de CAILLÈRES


blason de la famille de Caillères.
blason actuel de la famille  Callières.
D'argent à trois fasces brétessées et contrebretéssées de sable.
Devise : "Ab Inventute Virtus"
On trouve aussi :
D'argent à trois fasces ondées de sable.
(Cabinet des titres, Ecole Militaire, 23).
Ce dernier blason a été adopté par les représentants de la famille qui écrivait leur nom Callières. (BEAUCHET-FILLEAU)
Cette famille, qui serait originaire de l'Angoumois, a eu pour auteur Jean PORTIER, écuyer, seigneur de Caillères.
Ils furent seigneur de Clérac, (Charente-Maritime), de Poullignac en partie (Charente), du Plessis et de Tugéras, commune de Chantillac (Charente).
Il y a un logis de Caillères (alias Caillerie), sur la commune de Poullignac.
Elle s'est divisée en deux grandes branches : l'aînée est restée en Saintonge.

Noms isolés :
- PORTIER Charles. En 1461, Il était dit le second époux d'Elisabeth GRELIS.

- PORTIER Louis, seigneur de Caillères. En 1465, il traitait avec son voisin, le seigneur de Ribérolles.

- de CAILLÈRES Marguerite, qui épousa vers 1480, Pierre GIRAUD, écuyer, seigneur de Grignols.

- de CAILLÈRES Anne, qui épousa avant 1530, Marc Antoine d'ESCRAVAYAT.

- de CALLIÈRES Eléonore, qui épousa le 29 septembre 1657, Gaston de La TOUCHE, sieur de Grassat.

- de CALLIÈRES Marie, qui épousa le 27 juillet 1859, Camille Alexandre Jean de MALET, demeurant au Château de Roquefort près Rauzan en Gironde.

- de CAILLÈRES Pierre, écuyer, seigneur du Breuil-Lezon.
Ce Pierre n'est pas mentionné dans la généalogie de cette famille qui était représentée en Saintonge et en Bordelais.

- de CALLIÈRES Marie Caroline, épouse de François Marie Alphonse Georges de COUVALETTE, propriétaire à Bordeaux.

Filiation suivie :
I) de CAILLÈRES Jean. (aliàs PORTIER Jean), mentionné en 1481.
Le 13 octobre 1490, comme seigneur dudit lieu de Caillères (Rivières), il fut reconnu noble et extrait de noble lignée par les commissaires royaux, sur le vœu d'aveux et dénombrements anciens.
Le 5 août 1497, il rendit hommage à Louise, comtesse d'Angoulême, pour ses droits d'exploit, pâturage et chasse dans la forêt voisine de la Braconne.
(*) Il épousa par contrat du 14 mai 1492, Perette du FORT, alias du FART, fille de Pierre, écuyer, seigneur de Lamenceaux (ou Lamarcaux), et de Marie GIRAULD (celle-ci fille de Jehan, écuyer, et de Marguerite de MAUGÉSIR).
Il était dit gouverneur des enfants de Marguerite de La ROCHEFOUCAULD, dame de Montguyon, et se constitua ses biens et droits. Perette reçut à son mariage, de ses père et mère, 200 livres tournois de dot.
Elle reçu aussi en dot de sa tante Jeanne GIRAULD, fille du seigneur d'Anqueville, (épouse de Bertrand ARDILLON, fondateur de Clérac vers 1460, couple sans enfants), la seigneurie de Clérac. (De CHASTEAUGUYON, notaire à Montguyon). Cette donation fut renouvelée entre les mêmes, le 15 octobre suivant.
La possession de Clérac fut assurée aux PORTIER, alias CAILLÈRES, par traités entre les ARDILLON et GIRAULD, les 5 février et 16 juin 1493, 28 avril 1494, 26 octobre 1497, 28 juillet 1499 et 26 février 1501.
Ils testèrent mutuellement le 10 février 1504. Il décéda vers 1516.
Ils eurent pour enfants, au moins :
 

1) François, qui suit.
2) Eutrope, qui fut reçu chevalier de Malte en 1517. Il devint commandeur d'Angers en 1536.
Il céda sa part à son frère aîné.
3) Jacques, qui fut religieux à Saint-Benoît.
4) Louise, qui épousa le 14 juin 1513 Guillaume CHAUVIN, écuyer, seigneur du Teilh.


