de CULANT |
D'argent semé de tourteaux
de sable, au sautoir engrêlé de gueules. |
Famille noble originaire de la Brie, qui a donné aux armées
plusieurs officiers distingués, et nombre de chevaliers de Malte.
Sa filiation remonte à la fin du XIVème siècle. Les de CULANT furent possesseurs de terres dans la paroisse de Saint-Palais du Né. Ces terres dépendaient de la seigneurie d'Anqueville (1666-1824). Cette maison de CULANT prétendait être sortie de celle du Berry, dont elle reprit les armes au XVIIème siècle. Toutefois, elle ne put établir sa filiation sur preuves authentiques que depuis Guillaume de CULANT, qui va suivre. Cette famille posséda en Charente : - Saint-Même (Saint-Même les Carrières) : du 21 mars 1581 à 1743. - Le Grollet (Saint-Même les Carrières) : du 21 mars 1581 à 1743. - La Barde (Gondeville) : du 21 mars 1581 au milieu du XVIIème siècle. - Le Château de Gondeville : du 23 février 1607 au 22 décembre 1608. - Anqueville (Saint-Même les Carrières) : 1666 à 1824. - La Cantinolière (Villefagnan) : à la fin du XVIIIème siècle. |
Branche de SAINT-CYR : |
I) de CULANT Guillaume, huissier d'armes du Roi et du duc de Guyenne. Il vendit au roi, en 1382, des terrains situés près de la Bastille, à Paris. Il épousa Marguerite de DICY, dame d'Atilly en Brie. Ils eurent sans doute pour enfants :
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II) de CULANT Guillaume, seigneur d'Atilly. Il en fit aveu en 1440, d'après
LAINÉ, commissaire examinateur au Châtelet de Paris. Suivant la généalogie de MORÉRI, il épousa Marguerite de THUMERY, et en eut pour enfants :
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III) de CULANT Eutrope, écuyer, seigneur de Saint-Cyr en Brie. Suivant une enquête faite à Parthenay, le 2 août 1540, pour la famille LÉGIER, il eut pour enfants, d'une alliance inconnue :
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IV) de CULANT Charles, écuyer, seigneur de Saint-Cyr en Brie. Il fut appelé Charles dans l'enquête de 1540, et Jacques dans un Mémoire de titres, pour la famille LÉGIER, fait au XVIIème siècle. Cependant, dans cette pièce, les noms furent souvent erronés et confondus, par le copiste). Il épousa, le 7 mai 1514, Perrine LÉGIER (qui se remaria vers 1530 avec Pierre des OULLIÈRES, écuyer, seigneur de Puychevrier), fille unique de Jean, écuyer, seigneur de la Sauvagère, et de Madeleine CLAVEURIER. Ils eurent pour enfants, deux filles, (qui furent placées par leur oncle Jacques LÉGIER, écuyer, seigneur du Poiron, dans la maison de Mme de BOISY) :
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Branche de CIRÉ (Ciré d'Aunis - Charente-Maritime) : |
La maison des de CULANT de Brie prétendant être sortie de
celle des de CULANT du Berry, elle en reprit les armes au XVIIème
siècle, sans toutefois réussir à en prouver la filiation. Voici donc le blason des de CULANT du Berry :
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II) de CULANT Louis, écuyer, seigneur de Fontenailles. Il était dit le troisième fils de Guillaume et de Marguerite de DICY, mais il semble qu'il soit plutôt leur petit-fils. Il épousa en 1440, Henriette de VAUX, qui lui donna, paraît-il, pour enfant : |
III) de CULANT Jacques, écuyer, seigneur de Fontenailles. Il vint se fixer en Saintonge, à la suite de son mariage contracté en 1495, avec Françoise CHAUDRIER, dame de Coulonges et de Soulignone. Elle était peut-être fille de Jean, écuyer, seigneur de Cirières, de Noireterre, et de Joachime de BEAUMONT. Il était décédé en 1517, date d'une sentence de mainlevée obtenue par sa veuve, comme tutrice de leurs enfants mineurs. Ils eurent pour enfants :
