph GARNIER, leur frère, le 22 août 1650. Il était domicilié à Champagne-Mouton. Le 25 juin 1644, il obtint de M. de Voyer d'Argenson, intendant du Poitou, une ordonnance qui le déchargea ainsi que ses frères, d'une taxe de franc-fief imposée sur le fief de la Boissière. Le 15 février 1653, (Pierre de Laire, notaire à Ruffec), il épousa à Ruffec, Anne du Magnou du Breuil-Charente, fille d'André, seigneur du Breuil-Charente, et de feu Anne du Bois. De cette union naquirent :
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XII) GARNIER de La BOISSIÈRE Jean, né le 27 février 1650 à Champagne-Mouton, et baptisé le même jour à l'église réformée de Champagne-Mouton, écuyer, seigneur de la Boissière. Il épousa le 17 juin 1686 à Ruffec (Arnault, notaire à Ruffec), Jeanne Girardin de Montgazon, domiciliée à Ruffec en 1686, fille de feu 'Isaac, seigneur de Montgazon, et de Marthe Collet. Le 30 avril 1695, il obtint un arrêt du conseil du roi qui le déchargea du droit de franc-fief auquel il avait été imposé pour le fief de la Boissière. Il fut maintenu dans sa noblesse par M. de Maupéou, le 12 avril 1698. Il décéda avant le 18 février 1713, ayant eu pour enfants :
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XIII) GARNIER de La BOISSIÈRE Pierre, né le 3 mai 1687 à Champagne-Mouton, baptisé le 11 mai, paroisse Saint-Michel de Champagne-Mouton, écuyer, seigneur de la Boissière (Champagne-Mouton), et du Breuil-Charente (Aizecq). Le 13 septembre 1704, il fit hommage à la duchesse de Saint-Simon, marquise de Ruffec, de la moitié du fief du Breuil-Charente (Aizecq), réunie au marquisat de Ruffec, tant pour lui que pour ses frère et soeurs. Il épousa le 7 novembre 1707 au château de Ruffec (de Mondion, notaire), Françoise des Moulins, fille de Jacques, intendant des affaires de la duchesse douairière de Saint-Simon, marquise de Ruffec; et de Marguerite Jolly. Le 14 février 1715, il fut maintenu dans sa noblesse par M. Quentin de Richebourg, intendant du Poitou. De son union avec Françoise naquirent :
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XIV) GARNIER de La BOISSIÈRE Jacques, baptisé le 23 juillet 1708 à Ruffec, écuyer, seigneur de la Boissière. Il épousa le 23 janvier 1735 à Ruffec, Marie Biraud de Chaudon, fille de feu Jean, seigneur de Chaudon, et de Catherine Querron. Ils eurent pour enfant :
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XV) GARNIER de La BOISSIÈRE André, écuyer, seigneur de la Boissière et de Fougère. Il était dit seigneur des Touches (Barro), en 1780. (Bruno SÉPULCHRE). Il épousa le 23 octobre 1775 à Nanteuil (Charente), (Dumagnou et Balland, notaires), Marie Rochette, fille de feu Pierre, seigneur de Pluzet (?), avocat en parlement, et de Madeleine Lousmeaud. De cette union naquirent :
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XVI) GARNIER de La BOISSIÈRE Pierre Paul Jacques André, né le 18 septembre 1776 à Nanteuil. Il épousa en 1805, Marie Elisabeth Geoffroy. Il décéda en 1822, ayant eu pour enfant :
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Branche des comtes de la BOISSIÈRE : |
XIV) GARNIER de La BOISSIÈRE André, baptisé le 15 février 1712 à Ruffec, écuyer, seigneur de la Maingotterie, du Bois, et de la Boissière. Il fut porte-étendard des gardes du corps du roi, compagnie de Beauvau, puis capitaine de cavalerie. Il devint ensuite capitaine de cavalerie, et fut breveté chevalier de l'Ordre Militaire de Saint-Louis. Le 14 février 1752 (Bechemilh, notaire de la baronnie de Champagne-Mouton), il épousa à la Maingotterie (Chassiecq), Françoise de Salignac, dame de la Maingotterie, fille de Jean et de Marie Magdeleine de Cumont de Fief-Brun. Le 29 août 1779, devenue veuve, Françoise étant veuve, et demeurant au logis de la Chapelle à Cellefrouin, elle vendit le logis de la Maingotterie et ses dépendances à Geneviève Dubournais, veuve de Jean Col de Puygelier. (Jean-Paul GAILLARD). De cette union naquirent :
