CHABOT de PEUCHEBRUN
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D'azur à deux chabots d'argent
posés en fasce, celui du chef regardant à dextre et celui de la
pointe à senestre. (Cachets de famille - BEAUCHET-FILLEAU) |
Famille originaire de la ville d'Aigre, qui occupa pendant plusieurs
années les charges de maire et de lieutenant général de
police à Cognac, ainsi que celle de secrétaire du roi près
la chancellerie de la cour des Aides de Bordeaux, charges qui conférait
la noblesse. Elle a fourni dans ses derniers temps un littérateur qui eut ses jours de succès et de célébrité. Cette famille posséda en Charente : - Le fief et château de Peuchebrun (orthographe actuelle : Péchebrun), sur les communes de Longré et Paizay-Naudouin, du 3 juillet 1718 à la fin du XIXème siècle. - Marcillé, alias Marsillé (Saint-Fraigne), durant la première moitié du XVIIIème siècle. - Le Breuil au Loup (Verdille), dans les années 1785. |
Noms isolés : |
- CHABOT Barbe, fut marraine à Chef-Boutonne le 15 décembre 1611. |
- CHABOT Isaac, habitant d'Aigre, épousa, le 7 janvier 1699, Marianne MAIN. |
- CHABOT N., seigneur de Marsillé, peut-être sieur de Courcelles. |
Branche de Peuchebrun. (Longré) |
I) CHABOT Isaac, seigneur de Boisfort, était originaire d'Aigre. Il résidait à Aigre lorsqu'il épousa Sylvie REGNIER. De ce mariage naquirent :
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II) CHABOT Jean, né vers 1683, habitant la paroisse
des Gours, écuyer. Par contrat du 21 août 1702, il épousa à Cognac (paroisse Saint-Léger), Anne Marguerite Catherine PERRIN, fille de Jacques, seigneur de Boussacq, élu en l'élection de Cognac, et de feue Anne MARTIN. Son père constitua en dot, à Jean CHABOT, sa charge d'élu de l'élection de Cognac. Jean eut ainsi droit de cité à Cognac dont il devint maire et capitaine en 1722 et 1723, charge qui à cette époque, conférait la noblesse (privilège aboli au mois de septembre 1723), puis encore en 1724, 1725, et 1727. Le 3 juillet 1718, moyennant 15900 livres, il fit l'acquisition du fief de Peuchebrun, de Nicolas de LESTANG. A cette somme s'ajoutèrent 1652 livres et 10 sols pour la jouissance immédiate des biens acquis. (André DAVID). (Lors du recensement de 1790, avait été inclus dans la paroisse de Paizay-Naudouin. Actuellement, il se trouve dans la commune de Longré). En 1752, il acheta de Moïse DUMAS une charge de secrétaire du Roi, maison, couronne de France, près la cour des aides de Bordeaux (autre office qui conférait la noblesse aux titulaires et à leurs enfants nés et à naître en loyal mariage). Le 12 février 1753, Jean vendit l'office de conseiller du roi, moyennant 11000 livres, à François MAULDE, avocat au présidial d'Angoumois. (CAILLAUD, notaire royal à Angoulême). (Collection des inventaires sommaires des archives départementales antérieures à 1790). Jean décéda le 8 mars 1765, âgé de 82 ans et fut inhumé le 8 mars dans l'église d'Aigre. De son union avec Anne PERRIN naquirent :
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III) CHABOT François, né vers 1708, écuyer,
