du BREUIL de THÉON |
D'argent à la bande d'azur accompagnée
de deux étoiles de gueules, l'une en chef et l'autre en pointe. Supports : Deux sauvages. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) |
Famille de Saintonge, qui semble-t-il, bien que cela ne soit pas très évident, a possédé quelques terres en Charente, dans la région de Barbezieux, à Conzac et Angeduc. |
Le fief de l'Anglade (paroisse d'Epargnes), était tenu par Gilles du BREUIL, seigneur de Théon. Les maisons nobles de Théon, Château-Bardon, Guitaud, domaines et fiefs en dépendant, relevaient à hommage lige du château de Didonne, au devoir de 8 jours de chambellage, lorsque le seigneur de Didonne était en sa baronnie, et d'un épervier à chaque mutation de vassal. En outre, le seigneur de Théon était tenu, lors de la convocation du ban et arrière-ban de Saintonge, avec les seigneurs de Longchamps, Cravans et de Châtenet, à fournir un homme d'armes monté et armé. Les paroisses qui payaient rente au seigneur de Théon fournissaient l'équipement et le soldat. Les seigneurs de Théon, portant le nom du BREUIL, paraissent avoir possédé originairement la seigneurie du Breuil d'Arces, dont ils auraient pris le nom pour le joindre à celui de Théon. (Commission des Arts et Monuments - Charente-Maritime) |
Noms isolés : |
- du BREUIL Pierre, valet, fit aveu le 30 septembre 1335, à Robert de MATHA, seigneur de Mornac, du droit d'exploit dans la forêt de Salitz. Le Breuil, dans la commune de Saint-Augustin sur Mer, canton de La Tremblade. CASSINI indique le Grand et le Petit Breuil. Ce Pierre du BREUIL appartenait à la famille des seigneurs de Théon. (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). |
- du BREUIL Regnaud, écuyer, seigneur de Théon, l'Anglade, rendit hommage à François de BEAUMONT, seigneur de Rioux, pour le fief de l'Anglade, en 1513. (Commission des Arts et Monuments - Charente-Maritime) |
- du BREUIL Joseph Louis, chevalier, baron de Théon, Château-Bardon et autres lieux. Il décéda le 5 avril 1632. La cloche de Meschers qui porte son nom, avait été léguée par lui à la paroisse. (Commission des Arts et Monuments - Charente-Maritime) |
- du BREUIL Jeanne, qui en 1678, demeurait au lieu noble de la Touche (Conzac - Charente). (Roger MARCHIVE) |
- de TOYON (du BREUIL de THÉON ?) Claude, se dit seigneur d'Angéduc en 1679. (Etienne BARTH) |
- du BREUIL de THÉON Louis, seigneur d'Angeduc en 1680. (Etienne BARTH) |
Filiation suivie : |
I) du BREUIL Gombaud, seigneur de Théon et du Breuillet, qui vivait en 1360. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) Il semble qu'à l'origine, le fief de Théon s'appelait Breuillet, et qu'il prit le nom de Théon, en souvenir de la famille du BREUIL. (Frédéric CHASSEBOEUF) Il eut pour enfants :
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II) du BREUIL Florimond, ou bien Jacques, écuyer, seigneur de Théon. (Cozes - Charente-Maritime). Le 6 novembre 1453, il consentit une baillette, reçue PELIGNEAU, notaire. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) De son union avec Jeanne AYMARD, naquit : |