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XV) GARNIER de La BOISSIÈRE Pierre, né le 11 mars 1755 à Chassiecq, comte de l'Empire. Il fut à l'Ecole Militaire de la Flèche en 1764, puis à l'Ecole Royale Militaire, sur preuves faites devant d'Hozier de Sérigny, le 31 octobre 1769. Avant la Révolution, tout juste marié, Pierre GARNIER était en location au logis de la Boussardie, à Saint-Claud. (Thierry ASTIER). Nommé sous-lieutenant dans Custine-Dragons le Ier juin 1772, il eut rang de capitaine le 3 juin 1779, puis de capitaine de remplacement dans Montmorency-Dragons le 28 avril 1788. Quand ce régiment prit le nom de 2ème régiment de chasseurs à cheval le 15 septembre 1791, il y resta comme capitaine et le suivit à l'armée du Rhin. Au combat de Spire le 30 septembre 1792, à la tête de 12 de ses chasseurs, il fit prisonnier 300 autrichiens et reçut le Ier décembre suivant, en récompense de ce coup d'éclat, le grade de chef de brigade. Il fut fait prisonnier par les Prussiens le 13 juillet 1794, et fut échangé en avril 1795, et nommé général de brigade le 13 juin de la même année. Il fut successivement envoyé aux armées du Rhin, de la Moselle et d'Allemagne. Blessé à l'affaire de Rath le 10 décembre 1795, il passa à l'armée d'Angleterre, puis à celle de Mayence, où il fut nommé général de division le 23 février 1799. Il servit en Italie, en Suisse, et eut le commandement de l'armée de réserve jusqu'à la fin de la campagne de 1800 dans les Grisons. Mis en non activité le 23 septembre 1801, il devint inspecteur général d'infanterie le 28 décembre 1801, puis inspecteur général de cavalerie le 27 février 1802. Le premier consul le fit alors entrer au Sénat le 25 août de la même année, et à l'époque de la création de la Légion d'Honneur, il en fut nommé membre et grand officier le 14 juin 1804. Il fut pourvu de la sénatorie de Bourges, puis devint chambellan de l'empereur en février 1805. En 1807, l'empereur lui confia le commandement de la 4ème légion de réserve de l'intérieur, l'envoya en octobre présider le collège électoral de la Charente, et lui conféra le titre de comte par lettres patentes du 26 avril 1808. Il eut alors pour blason :
En 1792, il épousa Marie Boissière, et habita l'hôtel particulier de ses beaux-parents. (Thierry ASTIER). Sur la fin de sa vie, Pierre GARNIER acheta l'ancien château de Saint-Claud. (Thierry ASTIER). Il décéda le 14 avril 1809 à Paris, et fut inhumé au Panthéon, avant d'avoir pu se rendre à son dernier poste. Il avait eu pour enfants :
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XVI) GARNIER de La BOISSIÈRE Jean Frédéric, né le 6 mars 1796 à Saint-Claud, comte de la Boissière. Il fut page de Napoléon Ier, et devint officier d'ordonnance du général de Bordesoules. Il poursuivit sa carrière militaire sous la Restauration, fut breveté chevalier de la Légion d'Honneur en 1824. Il devint capitaine commandant le Ier régiment de cuirassiers de la garde royale en 1824, puis chef d'escadron. En 1829, il donna sa démission, et se présenta comme candidat républicain en 1831. Il échoua dans cette candidature, ainsi qu'en 1834. En 1839, il fut élu député de la Charente et siégea sur les bans de l'opposition avec son ami M. de Ludre. Il échoua aux élections de 1842, mais à la Révolution de février, il fut nommé commissaire du gouvernement provisoire dans le département de la Charente, puis fut élu représentant de ce même département à l' Assemblée Constituante le 23 avril 1848. Il prit place parmi les républicains modérés, vota contre l'abolition de la peine de mort, contre l'impôt progressif, contre l'amendement Grévy, et contre l'expédition de Rome, etc. Après cette législature, il ne fit plus partie du Parlement. Le 21 février 1824, il épousa Marie Anne Eulalie Blanchon. Il décéda le 19 mars 1873 à Angoulême, ayant eu pour enfant :