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IV) de CULANT Olivier, seigneur de Coulonges, Ciré. Il fut désigné comme héritier de Marguerite, sa sœur. Il épousa le 27 octobre 1547, (et le 17 novembre 1547), Marie, alias Françoise de La ROCHEBEAUCOURT, fille de François, chevalier, seigneur de Saint-Mesme, gouverneur et sénéchal de Saintonge et d'Angoumois, seigneur de Semoussac et Sémillac en Saintonge, capitaine de 100 hommes d'armes des ordonnances; et de Bonaventure, alias Anne de la PERSONNE, dame de Varaize. Il testa le 16 août 1562, et décéda le 12 octobre de la même année. Il avait eu pour enfants :
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V) de CULANT Isaac, écuyer, seigneur de Ciré, Grollet,
Saint-Même. (Saint-Même les Carrières), et la Barde (Gondeville). Il partagea avec ses frères et sœurs les biens de leurs père et mère, le 21 mars 1581, et hérita de la seigneurie de Saint-Même et du Grollet, par sa mère. Le 22 décembre 1608, il vendit le château de Gondeville, (qu'il avait acquis en partie le 23 février 1607), à Samuel de LANAUVE. (Jean-Paul GAILLARD). Il épousa en première noce en 1581 (ou 1587), Prégente BASTARD, dame de Livois, fille de Georges (ou François), écuyer, seigneur de la Bastardière, Livois, etc., et de Françoise de La BOUCHERIE. Il épousa en secondes noces le 15 mars 1609, Marguerite de BLOIS, fille de Geoffroy, seigneur de Roussillon et Saintonac, et de Gabrielle de BOURZOLLE, et sœur de Jacques, marié à la fille de son mari. Elle en était veuve en 1624, et se remaria avec Louis de LIVENNE, lorsqu'elle transigea avec son frère précité, qui lui-même était veuf à cette époque, pour règlement de compte de tutelle. Isaac eut pour enfants de son premier mariage :
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VI) de CULANT Geoffroy, baron de Ciré en Aunis, seigneur de Saint-Même,
le Grollet, la Barde, etc. Il fit un traité en 1635 avec un sieur SIETTE, ingénieur-géographe, par lequel ce dernier s'engageait à dessécher une partie des marais noyés de la terre de Ciré, voisine de la mer. Geoffroy aliéna la Barde (Gondeville), à Pierre LAISNÉ, écuyer, procureur au présidial d'Angoulême. Il épousa par contrat passé devant maître Charles DESROBERS, notaire royal à Saint-Même, le 10 mars 1633, Jacquette MÉHÉE, dame d'Anqueville, fille de Gédéon MÉHÉE, écuyer, seigneur de l'Etang, et du Verger-Beau. Elle eut en dot, 60 000 livres. Geoffroy décéda avant 1647. Son épouse devenue veuve, épousa dès 1647, Louis VOYNEAU, écuyer, seigneur du Plessis-Mauclerc, (Jourdan) et décéda en 1663. (TRICOIRE). Geoffroy et Jacquette avaient eu pour enfants :
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VII) de CULANT René, dit
le marquis de Ciré, chevalier, seigneur baron de Ciré,
Saint-Même, le Grollet, etc. Il fut baptisé au temple de Saint-Même, le 25 Mars 1635. Il épousa, le 2 novembre 1655, (TRICOIRE indique le 10 décembre 1653), Madeleine HENRY, fille de Jacques, baron de Cheusse, (commune de Sainte-Soulle, canton de la Jarrie, arrondissement de la Rochelle). Ils eurent pour enfants :
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VIII) de CULANT René, comte
de CULANT, chevalier, seigneur baron de Ciré, Saint-Même,
