de BRILHAC de NOUZIÈRES |
D'azur au chevron d'or chargé de cinq roses de gueules, accompagné de trois molettes d'or, posées deux et un. Devise : Fulgent per lilia rosae. |
Famille noble de l'échevinage de Poitiers. La branche de Nouzières (Ruffec), obtint l'érection en vicomté, de la châtellenie de Gençay, (Vienne), en 1656. La terre de Nouzières autrefois de la paroisse de Condac, enclave de 135 hectares, fut par ordonnance royale du 26 avril 1826, réunie à la commune de Ruffec. Le blason de la famille de BRILHAC est sculpté sur la façade du logis. (Jean-Claude VRILLAC). C'est par erreur que dans des lettres patentes accordées par le roi en 1664, dans les registres de Malte, et dans une généalogie enregistrée dans un arrêt du parlement de Rennes en 1779, on a voulu rattacher de BRILHAC de NOUZIÈRES aux de BRILLAC d'ARGY. Ces deux familles sont très distinctes et n'ont aucune communauté d'origine. Au XVIIIème siècle donc, quelques branches de la famille de BRILHAC écartelèrent par erreur leurs armes avec celles des de BRILLAC, et l'on trouve ainsi dans l'Armorial Général de la France, de Charles d'Hozier, deux blasons de fantaisie de cette façon, enregistrées à la généralité de Poitiers. |
Noms isolés relatif à la Charente : |
- de BRILHAC de NOUZIÈRES Marie Geneviève, épouse de Charles Antoine, baron de La Laurencie, baron de La Chadurie, fut détenue à Brouage pendant le Terreur. |
Filiation suivie : |
I) de BRILHAC François, seigneur de Nouzières (Ruffec), (fief dont il fit l'acquisition d'Antoine de Nouzières, en 1500). En 1497, il épousa Charlotte Baunet, alias Bonnet, peut-être fille de Pierre et de Françoise de Ferrières. De cette union naquirent :
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II) de BRILHAC Jean, écuyer, seigneur de Nouzières (Ruffec) et de la Riche (Bioussac). En 1535, il était enquêteur à la sénéchaussée de Poitiers, et fut nommé maire de cette ville en 1536. Il fut exempté comme tel, de servir au ban et arrière-ban ,convoqué ladite année. En mai 1549, il fut chargé de recevoir les hommages dus à la baronnie de Parthenay. Outre son office de conseiller à la sénéchaussée de Poitiers, il fut aussi sénéchal de Civray (janvier 1553). Le 15 mai suivant, le roi l'autorisa à se défaire de l'une ou de l'autre de ses charges sans payer finance, "et ce en considération tant des 1500 écus par lui fournis pour la subvention des affaires du roi, que des services à lui faits depuis 20 ans de çà". Jean fut à nouveau nommé maire de Poitiers en 1572. Il était échevin depuis 1542. Il comparut comme lieutenant criminel au procès-verbal de la réformation de la Coutume de Poitou en 1559, et fut l'un des juges qui condamnèrent Jacques Herbert, maire de Poitiers, accusé d'avoir favorisé l'entrée des bandes protestantes dans la ville qu'elles mirent au pillage, et refusé d'en ouvrit les portes à l'armée royale qui venait pour les en chasser. En 1559, il avait droit de fief et la seigneurie du Breuil de Bernac, à deux sous six deniers tournois de rente noble (Florentin CHEVALIER) Il tint un journal de famille. En 1527, il épousa Catherine Arembert, fille de Joachim et de Rose Payen. Il décéda en 1573 et fut inhumé en l'église Saint-Opportune de Poitiers. De son union avec Catherine naquirent :
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III) de BRILHAC François, écuyer, seigneur de Nouzières (Ruffec) et de la Riche (Bioussac). En 1559, il comparut comme avocat au procès-verbal de la réformation de la Coutume de Poitou. Il fut ensuite lieutenant criminel en la sénéchaussée, et échevin de la commune. Le 24 juin 1562, ou en 1565, il épousa Catherine Tudert, fille de Claude, seigneur de la Bournalière, conseiller au Châtelet de Paris, et de Marie Luillier. Le 27 mars 1588, par acte reçu Marrot et Guionneau, notaires à Poitiers, il partagea avec ses frères Jean et René, les succession de ses père et mère décédés, ainsi que celle de leur frère Philippe, également décédé. Il hérita alors de la maison noble de Nouzières, de la maison noble de la Riche (Bioussac), de la maison noble de la Roche d'Aubugny, près de Saint-Maixant (Deux-Sèvres) et de la maison noble de Triveau (Cubort - depuis 1969 commune de Valdivienne - Vienne). (Jean-Claude VRILLAC) Il décéda le 25 février 1598, ayant eu pour enfants :