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XVII) GARNIER de La BOISSIÈRE Jules Octave, né le 7 février 1825, comte de la Boissière. Il épousa le 26 février 1862 ((Cambois, notaire à La Rochefoucauld), Marie Joséphine Emilie de James, fille de Charles Frédéric, et de Pauline Chabot de Peuchebrun. Il décéda au château de Monette (Abzac), le 15 mai 1894, ayant eu pour enfants :
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XVIII) GARNIER de La BOISSIÈRE René Frédéric Gustave Guy, né le 7 juillet 1871, comte de la Boissière. Il épousa le 11 avril 1899 (Bourdoiseau, notaire à la Ferté-Villeneuil - Eure et Loir), Germaine Henriette Louise Marie de Tarragon, fille de Louis Pierre Georges, chevalier de la Légion d'Honneur, et de Marie Thérèse Agathe de Cacqueray de Lorme. De cette union naquirent :
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Noms isolés : |
- GARNIER Guillaume, écuyer, sieur de Virezac (alias Viressac), qui avant 1556 possédait la Salmonie (Torsac). (Alain VALAGEAS). |
- GARNIER Laurent, sieur de Virezac, demeurant en Angoumois, paroisse de Ventouse, était le _ octobre 1572, archer de la compagnie de Sansac qui fit montre à Civray. |
- GARNIER Françoise, présenta le 29 juillet 1590, un enfant au Temple de Verteuil. |
- GARNIER Joseph, et - GARNIER Anne, présentèrent l'un et l'autre un enfant au Temple de Verteuil, le 12 septembre 1593. |
- GARNIER Abel, et - GARNIER Marie, présentèrent également un enfant au Temple de Verteuil, vers 1593. |
- GARNIER Pierre, écuyer, sieur de la Faye, eut de Louise Lambert, sa femme, une fille nommée Marie, qui fut baptisée à Pleuville, le 14 avril 1664. |
- GARNIER Françoise Céleste, épousa André Emmanuel de Salignac, chevalier, seigneur du Pavillon, demeurant paroisse d'Alloue. Elle fut marraine à Mauprevoir le 22 janvier 1787. |
- BEAUCHET et FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou. - Vicomte A. REVEREND et comte E. VILLEROY : Armorial du Premier Empire. - Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, rédigé par MM. P. de FLEURY et J. de La MARTINIÈRE, archivistes. - José DÉLIAS : articles sur Monette (Abzac), Coux (Beaulieu sur Sonnette), Clavachon (Champagne-Mouton), la Boissière (Champagne-Mouton), et Fontanon (Champagne-Mouton), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre. - Bruno SÉPULCHRE et Jean-Paul GAILLARD : articles sur l'Houmède (Alloue), Bec de Grolle (Condac), le Repaire (Nanteuil en Vallée) et la Roche (Vieux-Cérier), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre. - Bruno SÉPULCHRE : articles sur les Touches (Barro), et les Ballons (Ruffec), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre. - Jean-Paul GAILLARD : article sur la Maingotterie (Chassiecq), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre. - Alain VALAGEAS : article sur la Salmonie (Torsac), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre. - Fabrice TURLOTTE : Informations généalogiques. - Fabien ARBANÈRE : Généalogie sur Geneanet : - Précisions généalogiques apportéespar M. Thierry ASTIER. - http://gw.geneanet.org/fab21?lang=fr;pz=fabien;nz=arbanere;ocz=0;p=gilles;n=garnier+de+la+roche+sechaud |