le Grollet, etc. Il obtint une compagnie de cavalerie, mais par suite de mésentente avec ses chefs, il se retira dans ses terres. En 1695 et 1696, il fut choisi pour commander la noblesse de Saintonge, du ressort de Saint-Jean d'Angély. Il épousa le 15 septembre 1679 (TRICOIRE indique la date du 15 septembre 1673), Marie de GOMBAUD, dame de Champfleury et de la Trépontière, veuve de François de La ROCHEFOUCAULD, marquis de Roissac. Il décéda en 1715. Son épouse devenue veuve, décéda à Saint-Même, le 14 Décembre 1728 à l'âge de 73 ans. (Bruno VEILLON). Ils eurent pour enfant unique : |
IX) de CULANT René-Alexandre,
marquis de CULANT, baron de Ciré,
Saint-Même, le Grollet, Champfleury, etc. Il fut élevé dans le protestantisme que professaient ses parents, jusqu'à l'âge de 9 ans. Leur ayant été enlevé par lettre de cachet, il abjura, puis fit plusieurs campagnes dans un régiment d'infanterie de nouvelle levée, qu'il fut sur le point d'acheter lorsque le régiment, avec lui, fut fait prisonnier de guerre. Ayant été réformé à la paix, il se retira alors dans sa province. Il épousa à Saintes, le 31 juillet 1710, Jeanne d'AIGUIÈRES, fille de Louis, écuyer, seigneur de Trignan en Provence, et de Geneviève de MEAUX, dame de l'Isle en Poitou. Elle décéda à Saint-Même, le 12 novembre 1743, à l'âge de 55 ans (Bruno VEILLON) Il décéda trois mois après sa femme, à Saint-Même, (TRICOIRE indique que c'est en Allemagne), le 20 Janvier 1744, laissant pour enfants :
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X) de CULANT René-Alexandre,
marquis de CULANT, baron de Ciré,
Champfleury, etc. Il naquit à Ciré en août 1717, et décéda le 2 juin 1788. Il entra au service dans le régiment du Roi-Infanterie. Il devint capitaine au régiment de Royal-Pologne, avec lequel il fit les campagnes d'Allemagne jusqu'en 1744, époque où il se retira du service. Il fut employé sur les côtes de l'Aunis comme lieutenant-colonel de dragons, en 1747, 1748, puis plus tard pendant la guerre, avec le grade de colonel. Il fut nommé chevalier de Saint-Louis en mai 1763, ayant le brevet de mestre de camp de la même arme, pour prendre rang à partir du 10 octobre 1758. Il fut aussi artiste et littérateur, et laissa quelques écrits sur la musique, des drames, des poésies, etc. Il épousa en premières noces le 14 octobre 1744, Marie-Marguerite-Hélène BADY de DOURLERS, fille d'Antoine-François, chevalier, seigneur du Sart de Dourlers, grand bailli d'Avesnes, et de Marguerite ROUILLOIS de CASTAGNE (BEAUCHET-FILLEAU) (alias ROUILLON de CASTAGNE, (TRICOIRE), (alias ROUILLON de CASTAIGNE, (Philippe VALLANTIN DULAC), dame d'Arbres et de Normont, qui décéda, le 11 janvier 1747. (TRICOIRE indique le 12). Il épousa en secondes noces en 1777, Eugénie GOURGEAU, (BEAUCHET-FILLEAU), (TRICOIRE, indique GOURGAULT) sœur du célèbre acteur Jean-Baptiste-HENRI. René-Alexandre eut pour enfants de sa première union :
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XI) de CULANT Charles-Alexandre, comte
de CULANT. Il naquit le 27 novembre 1746 et fut baptisé le 28 novembre 1746, dans l'église Notre-Dame de La Rochelle. Il devint mousquetaire dans la seconde Compagnie, à partir de novembre 1762, puis capitaine de cavalerie en 1771. Il épousa le 13 novembre 1768 (BEAUCHET-FILLEAU), (TRICOIRE indique le 12 décembre 1768), Elisabeth-Lucie PETIT du PETITVAL, dame de Loiré, fille de Pierre-Alexandre-Gaspard, écuyer, seigneur du Petitval, et d'Angélique JARRY de LOIRÉ, dont il n'eut pas d'enfants. Il décéda avant son père vers 1773. Son épouse décéda le 19 Juin 1781. |
Branche du VERGER-BEAU : (Paroisse de Saint-Porchaire, rattachée à Bréssuire, Deux-Sèvres) |
VII) de CULANT René, écuyer,
seigneur de Saint-Même
et du Verger-Beau. |
VIII) de CULANT Geoffroy, écuyer,
seigneur de Saint-Même et du Verger-Beau.