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IV) de BRILHAC Pierre, écuyer, seigneur de Nouzières (Ruffec), et de Bernay (Iteuil - Vienne). Le 13 mars 1598, il fut installé dans la charge de lieutenant criminel, dont son père s'était démis en sa faveur. Mais comme il n'avait pas encore les 30 ans révolus exigés par l'ordonnance de Blois, il fut dit qu'in ne pourrait siéger que lorsqu'il aura atteint l'âge requis. Cependant l'année suivante, il obtint du roi des lettres de dispense d'âge. En 1614, il fut élu maire de Poitiers, à la place de Nicolas de Sainte-Marthe, obligé de quitter la ville à la suite du duc de Roannez. Lors du passage de Louis XIV à Poitiers en 1614 et 1615, il eut l'honneur de recevoir ce prince en sa maison. Le 29 avril 1600, il épousa Geneviève Dupré, fille de Claude, trésorier de France en Saintonge, et de Catherine Razin. De cette union naquirent :
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V) de BRILHAC de NOUZIÈRES Pierre, chevalier, seigneur de Nouzières, vicomte de Gençay. Il fut conseiller au parlement de Paris, et fit ériger en vicomté, par lettres patentes de juin 1656, registrées au bureau des finances de Poitiers le 31 août 1696, la terre de Gençay, qu'il avait acquise des héritiers de feu René de Bueil, comte de Marans et de Sancerre. En septembre 1664, il obtint du roi, par lettres données à Vincennes, et enregistrées au parlement le 6 du même mois, la permission d'ajouter à son nom, le nom et armes de Nouzières. De son union avec Marie Benoise, fille de Charles, maître des comptes, et d'Hélène Passart, naquirent :
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VI) de BRILHAC de NOUZIÈRES Nicolas, chevalier, seigneur Nouzières, de Tachinville, vicomte de Gençay, Magné, etc. Il fut conseiller du roi en sa cour de parlement de Paris. En 1666, il épousa Catherine Jeanne Auzannet, fille de Jean, avocat au parlement de Paris, et d'Anne Bourat. Il décéda à Poitiers, le 13 novembre 1685, âgé de 53 ans. Son épouse fit transporter son corps à la Roche de Gençay. De son union avec Catherine Jeanne naquirent :
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VII) de BRILHAC de NOUZIÈRES Pierre, né le 26 janvier 1667, chevalier, seigneur de Nouzières, vicomte de Gençay. Il fut conseiller au parlement de Paris en 1688. En 1703, il fut installé premier président au parlement de Rennes. En 1730, il fit placer à la promenade du Thabor (Rennes), une cloche pour annoncer chaque soir la fermeture, et y fit graver ses armoiries. Le 17 septembre 1693, il épousa en premières noces, Anne Chouet du Gazeau, fille de Pierre, seigneur de Gevreau, conseiller au parlement de Bretagne, et de Marie Dumoley. Le 20 juillet 1716, Jean Quintard, prêtre de Sainte-Radegonde de Poitiers, chargé de la procuration de Pierre de BRILHAC de NOUZIÈRES (Lui ou son fils Pierre Nicolas), fournit le dénombrement du fief de Nouzières à Charlotte de l'Aubespine, duchesse de Saint-Simon, marquise de Ruffec. (Bruno SÉPULCHRE). Il épousa en secondes noces Pélagie Constance Comte du Lys, fille d'Antoine, conseiller au parlement de Bretagne. Il décéda à Paris le 25 janvier 1734, ayant eu pour enfants de ses deux mariages :
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VIII) de BRILHAC de NOUZIÈRES Nicolas Chrétien, comte de Brilhac, seigneur de Nouzières, vicomte de Gençay. Il fut lieutenant aux gardes françaises, et breveté chevalier de Saint-Louis. Le 8 août 1731, il fut autorisé par arrêt de la chambre des comptes, à faire l'hommage de Gençay, comme curateur de Pierre Nicolas, son frère interdit. Il épousa Marie Gabrielle Monnot, et avec elle, et Marie Anne Geneviève, sa soeur, veuve de Dinan de Coniac, ils vendirent le 7 avril 1767, la terre de Gençay, à Jacques Charles, marquis de Créqui, lieutenant général des armées du roi. Sa descendance, s'il en eut une, est inconnue. |
Branche de FENIOUX : |
V) de BRILHAC Charles, écuyer, seigneur de Fenioux. Il fut capitaine au régiment de Piémont. Le 10 septembre 1650 (Choffe, notaire), il épousa Claire de La Tour, fille de Jacques, écuyer, seigneur de Bonnemie, et de Marguerite de La Tour. De cette union naquirent :
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VI) de BRILHAC Charles, chevalier, seigneur de Fenioux, Grand-Jean, la Faye. Lui ou son père fut enregistré dans l'Armorial Général de France de Charles d'Hozier, à la généralité de La Rochelle, sous le nom de BRIAC, avec le blason de fantaisie ci-dessous :
De cette union naquit :
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Branche d'ÉCHOISY (Cellettes) : |