III) du BREUIL Guillaume, écuyer, seigneur de Théon. (Cozes - Charente-Maritime). Il rendit hommage de la terre de Théon au sénéchal de Saintonge, en exécution des lettres patentes du roi LOUIS XI, qui lui avaient été accordées par grâce spéciale à cause de ses infirmités, datées d'Amboise du 23 juin 1462. Le 9 septembre 1469, il rendit hommage à CHARLES, duc de Guyenne, comme seigneur de Talmont sur Gironde. (BEAUCHET-FILLEAU) Le 6 avril 1499, il rendit à nouveau hommage au roi LOUIS XII, des terres de Théon et de Blenac. Il figura avec l'abbé de Vaux, pour 1/6ème dans les dîmes de la paroisse d'Arces. (Commission des Arts et Monuments - Charente-Maritime) Avec Arnaud PERRON, écuyer, seigneur de Sorlut, il figura comme témoins gentilshommes, pour attester de la noblesse de Jean VIGIER, dans les preuves qu'il fit pour être reçu chevalier de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, en 1505. Guillaume épousa en premières noces, par contrat passé à La Rochelle le 21 juillet 1477, Marguerite du ROUSSEAU, (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) De cette union naquit :
Guillaume testa le 21 avril 1505, et ordonna dans son testament, qu'il voulait sa sépulture en l'église de Saint-Martin l'Ars, dont il était seigneur paroissien, en la chapelle Saint-Laurent et Saint-Blaise, en laquelle git le corps de feu Julienne de CHÂTEAU-BARDON, jadis sa femme, et y fonda 2 messes par mois. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) De sa seconde union naquirent :
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IV) du BREUIL Bernard, écuyer, seigneur de Théon. (Cozes - Charente-Maritime). Le testament de son père de 1505, luis donna tour le mobilier de la maison de Théon, "sauf un potet et 12 cuillères d'argent", qui étaient pour Arnault et Jean, ses fils puînés. (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). Le 2 mai 1506, il rendit aveu et dénombrement des fiefs de Chaptour, de la Croix et autres biens en la paroisse de Saint-Sulpice, à Charles de La TRÉMOUILLE, comte de Taillebourg, seigneur de Royan. (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). Le 11 décembre 1515, il rendit hommage au roi FRANÇOIS Ier de la terre de Théon, mouvante de Talmont sur Gironde Bernard épousa Marie PERRON, fille d'Arnault, écuyer, seigneur de Sorlut, et de Jeanne de CORBON, alias COURBON. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) Bernard décéda avant 1520, ayant eu de son union avec Marie PERRON : (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914) : |
V) du BREUIL Jacques, écuyer, seigneur de Théon (Cozes - Charente-Maritime). Il épousa en premières noces, Marie BOISLÈVE. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) De cette union naquirent :
De cette seconde union naquirent :
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VI) du BREUIL Pierre, écuyer, seigneur de Théon (Cozes - Charente-Maritime), et de Coutiers (Fief qui relevait du château de Taillebourg - Frédéric CHASSEBOEUF). Il épousa le 26 août 1579 (Jehan BARBOT, notaire à Saintes), Catherine Le MOYNE, fille d'André, écuyer, et de Renée de GUIP. Par cette union, elle fit passer le fief de Coutiers dans la famille du BREUIL. (Frédéric CHASSEBOEUF). Le Ier janvier 1602, il fit son testament et institua pour son héritier universel, Gilles, son fils aîné, pour son puîné Charles, la terre de Coutiers, et 1000 écus pour chacune de ses filles. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) Pierre décéda avant 1626, ayant eu de son union avec Catherine : (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914).