II) de CAILLÈRES François, écuyer, seigneur de Caillères et de Clérac.
Il épousa par contrat sans filiation du 29 octobre 1520, Marguerite de SOUSMOULINS, fille de Guy, écuyer, seigneur dudit lieu, de Vibrac, de Poullignac sous Chalais; et de Marguerite ARDILLON. Veuve, elle déclara au roi, le 10 avril 1540, au nom de ses enfants, tenir l'hôtel et seigneurie de Clérac, au devoir de 5 sols payables à muance de seigneur et de vassal et valant 26 livres de rentes environ, plus un fief noble en la paroisse de Poullignac, châtellenie de Chalais, au devoir de 6 sols et pouvant valoir 80 livres de rente.
Le 7 mai 1524, il partagea la succession de Jean, son père, avec Eutrope, son frère.
Il fit son testament, à Saint-Claud, étant malade, en faveur de son fils Charles, le 5 février 1537.
Ils eurent pour enfants :
  1) Guy, seigneur de Clérac, y demeurant.
Il obtint en 1554 des lettres patentes pour refaire le terrier de son fief.
Il fut présent en 1565, au contrat de mariage de Georges MÉHÉE, écuyer, seigneur de l'Etang, avec demoiselle Marguerite HUBERT. (Abbé TRICOIRE).
Il épousa Jacquette de LESTANG. Elle en était veuve en 1579, et testa en 1595.
A défaut d'enfants, leurs droits passèrent à Charles de CALLIÈRES et à Jeanne DUSSAULT.
2) Charles, seigneur de Poullignac.
Il testa en 1569, pour sa femme Marguerite de La PORTE.
3) Hippolyte, seigneur de Saujon et du Chay, par sa femme Bertrand de BURLE. Ses droits passèrent à ses frères.
4) Charles, qui suit.
5) Antoinette, qui épousa Louis de La PORTE, seigneur de Fleurac.

III) de CALLIÈRES Charles, écuyer, seigneur de Rivières, puis de Clérac à partir de 1579, après le décès de son frère Guy.
Il fut également seigneur du Plessis (Bors de Baignes). (Roger MARCHIVE et Lydie BERGEON PARQUIER)
Lui même décéda entre 1600 et 1605.
Il avait épousé par contrat sans filiation du 7 février 1566, Jeanne DUSSAULT, fille de Giraud, seigneur de Birac, et de Claire MÉHÉE. Elle fut dotée de 2000 livres. Ils étaient dits protestants au moment de leur mariage.
Ils eurent pour enfants, qui firent le 3 mai 1614, partage des biens de leur père, avec leur mère alors veuve.
  1) Jacques, qui suit.
2) Jean, écuyer, seigneur du Plessis (Bors de Baignes), par sa femme, Renée de LAIGLE, qu'il avait épousé par contrat du 14 avril 1615. Elle était dotée aussi à 4400 livres, et était dite catholique.
De cette union naquirent :
  a) Magdelon, écuyer, sieur du Plessis.
Il épousa Marie de FERRIÈRES.
En 1692, il était dit très âgé et infirme. Le 21 juillet 1679, il céda ses biens à ses enfants. (Roger MARCHIVE et Lydie BERGEON PARQUIER)
Ils eurent pour enfants :
  a1) François, écuyer, seigneur de Tugéras, né aux environs de 1643 et décédé en 1693.
Il épousa par contrat du 19 juillet 1650, Jeanne CHESNEL.
Le 17 mai 1663, il fit un échange avec Magdelon.

a2) Jean
, sieur du Plessis, né aux environs de 1651.
Il décéda le 9 octobre 1731. (Roger MARCHIVE et Lydie BERGEON PARQUIER)
3) Jean, qui décéda jeune.
4) Marie, qui épousa Jacques ACHARD, seigneur de Vérac en Fronsadais.
5) Anne, qui épousa en 1620 André de BACALAN, seigneur de Bageran.
6) N., fille.

IV) de CALLIÈRES Jacques, écuyer, seigneur de Clérac et de Poullignac, en partie.
Il était dit catholique, et décéda entre 1625 et 1634.
Il avait épousé en premières noces, par contrat du 16 juin 1605, Catherine GREEN de SAINT-MARSAULT, fille aînée de Jean, et de Renée JAUBERT, seigneur et dame de Mazotte, Peudry et Nieuil, demeurant au château de Nieuil en Poitou. Elle fut dotée à 16000 livres parisis.
Elle testa, malade, le 12 septembre 1613.
Jacques épousa en secondes noces en 1625, Louise de La MAISONNEUVE.
Il eut pour enfants de son premier mariage :
  1) Louis, titré seigneur de Clérac. Il décéda peu après son père.
2) Alain, qui suit.
3) Renée, qui épousa Jean de RECLUS, écuyer, seigneur de Fougère. Elle lui porta le fief de Caillères en Poullignac, suivant une sentence du présidial de Saintes, du 27 juillet 1638 et traitée le 4 avril 1639.
4) Lydie. Elle épousa en 1648 Jean de La CROPTE.
5) Catherine, qui fut religieuse à Périgueux.