(Saint-Porchaire, près de Bressuire - Deux-Sèvres) Il se fit catholique à sa rentrée en France en 1713, ce qui lui permit de rentrer dans ses biens. Il épousa Marie-Anne de BONCHAMPS, fille de René, écuyer, seigneur de Maurepart, et de Catherine de MEULLES. D'après une note, il serait décédé avant 1750, cependant, sa femme, rendant un hommage le 17 août 1776, se qualifia seulement d'épouse non commune de Geoffroy, sans mentionner le décès de ce dernier. Ils eurent pour enfants :
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X) de CULANT René-Alexandre,
marquis de CULANT, chevalier, seigneur marquis du Verger-Beau, châtelain
de Marsais, et autres lieux. Il assista comme parent maternel, le 7 juillet 1742, au conseil de famille qui interdit Gabriel-René de La HAYE-MONTBAULT, devenu fou. En 1752 et 1756, il rendit aveu à Jean-Baptiste HUGUETEAU de CHAILLÉ, pour la seigneurie d'Ante (Sainte-Pezenne - Deux-Sèvres), qu'il tenait du chef de sa femme. Il épousa le 17 juin 1750, Louise-Paule des VILLIERS de CHANTEMERLE, dame de la châtellenie, terre et seigneurie de Marsais en Aunis, (née le 5 avril 1719, et baptisée le 9 octobre), fille de Louis, écuyer, sieur de Chantemerle, et de Françoise-Catherine de La HAYE. Il décéda à Marsay en Aunis, avant 1757, (ou le 12 octobre 1764 suivant TRICOIRE). Il avait eu pour enfants :
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X) de CULANT Charles-André-Louis-Alexandre,
alias Louis-Henri-Charles-Alexandre, né à Niort, le 28 février 1755,
et baptisé le 2 mars. Le 10 décembre 1769, il assista, comme oncle de la mariée, au mariage de Charles-Alexandre-Louis CHALMOT, et de Marie-Louise-Renée-Elisabeth de CULANT. Il assista aussi le 9 avril 1776, au mariage de sa sœur, Marie-Louise-Radegonde de CULANT, avec Alexis-René-Angélique MARSAULT de PARSAY. A cette date, il était officier au régiment de Royal-Cavalerie. Il fut chevalier de Saint-Louis, et ancien officier au régiment de Piémont-Cavalerie. Il assista par procureur à l'assemblée de la noblesse du Poitou en 1789. Il émigra, et servit d'abord comme agrégé dans les gardes de Monsieur. Il passa à l'armée de CONDÉ, et y était encore à l'époque du licenciement (1801), comme maréchal des logis dans le régiment d'Angoulême-Cavalerie. Sa descendance, s'il eut une, est inconnue. |
Branche d'ANQUEVILLE (Saint-Même les Carrières) : |
VII) de CULANT Isaac, chevalier, seigneur d'Anqueville (Saint-Même). Le 21 mai 1666, pour régler des problèmes de partage, Claude CHASTEIGNIER fit don d'Anqueville aux neveux de Jacquette MÉHÉE et de Geoffroy de CULANT, dont Isaac. Il revint à la religion catholique. (*1) Il fut parrain d'Etienne Isaac HORRIC, baptisé le 8 mars 1700, à Chassors. La marraine fut Madeleine de RENOUARD, (peut-être la première épouse d'Isaac de RENOUARD). Témoin : Pierre de LACROIX. (*1) Il fut également témoin au baptême de Françoise Marie Julie HORRIC, baptisée le 29 avril 1699, à Chassors. Il figura dans un arrêt de 17 août 1701 et décéda peu après. Il épousa en 1662, Marie de CULANT, fille d'Henri, seigneur de Landrais (son oncle), et de Françoise de LIVENNE. Ils eurent pour enfants :
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VIII) de CULANT Gabriel, écuyer, seigneur d'Anqueville. Il exerça la charge de conseiller du roi. Il épousa le 27 janvier 1699, (TRICOIRE indique à Cognac, le 3 février), Elisabeth HILLAIRET (décédée en 1716), fille de Raymond, sieur de la Pomerade, et d'Elisabeth MESTAYER. Ils eurent pour enfants :
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IX) de CULANT François-Louis,
comte de CULANT, chevalier, seigneur d'Anqueville.