III) de BRILHAC Jean, écuyer, seigneur d'Echoisy (Cellettes). Il fut conseiller au présidial de Poitiers en 1586. Le 27 mars 1588, par acte reçu Marrot et Guionneau, notaires à Poitiers, il partagea avec ses frères François et René, les succession de ses père et mère décédés, ainsi que celle de leur frère Philippe, également décédé. Il hérita de la maison noble, terre et seigneurie de Beauregard, Echoisy (Cellettes), avec ses dépendances, terres labourables, rentes et étangs, des paroisses de Cellettes, de Villognon, de Luxé, de Xambes, de Vervant, et du Fouilloux, le fief et rentes nobles de Boisboucard, la métairie du Buisson (Bioussac), et de la métairie noble et appartenances de la Fontaine aux Arembert. (Jean-Claude VRILLAC) Le 9 janvier 1570, il épousa François Vivien, fille d'Antoine, seigneur des Roches de Quinçay, et de Marguerite Audouin, dame de Lonchard. De cette union naquirent :
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IV de BRILHAC François, écuyer, seigneur de Lonchard, qu'il partagea comme fils aîné, le 8 septembre 1612. Le 27 juillet 1627, il obtint un jugement du présidial de Poitiers, contre Jacques Jacques, écuyer, seigneur de la Belotrie. Le 11 septembre 1603, il épousa en premières noces, Renée Pidoux, puis en secondes noces Jacquette du Vignaud, veuve d'Etienne Le Maye, sieur des Minières. Il eut pour enfant : |
V) de BRILHAC Pierre, écuyer, seigneur de Lonchard. Le 14 février 1640, avec son père, ils firent l'acquisition d'une créance de 5000 livres, sur Antoine de Montjon, conseiller au présidial de Poitiers. Dès le 28 mars 1627, il fut conseiller au présidial, charge qu'il vendit le 13 janvier 1637 à Jean Richeteau, écuyer, seigneur de l'Espinay, avec lequel il était en procès en mars 1638. Le 20 janvier 1661, il rendit un aveu à Jacques de Mesgrigny, chevalier, seigneur de Saint-Georges, pour son fief de Ribouard. Il épousa avant 1638, Marie de La Barre, et qui lui donna pour enfant :
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Branche de la GARNERIE : |
IV) de BRILHAC Philippe, écuyer, seigneur des Roches de Choisy. Il fut plus particulièrement connu sous le nom de Choisy, et fut conseiller au présidial en 1608. Le 19 janvier 1611, il épousa en premières noces, Jeanne de Sauzay, fille de Louis, sieur de Beaurepaire, et de Rose Lucas. De cette union naquirent :
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V) de BRILHAC Jean, écuyer, seigneur de la Garnerie, et de Vérine. Il succéda à son père comme conseiller au présidial de Poitiers, en 1664. Le 15 mars 1646, il épousa Catherine Fouquet, fille d'Isaac, écuyer, seigneur de la Touche-Beaurepaire, et d'Anne Gaschinard. De cette union naquirent :
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VI) de BRILHAC Charles Emmanuel, chevalier, seigneur de la Garnerie, et des Roches. Il fut baptisé à l'âge de 9 mois, le 22 juin 1650. Le 20 avril 1674 (Barbaud et Rallier, notaires à Poitiers), il épousa Esther Carlouet, (née en 1652, décédée le 23 février 1728 à Vouneuil sous Biard - Vienne), fille de Jacques, receveur des tailles à Saint-Maixent (Deux-Sèvres), et d'Esther des Vignes. Il décéda le 28 mai 1697, ayant eu pour enfants :
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VII) de BRILHAC Charles Emmanuel, chevalier, seigneur de la Garnerie. Selon certaines sources, d'une alliance inconnue, il eut pour enfants :
En 1752, il y a un Hippolyte de BRILHAC, commandeur de La Lande (Deux-Sèvres). Est-ce le même que le prieur de Parthenay le Vieux, ou un autre frère ? En 1765, il y a aussi un René Hippolyte, comme commandeur de Coudrie. |
VIII) de BRILHAC Hippolyte, écuyer, seigneur de la Garnerie. Il se serait marié vers 1730, et de cette alliance inconnue, eut pour enfants :
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IX) de BRILHAC François Hippolyte, chevalier, seigneur de la Garnerie. Il épousa le 22 septembre 1755 à Poitiers, Dorothée de Guillon, fille de Pierre et de Marie Anne des Broquins. Elle en était veuve en 1789. Il décéda le 10 mars 1780 à Poitiers, ayant eu pour enfants :
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X) de BRILHAC Jean Baptiste, qui épousa en premières noces le 10 novembre 1778 à Poitiers, Marie Josèphe de Maubois, puis en secondes noces le 19 avril 1799 à Charroux, Marie Elisabeth Félicité de Bessac, (née le 12 juin 1760 à Saint-Saviol - Vienne), fille de René Jacques, et de Marie Elisabeth Motheau. (Jean-Claude VRILLAC). De cette union naquit :