V) de CALLIÈRES Alain, seigneur de Clérac et de Poullignac.
Il naquit vers 1610 et décéda le 22 octobre 1694.
Il fut parrain en 1636 de la cloche de Clérac.
Il fut maintenu dans sa noblesse le 23 août 1666 par d'AGUESSEAU, intendant de la généralité de Limoges.
Il épousa par contrat du Ier février 1637, Françoise de JOUSSERAND, veuve de Jean CHEVALLEREAU, et fille de Pierre, chevalier, seigneur de Génissac (Gironde), et d'Eléonore de FOURNEL.
Il lui assura 6000 livres de bague et joyaux, et 4000 livres de gain nuptial. Ils testèrent mutuellement le 25 décembre 1645.
De cette union naquirent :
  1) Raphaël, qui suit.
2) Jean-Jacques, né en 1641. Il se titrait co-seigneur de Clérac.
Il acquit en 1668, une charge de cornette en la compagnie de chevau-légers de messire Léon d'ARNOUL, seigneur de Lussac en Saintonge.
Il eut plusieurs affaires pour rixes ou dettes avec ses voisins.
Il décéda le 2 mai 1683.
3) Alphonse, seigneur de Landry (hameau de Clérac).
Il décéda âgé de 40 ans, le 26 juin 1685, laissant plusieurs enfants bâtards.
4) Françoise.
5) Eléonore, qui épousa vers 1663, Gaston de La TOUSCHE, seigneur de Cressac, près de la Génetouse.

VI) de CALLIÈRES Raphaël, né vers 1640, chevalier, seigneur de Clérac.
Il fut confirmé dans sa noblesse le 9 juin 1701, par BÉGON.
Le 20 octobre 1706, il fut nommé par le maréchal de Chamilly, colonel au régiment de milice de Montlieu.
Il fournit au seigneur suzerain de Montguyon les hommages et aveux de son fief de Clérac en 1706, ainsi que le Ier décembre 1738.
Il eut plusieurs enfants illégitimes de plusieurs femmes.
Il épousa par contrat du 15 juillet 1694, Marie-Anne COULON (née vers 1667, décédée en 1739), fille et héritière de Jacques, écuyer, seigneur du Marais en Orignolles, et de la Vieille Cour, alias la Valade en Clérac; et de Jeanne BERNARD.
Il décéda le 13 juin 1739, presque centenaire, et fut inhumé dans l'église de Clérac.
Ils eurent pour enfants :
  1) Charles Raphaël, qui suit.
2) Jeanne Ephraïme, née en 1695.
Elle épousa Jean Luc DÉALIS d'ESCALETTE, et lui porta la terre du Marais. Plus tard, leurs deux fils céderont cette terre, en 1771, aux CALLIÈRES de COUSTOLLE.
3) Jeanne Hélène, née en 1703.
Elle épousa le 15 janvier 1722, Jean Claude de VILLATEL, de Saint-Trojan en Bourgez, d'où trois filles.

VII) de CALLIÈRES Charles Raphaël, chevalier, seigneur de Clérac, etc.
Il naquit le 24 octobre 1697 et décéda le 8 mai 1745.
Il épousa les 6 janvier et 12 février 1721, Catherine de BONNEVIN (née en 1696, et décédée le 29 juillet 1777), fille de Charles, seigneur de Sousmoulins, Jussas en partie, et de Coustolle en Saint-Martin d'Ary; et de Marguerite de LAVERGNE.
Elle fut faite tutrice en 1745, et se retira plus tard en son logis de Coustolle.
De cette union naquirent :
  1) Charles, seigneur de Callières et de Clérac, se titrant chevalier.
Il naquit en 1722 et décéda en 1788.
Il avait épousé le 16 janvier 1783, Isabelle VERRIER, fille de Jérôme et de Marguerite GALLOPEAU.
Ils eurent pour enfant :
  a) Louis, dit Adonis, né le 27 mai 1775 à Clérac, titré le marquis de Callières. Il décéda le 4 septembre 1824 au même lieu.
Il fut soldat pendant la Révolution, puis devint maire de Clérac.
Il fut décoré de la fleur de lys, le 18 juillet 1814.
Il épousa le Ier décembre 1793, à Saint-Martin d'Ary (Charente-Maritime), Louise MALET de La MAGDELEINE (alias de PIYVALLIER), fille de Louis, chevalier, seigneur de la Madelaine et de Sujat, enseigne des vaisseaux du roi et aide-major des armées navales au département de Rochefort; et de Marie-Anne-Jeanne PAYEN de NOYANT.
Ils eurent pour enfants, au moins :
  a1) Louis, dit le marquis de Callières, qui épousa une demoiselle NAU des MARTINEAUX.
Cette branche continua.
2) Raphaël, écuyer, seigneur de la Valade.
Il naquit le 5 août 1726, et fut baptisé le jour suivant. Il eut pour parrain Raphaël de CALLIÈRES, chevalier, seigneur de Clérac, son grand-père.
Dès l'âge de 16 ans, il devint sous-lieutenant au régiment de Bourbon-Cavalerie. L'année suivante, il obtint un brevet de lieutenant au même régiment, avec lequel il participa à la guerre de Succession d'Autriche.
En 1748, le roi lui accorda un brevet de capitaine dans le même régiment pour une compagnie que sa mère lui acheta, pour sans doute environ 20000 livres, en partie empruntée. Il n'avait alors que 21 ans.
Il épousa le 29 septembre 1752, sa cousine germaine, Jeanne Marie de VILLATEL (1729-1802), fille de Charles Claude et de sa tante, Jeanne Hélène de CALLIÈRES.
En 1756 lors de la guerre des Sept ans, Raphaël pénètre en Saxe à la tête de sa compagnie, où il fut blessé à la bataille de Rossbach.
En 1759, il fut fait par le roi chevalier de l'Ordre Royal et militaire de Saint-Louis.
Il prit sa retraite en qualité de capitaine au régiment de Bourbon-Dragon, avec rang de lieutenant-colonel, et une pension de 1600 livres par an, pour en jouir à compter du 6 avril 1780, après 39 ans de services aux armées, dont 9 campagnes.
Il fut reçu colonel, le 6 juin 1790.
En 1794, "étant un ci-devant noble", il fut chassé de la Valade de Clérac, frappé d'interdiction de séjour dans le département où il demeurait. Il ira au Bec d'Ambès, à Laruscade, mais n'y restera que quelques mois, pour être de retour au cours de l'été 1795.
Il y décéda le 11 novembre 1798, sans postérité.
3) Pierre, qui décéda jeune.
4) Charles, qui suit.