seigneur de Peuchebrun, Marsillé et Jouhé (Pioussais - Deux Sèvres). Le 25 août 1732, il épousa à Brioux sur Boutonne (Deux-Sèvres), Marie TESNON, fille de Jacques, seigneur de la Ronze (alias de la Ronce), et de Françoise GILBERT. Le 21 juin 1744, comme seigneur de Peuchebrun, il reçut un aveu d'Antoine de CHEVREUSE, écuyer, seigneur de Tourtron (Paisay-Naudouin). En 1745, il fut parrain à Paizay-Naudouin de Catherine PICHOT de La PLANTE, fille de Nicolas, sieur de la Plante, et de Suzanne MOURGE. (Louis CHASSERIAU) Le 27 avril 1757, il donna quittance à dame Anne DUSSIEUX, veuve non commune en bien de Philippe VIGIER, écuyer, seigneur de la Pile, de la somme de 3000 livres portée par une obligation consentie audit CHABOT par la dite DUSSIEUX et le dit sieur de la Pile, le 17 mars 1732. La dite somme prise sur le prix de la vente faite par la dite dame à François BAREAU de GIRAC, écuyer, doyen du chapitre cathédrale d'Angoulême, d'une maison lui appartenant de son chef. (CAILLAUD, notaire royal à Angoulême). (Collection des inventaires sommaires des archives départementales antérieures à 1790). Il testa le 3 novembre 1762 et décéda le 7 avril 1763 à Chef-Boutonne (Deux-Sèvres), ayant eu pour enfants :
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IV) CHABOT Jacques, né le 22 août 1735 à Brioux sur Boutonne, écuyer, seigneur
de Peuchebrun, Jouhé. Il exerça le métier de juriste, et soutint une thèse de droit canon et de droit civil devant la faculté de Poitiers, le 18 juin 1757 (André DAVID). Le 16 mars 1763, au nom de son père, il délivra une quittance à Louis Armand GUIMARD, seigneur de Fontgibaud, de 3842 livres restées dues à François CHABOT, sur une reconnaissance de 6000 livres signée en sa faveur, le Ier mars 1754, par messires COSSON de GUIMPS et GUIMARD de COUZIERS. (CAILLAUD, notaire royal à Angoulême). (Collection des inventaires sommaires des archives départementales antérieures à 1790). Jacques fut parrain à Longré de Jean BOUGNOT (BOUNIOT), né au moulin de Peuchebrun, en 1776. (André DAVID). Il épousa en premières noces le 24 septembre 1764 à Chef-Boutonne, Jeanne Charlotte GILBERTt, (décédée le Ier novembre 1770 à Chef-Boutonne), fille de Pierre, avocat en parlement, et de Marguerite Charlotte Anne de LÉPINE. De cette union naquirent :
Il décéda le 20 janvier 1794 à Chef-Boutonne, ayant eu pour enfants de cette seconde union :
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V) CHABOT Nicolas Edmé, écuyer,
seigneur de Peuchebrun, Luché (Deux-Sèvres), baptisé le 17 novembre 1769 à Paizay-Naudouin. Il eut pour parrain Nicolas CHABOT de POTONNIER, et pour marraine "demoiselle Marie CHABOT". Il fut le dernier possesseur du fief de Peuchebrun, mais la famille resta cependant propriétaire du château. (Bruno SÉPULCHRE). Le 16 septembre 1793, il épousa à Luché sur Brioux (Deux-Sèvres), Gabrielle Françoise Florimonde DESPREZ d'AMBREUIL, fille de Joseph Elie, chevalier, seigneur d'Ambreuil, et de Françoise de CUMONT. Il décéda à Chef-Boutonne le 10 nivôse An XII (Ier janvier 1804), ayant eu pour enfants :
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VI) CHABOT de PEUCHEBRUN Joseph Michel,
né le 29 septembre 1797. Il était procureur royal à Châtellerault en 1823, puis à la Roche sur Yon en 1826, et enfin à Fontenay Le Comte en 1830. (André DAVID). Légitimiste, c'est à dire partisan de Charles X contre Louis Philippe Ier, il fut destitué par la monarchie de juillet. (André DAVID). Est-ce lui qui devint propriétaire du domaine de Peuchebrun en 1847, suite à un partage de biens dans sa famille ? Qualifié d'ancien magistrat et propriétaire demeurant à Fontenay Le Comte, il vendit par procès-verbal d'adjudication, le 31 octobre 1847, à l'étude de Maître BONNISSEAU, notaire à