Il fut baptisé dans l'église Saint-Léger de Cognac, le 27 avril 1703. (Paul de LACROIX indique le mois d'août). Il servit quelques temps dans le corps royal de l'artillerie. Il vendit une rente à Jacques HORRIC, en 1739. Il épousa en 1724, Claire-Louise-Charlotte de BESNARD, fille de Charles, intendant de la marine à la Martinique, et de Claire PORTIER. Elle décéda à Saint-Même, le 3 février 1758, à l'âge de 50 ans. (Bruno VEILLON), (TRICOIRE indique le 1er février, TABUTEAU, notaire à Angeac-Charente). Le 9 mai 1739, il reçut un hommage de Marie DUQUÉROY de MAISONNEUVE, pour le fief, terre et seigneurie des Courades (Segonzac ?) Il décéda plus tard, à Saint-Même, le 21 Avril 1767, à l'âge de 64 ans. (Bruno VEILLON). De son union avec Louis-Charlotte sont nés :
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X) de CULANT Alexandre-Louis,
comte de CULANT, seigneur d'Anqueville.
Il fut baptisé à Saint-Même le 27 juillet 1733. (*) Il ne reçut les cérémonies du baptême que le 17 novembre 1734 (Registre paroissial de Saint-Même). Il eut pour parrain René-Alexandre de CULANT, marquis de CULANT, chevalier, seigneur des châtellenies de Ciré, Saint-Même, les Fraigneaux, etc., et pour marraine Jeanne d'AIGUIÈRES, épouse dudit marquis. Il devint lieutenant au régiment de Beauvaisis le 26 octobre 1746, capitaine au régiment de Beauvoisis en 1758, maréchal des logis des grenadiers à cheval en 1765, maître de camp de cavalerie en 1769, brigadier des armées du Roi, le 5 décembre 1781 (grade créé par Louis XIV en 1668, correspondant à celui de maréchal de camp), et enfin maréchal de camp en 1790. Il fut élu en 1789, avec le marquis Claude-Anne de SAINT-SIMON, député de la noblesse en Angoumois, aux Etats Généraux. Il décéda à Anqueville le 29 fructidor an VII (15 septembre 1799). Après la mort de sa veuve, décédée le 30 avril 1824 (Etat civil de Saint-Même), le domaine d'Anqueville fut vendu par les héritiers. Il décéda à son château d'Anqueville le 15 septembre 1799. Il avait épousé Marie-Jeanne-Monique POITEVIN de l'ÉPINIÈRE (née à Villefagnan), fille d'Henri POITEVIN-LOUBEAU, seigneur de Lespinière et de la Cantinolière; et de Marie GIRARD. En juillet 1787, Alexandre Louis se qualifiait aussi du titre de seigneur de la Cantinolière (Villefagnan). (Bruno SÉPULCHRE). Marie Jeanne Monique POITEVIN décéda sans postérité, à Saint-Même le 30 avril 1824, et le domaine d'Anqueville fut vendu par les héritiers. |
Branche de NIEUL : |
V) de CULANT Gabriel, écuyer, seigneur de Nieul. Il fut tué au siège de Saint-Jean d'Angély, en 1569. Les généalogies ne donnent pas d'autres renseignements sur lui, mais il dû avoir pour fils, ou pour petit-fils : |
VI) de CULANT Gabriel, écuyer,
seigneur de Nieul. Il épousa le 12 juin 1613, Gabrielle de VANDEL. Elle se remaria plus tard avec Charles de GALLARD, écuyer, seigneur de Parsay. Elle était fille de François, écuyer, seigneur de la Roche-Maurepas, et de Marguerite BARBASTRE. |