VIII) de CALLIÈRES Charles, né le 10 juillet 1731, écuyer, seigneur de Coustolle.
En 1745, il fut lieutenant au régiment de Chartres-Infanterie, et fut blessé grièvement l'année suivante à Raucoux (Il n'avait alors que 15 ans et 3 mois).
Il fut chevalier de Saint-Louis en 1759, et pris sa retraite comme capitaine, en 1760.
Il revint alors habiter son logis de Coustolle.
Il épousa les 6 juin et 20 août 1763, Marie Magdeleine de La FAYE d'AMBÉRAC (1739-1807), fille du seigneur de Poullignac sous Montendre.
Inquiété pendant la Terreur à cause de l'émigration de ses deux fils, il se réfugia à Bordeaux. Il revint à Coustolle, et y décéda le 29 janvier 1802.
Ils eurent pour enfants :
  1) Charles, né en 1764.
Il fut admis aux Ecoles Militaires, en 1773.
Il émigra à Tournay et s'y maria.
Il décéda le 4 juillet 1805, laissant une fille, qui décéda jeune.
2) Louis François Ignace, dit CALLIÈRES-DEMARAY, né en 1766.
Il fut sous-lieutenant dans le régiment Chartres-Infanterie.
Il émigra et fit campagne dans l'armée des Princes.
En Belgique, il épousa en 1798, Caroline CARLIER.
Ils eurent 4 enfants qui continuèrent la descendance, et décédèrent tous les deux très âgés, longtemps après leur retour en France.

- de CALLIÈRES Stanislas Arthur, dernier représentant de la branche de Coustolle, décéda le 14 juin 1896, à l'âge de 55 ans.
Il s'était engagé très jeune et avait passé une partie de sa jeunesse en Algérie.
Son régiment revint en France en 1870.
Blessé pendant la guerre, il rentra dans ses foyers quelques temps après la signature de la paix.
Il avait épousé Isabelle BERTRAND des BRUNAIS.

- de BREMOND d'ARS : Extrait du cahier du rôle du ban et arrière-ban de la sénéchaussée d'Angoumois (1635)
- BEAUCHET-FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou.
- Abbé Joseph NADAUD : Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges.
- Abbé TRICOIRE : Le château d'Ardenne.
- Henri JOUGLA de MORENAS : Grand Armorial de France.
- Renseignements généalogiques tirés du site de M. DRIOUT.
- Revue de Saintonge et d'Aunis : Bulletin de la Société des Archives Historiques, année 1896.
- Revue de Saintonge et d'Aunis : Bulletin de la Société des Archives Historiques, tome XXXVII, année 1917.
- Revue "Terre Blanche", n°26 - 1982 : Publication de la Société Argiles et Minéraux, à Clérac. (Renseignements envoyés par M.D. BIDOIR).
- Roger MARCHIVE et Lydie BERGEON PARQUIER : Article sur le Plessis (Bors de Baignes), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno SÉPULCHRE.
- Le site Internet de référence pour la Saintonge, l'Aunis et l'Angoumois : http://histoirepassion.eu
- (*) Renseignements généalogiques communiqués par M. Robert SADIA.

retour vers le sommaireRetour vers le menu de la lettre C