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Branche du PARC : |
III) de BRILHAC René, écuyer, seigneur du Parc et Boisvert. Il fut conseiller au présidial de Poitiers en 1573, l'était encore en 1607, et fut reçu échevin en 1573. Le 27 mars 1588, par acte reçu Marrot et Guionneau, notaires à Poitiers, il partagea avec ses frères François et Jean, les succession de ses père et mère décédés, ainsi que celle de leur frère Philippe, également décédé. Il hérita de la maison noble, terre et seigneurie du Parc, la maison noble de Grand Boisreve, avec ses dépendances, sans y comprendre la portion qui appartenait à maître Antoine Morellon, seigneur de la Rivière. (Jean-Claude VRILLAC) Le 10 avril 1614, il assista à la réunion pour élire les députés du Poitou aux Etats de Sens. Comme son père, il tint un journal de famille de 1573 à 1622. Le 30 octobre 1570, il épousa Madeleine Fumée, fille de François, écuyer, seigneur de la Pierrière, et de Michelle Vernou (Riguet et Morineau, notaires à Poitiers). De cette union naquirent :
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IV) de BRILHAC François, écuyer, seigneur du Parc et Boisvert. Il succéda à son père comme conseiller au présidial en 1610. Il fut maire de Poitiers en 1619, et peut-être maître d'hôtel du roi. Le 30 janvier 1611, (Busseau et Chauvet, notaires à Poitiers), il épousa Marie Alexandre. Il décéda en 1647, ayant eu pour enfants :
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V) de BRILHAC Pierre, chevalier, seigneur du Parc et de Boisvert. Il épousa Marguerite Pidoux, fille de Pierre, écuyer, seigneur de Malaguet, et de Madeleine Maisonnier. Elle en était veuve dès 1664, lorsqu'elle partagea la succession de son père. De cette union naquit peut-être :
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Branche de PILOUÉ : |
V) de BRILHAC Louis, seigneur du Parc et de Piloué. Il fut conseiller au présidial de Poitiers, et secrétaire de l'ambassade en Suisse. Le 19 avril 1668 (Cailler et Marot, notaires à Poitiers), il épousa Marie Jeanne de Gennes, fille de Charles, écuyer, seigneur du Courtioux, la Roche-Marigny, et de Jeanne Cécile Texier de La Gloutière. Elle décéda le 18 juin 1709. Louis et Marie Jeanne eurent pour enfants :
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VI) de BRILHAC Louis, né en 1667, écuyer, seigneur de Piloué, et Vounant. En août 1705, (Monneau et Beguier, notaire à Poitiers), il épousa Marie Le Peultre, veuve de Pierre du Plantis, seigneur du Landreau, et fille de Philippe, trésorier de France au bureau des fiances de Poitiers. Lui ou son père, fut enregistré dans l'Armorial Général de la France de Charles d'Hozier, dans la généralité de Poitiers, avec le blason de fantaisie ci-dessous :
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VII) de BRILHAC Jacques Louis, écuyer, seigneur de Piloué et Vounant, baptisé à Saint-Hilaire le Grand, le 19 juillet 1708. Il servit au ban de 1758 dans la première brigade de l'escadron de Vassé. Par contrat du 11 avril 1739 (Decressac et Baudouin, notaires à Poitiers), il épousa Marie Elisabeth de Lambertie, fille de Cosme, chevalier, seigneur de Lavau, la Grande Epine, mestre de camp de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, et d'Angélique du Breuil-Hélyon. De cette union naquit :
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Branche de BOISTILLÉ (Taizé-Aizie) : |
II) de BRILHAC Nicolas, écuyer, seigneur de Boistillé. Il vivait à la date du 4 avril 1555. Il épousa Catherine Badignon, fille de Jean, juge prévost de Civray. De cette union naquirent :
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III) de BRILHAC Jean, écuyer, seigneur de Boistillé. Il fut semble-t-il gentilhomme ordinaire de la chambre du roi. Il épousa en premières noces Renée de Parthenay, fille de N., écuyer, seigneur de Maisonnais. De cette union naquirent :
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- BEAUCHET-FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou. - Charles d'HOZIER : Armorial Général de France, généralités de Poitiers et de La Rochelle. - Jean-Claude VRILLAC : Recueil historique, généalogique et héraldique des anciennes familles du Ruffécois. - Bruno SÉPULCHRE : article sur Nouzières (Ruffec), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre. |