Paizay-Naudouin, par l'intermédiaire d'un mandataire, Louis, né Colas POMMIER, une partie du domaine de Péchebrun, situé sur la commune de Longré. Vers 1850, il céda le moulin de Peuchebrun (Longré), à Jean SOUVIGNON, son meunier. (Loïc AUDRAN - Article sur le moulin de Peuchebrun, dans Histoires du pays d'Aigre et Alentours, Longré, n°34 Avril 2016). En premières noces, il épousa en 1831, Charlotte Augustine Stoline PAILLOT du CHATENAY, fille de Philippe Isaac Victor, conservateur des hypothèques de Fontenay Le Comte, et de Augustine PINEAU. De cette union naquit :
Il décéda le 26 mai 1872, ayant eu pour enfants de cette seconde union :
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VII) CHABOT de PEUCHEBRUN Nicolas Joseph Isaac,
né le 20 octobre 1832, à Fontenay Le Comte (Vendée). (Michel BRILLAUD) Le 3 février 1856, il épousa à Fontenay Le Comte, Louise-Joséphine Marie PERREAU, fille de Léon et d'Elisabeth DUFAU. Il décéda le 24 juin 1883, ayant eu pour enfants :
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Rameau de la FOYE : |
V) CHABOT Nicolas Mandé, né le 18 novembre 1781 et baptisé à Longré. Il eut pour parrain CHABOT de PONTONNIER, et pour marraine, Hélène Rosalie RENARD, sans doute fille de CHABOT de PONTONNIER. Il était fils de Jacques et d'Hélène Rosalie ALBERT. (Degré IV, branche principale). Il fut maire de Pioussay (Deux-Sèvres), en 1813. Le 9 septembre 1805, il épousa en premières noces à Ardilleux (Deux-Sèvres), Jeanne Marie Louise DELAUBIER, (née le 26 août 1786 à Chef-Boutonne, décédée le 14 janvier 1808 à Chef-Boutonne), fille de Jean et de Jeanne PASTUREAU. (LB) De cette union naquirent :
Nicolas Mandé décéda à Chef-Boutonne le 19 août 1856. |
VI) CHABOT de La FOYE Jean Baptiste Edouard, né le 6 janvier 1808 à Chef-Boutonne. Le 12 avril 1831, il épousa à Ardilleux (Deux-Sèvres), Jeanne Elsi DELAUBIER, (née le 9 octobre 1808 à Ardilleux, décédée le 31 mars 1872 à Chef-Boutonne), fille de Joseph Saturnin et de Jeanne Adélaïde CHAUVIN. Il décéda le 27 décembre 1893 à Chef-Boutonne, ayant eu pour enfants : (LB)
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Rameau de Joseph Clément CHABOT : |
IV) CHABOT Joseph Clément, né le 19 décembre 1748 à Brioux sur Boutonne, écuyer, seigneur de Lussay (Deux-Sèvres). Il était fils de François et de Marie TESNON. (Degré III, branche principale). En mars 1789, il comparut à l'assemblée de la noblesse du Poitou, chargée d'élire ses députés aux Etats-Généraux. (André DAVID). Il fut élu maire de Lussay. (Louis CHASSERIAU) Le 23 février 1778, il épousa à Mougon (Deux-Sèvres), Julie Marguerite MONNET, (née le Ier juillet 1760 à Mougon, décédée le 13 mai 1812 à Lussay - Deux-Sèvres), fille de Claude Jean Baptiste, député, et de Marie Anne Marguerite ALLAIN. (Louis CHASSERIAU) Joseph Clément décéda le 24 février 1830 à Chef-Boutonne, ayant eu pour enfants :
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V) CHABOT Louis François Chéri, né le 12 novembre 1785 à Chef-Boutonne. Ancien chef de bataillon, il fut breveté chevalier de Saint-Louis, chevalier de la Légion d'Honneur, et de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne. (André DAVID). Le 10 mai 1815, il épousa à Villedoux (Charente-Maritime), Julie Françoise de La RADE, (née le 26 février 1794 à Saint-Jean d'Angély), fille de Modeste et de Julie BOUTET. (LB) Il décéda le 9 août 1866 à Villedoux, ayant eu pour enfants :
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VI) CHABOT Louis Clément Modeste Eugène, né le 8 septembre 1818. Il fut garde général des forêts. (André DAVID). Il épousa Grégoria de GRÉGOIRE des GARDIES. Il décéda le 22 février 1877, ne laissant qu'une fille :
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Rameau de BOUIN (Deux-Sèvres) : |
IV) CHABOT Joseph, né à Longré le 31 décembre 1736. Il fut baptisé à Longré le 3 janvier 1737. Il eut pour parrain messire CHABOT, seigneur de Marsillé, et pour marraine, demoiselle GILBERT. (André DAVID). Il était fils de François et de Marie TESNON. (Degré III, branche principale). Le 14 janvier 1772, il épousa à Chef-Boutonne, Jeanne Catherine REMPNOULX, fille de Joseph, procureur fiscal, et de Marie Anne PÉLERIN (André DAVID). (LB) Il décéda le 5 décembre 1816 à Chef-Boutonne, ayant eu pour enfants :
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V) CHABOT Nicolas Joseph Achard, né le 18 septembre 1775 à Bouin. Le 25 juillet 1799, il épousa sa cousine, Françoise Pauline CHABOT, (née vers 1784 à Longré, décédée le 3 septembre 1864 à Chef-Boutonne), fille de Jacques et d'Hélène Rosalie ALBERT. Il décéda le 25 avril 1842 à Chef-Boutonne, ayant eu pour enfants : (LB)
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VI) CHABOT de BOUIN Nicolas Jules, né à Chef-Boutonne le 5 septembre 1807. Il écrivit un grand nombre de romans et de pièces de théâtre, peu lus et peu jouées, à l'exception de "La Marraine", dont la première représentation eut lieu au théâtre de la duchesse de Berry, dont le mari, prétendant au trône, fut assassiné sur ordre de Napoléon. (André DAVID). Il utilisa plusieurs pseudonymes : Charles CHABOT, Michel MORIN, Octave de SAINT-ERNEST, Jules PECHEREL. (LB) Le 20 septembre 1842, il épousa à Paris, Céline Louise Aspasie ROMMEL, (née vers 1815). Il décéda le 12 mars 1856 à Chef-Boutonne, ayant eu pour enfant : (LB)
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Branche des CHABOT de GIRONVILLE : |
III) de CHABOT Pierre, né vers 1712, écuyer, seigneur de Marsillé, qui lui appartenait en 1755, et où il demeurait encore en 1765. Il était fils de Jean et de Anne Marguerite Catherine PERRIN. (Degré II, de la branche principale). Il partit ensuite habiter à Aigre, et afferma Marcillé. Il en était encore propriétaire en 1782. (Jean-Paul GAILLARD et Bruno SÉPULCHRE). En juillet 1785, il demeurait en son logis noble du Breuil au Loup (Verdille). En avril 1790, il n'était plus seigneur du Breuil au Loup, mais était dit habiter tout de même au village du même nom. (Jean-Paul GAILLARD et Bruno SÉPULCHRE). Il fut sous-lieutenant au régiment de La Rochefoucauld-Dragons. En 1760, il fut témoin au mariage d'Hélène CHABOT de PEUCHEBRUN, sa nièce, et de Pierre BRUMAULD de MONTGAZON. (Louis CHASSERIAU) Dans le rôle des 20ème dans l'élection d'Angoulême en 1780, il apparaît que Pierre CHABOT, demeurant à Aigre, était propriétaire d'un domaine et d'héritages dans la paroisse de Brettes, et de rentes dans celle de Souvigné, le tout du revenu de 386 livres. Il paya donc pour cet impôt, 42 livres 9 sols. Il épousa le 19 juin 1747 à Beauvais sur Matha (Charente-Maritime), Marie CABAUD des NOBLES, (née le 22 janvier 1725 à Beauvais sur Matha, décédée le 18 avril 1790 à Aigre), fille de Michel, avocat en parlement, et de Marie CHOTARD. (Régis3) (LB) Il décéda le 20 décembre 1792 à Aigre, ayant eu pour enfants : (LB).
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IV) de CHABOT de GIRONVILLE François, qui fut baptisé le 24 avril 1756 à Beauvais sur Matha. (Régis3), écuyer, seigneur de Gironville. Il fut lieutenant, puis capitaine au régiment de Guadeloupe. Il assista à l'assemblée de la noblesse de Saintonge, convoquée à Saint-Jean d'Angély, pour nommer des députés aux Etats Généraux. Le 23 mars 1789, il y signa le cahier de doléances de la sénéchaussée. (Charly GRENON). Le 13 janvier 1789, il épousa en premières noces à Aigre, Jeanne COT, (décédée le 22 vendémiaire an IX - 14 octobre 1800, à Aigre), fille de Sauveur André, et de Marie BAUD. (LB) De cette union naquirent :
Il décéda le 14 janvier 1842 à Saint-Fraigne, ayant eu pour enfants de sa seconde union : (LB)
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V) de CHABOT Marie, née le 5 janvier 1790 à Aigre. Elle fut peut-être la mère de Pierre CHABOT, enfant naturel né à Aigre le 12 février 1820, qui fondera le théâtre itinérant CHABOT. (LB) Elle était décédée en 1858. D'une union inconnue, elle eut donc pour enfant : (Charly GRENON). |
VI) CHABOT Pierre, né à Aigre, le 12 février 1820. Travaillant dans le monde du cirque, il devint directeur d'un théâtre mécanique. Le 15 avril 1858, il épousa à Bordeaux, Henriette SCHOSSIG, (née dans le Hanovre, le 17 juillet 1821, fille d'un père écuyer dans un cirque). Par ce mariage, ils reconnurent et légitimèrent 5 enfants. (Charly GRENON). De cette union naquirent :
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- BEAUCHET-FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou. - P de FLEURY et J de La MARTINIÈRE : Collection des inventaires sommaires des archives départementales antérieures à 1790. - Pierre BUREAU : Les émigrés charentais. - Bruno SÉPULCHRE : Article sur Peuchebrun (Longré et Paizay-Naudouin), dans Châteaux, logis, et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno SÉPULCHRE. - Jean-Paul GAILLARD et Bruno SÉPULCHRE : Articles sur Marcillé (Saint-Fraigne), le Breuil au Loup (Verdille), dans Châteaux, logis, et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno SÉPULCHRE. - Loïc AUDRAN : Article sur le moulin de Peuchebrun, dans Histoires du pays d'Aigre et Alentours, Longré, n°34 Avril 2016). - Charly GRENON : Article sur la famille CHABOT, une grande famille d'artistes forains, dans Histoires du pays d'Aigre et Alentours, n°3 - Octobre 2000). - André DAVID : Aux confins de trois provinces : Longré et environs aux XVIIIème et XIXème siècles. - Louis CHASSERIAU : Généalogie sur Geneanet : https://gw.geneanet.org/leglaizeux?lang=fr&pz=louis&nz=chasseriau&ocz=0&p=jean&n=chabot&oc=2 - Michel BRILLAUD : Généalogie sur Geneanet : https://gw.geneanet.org/akenaton79?lang=fr&p=nicolas+edme&n=chabot+de+peuchebrun - Régis3 : Généalogie sur Geneanet : https://gw.geneanet.org/regis3?n=chabot+de+peuchebrun&oc=&p=pierre - LB : Généalogie sur Geneanet : https://gw.geneanet.org/lb1977?lang=fr&iz=1544&p=isaac&n=chabot+de |