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VII) du BREUIL Gilles, écuyer, seigneur de Théon (Cozes - Charente-Maritime), Chapitre (Arces - Charente-Maritime), Prezelin, etc. La maison noble de Chapitre lui revint en 1615, aux termes d'un compromis passé avec Louis de BÉLAIR, baron de Cozes. (Frédéric CHASSEBOEUF) En 1655, le fief de Coutiers fut vendu à Louis de La BLACHIÈRE, seigneur de Torfou. (Frédéric CHASSEBOEUF). Par contrat du 5 janvier 1610, passé au logis de la Mothe Médis (DECHAMBRE, notaire royal), il épousa Renée de LUCHET, dame de la Mothe-Médis, fille de feu François, écuyer, seigneur de Luchet, et de Marie GRIGNON. (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). De cette union naquirent :
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Branche des seigneurs de THÉON de MESCHERS (Charente-Maritime) : |
IV) du BREUIL Arnaud, fils de Guillaume et de Julienne de CHÂTEAU-BARDON, branche principale, degré III. |
V) du BREUIL Gilles, chevalier, seigneur de Théon de Méchers (Meschers sur Gironde - Charente-Maritime). Le 5 avril 1540, il rendit le dénombrement pour la seigneurie de Théon, à Louis de La TRÉMOILLE, baron de Didonne. Le 11 janvier 1555, il fit aveu et dénombrement de la prévôté de Meschers, au seigneur de Didonne. (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). Il fut député de la province de Saintonge aux Etats de Blois, en 1588. Gilles épousa Renée de CHANTEFIN, alias CHAMPDEFIN, ou CHAMP-de-FAIN, fille d'Antoine, écuyer, seigneur de la Bruyère en Poitou. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) Il décéda avant le 16 décembre 1589, date du partage de sa succession entre ses enfants, qui étaient :
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VI) du BREUIL Gilles, seigneur de Théon de Méchers (Meschers sur Gironde - Charente-Maritime), Château-Bardon (Meschers sur Gironde - Charente-Maritime), Javrezac (Cozes - Charente-Maritime), et Saint-Amand en Puisaye. Il fut successivement enseigne, lieutenant, puis capitaine de 50 hommes d'armes sous la charge de M. de BELLEVILLE, lieutenant-général au gouvernement de Saintonge, chevalier de l'Ordre du roi. En 1588, il était député de la noblesse de Saintonge aux Etats-Généraux tenus à Blois. Gilles reçu deux lettres du roi HENRI III : la première datée de Paris, du 23 février 1588, lui portant commission de commander en la ville de Talmond sur Gironde (lettre signée du roi et de Vieuxville), la seconde du 28 mai 1588, contenant un ordre de remettre le château de Mortagne sur Gironde, au sieur de MONGIRON, lieutenant-général au gouvernement de Dauphiné (écrite à Chartres, signée du roi et de VIEUXVILLE). Le lieutenant-général de Saintes, donna pouvoir au sieur de Théon, commandant à Talmond, de lever 60 écus par mois, sur les revenus de la principauté de Mortagne, pour la garde et entretien dudit château. En 1588, il était qualifié de gouverneur de Talmont. (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). En 1595, Charlotte Catherine de La TRÉMOILLE, lui céda Château-Bardon (Meschers sur Gironde), avec le droit d'y tenir une forteresse à pont-levis. (Frédéric CHASSEBOEUF) Par contrat du 15 décembre 1577, Gilles épousa en premières noces, Charlotte de ROCHECHOUART, fille de Charles, chevalier de l'Ordre du roi, et de Charlotte de MARICOUR. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) De cette union naquirent :
De sa seconde union avec Gabrielle naquirent :
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VII) du BREUIL Claude, chevalier, seigneur baron de Théon de Méchers (Meschers sur Gironde), Château-Bardon (Meschers sur Gironde), Javrezac (Cozes - Charente-Maritime), Salles, Conzac, Coursac, la Touche, en Angoumois. Page de la chambre du roi LOUIS XIII, il le suivit en cette qualité en ses armées, et fut plus tard gentilhomme ordinaire de la chambre du roi. Au mois de novembre 1615, étant alors encore mineur, la maison de Château-Bardon fut prise et pillée par les Protestants, à la tête desquels était Samuel de CAMPET, sieur de Saujon. Par contrat du 16, ou 26 mai 1623, il épousa Madeleine (Marguerite) de GOULARD, alias Marguerite de TOUVERAC, fille de Jacques, baron de Touverac en Angoumois, et de Françoise de La TOUCHE. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) Le 12 octobre 1632, il demeurait à Meschers. (Bulletins de la Société des Archives Historiques de la Saintonge et de l'Aunis - Années 1876 à 1930) Dans son testament du 16 janvier 1665, il demanda à être enterré devant l'autel Notre-Dame de l'église de Meschers, avec ses prédécesseurs. (Commission des Arts et Monuments - Charente-Maritime) De son union avec Marguerite naquirent :
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VIII) du BREUIL Louis Annibal, seigneur de Théon de Méchers (Meschers sur Gironde), Château-Bardon (Meschers sur Gironde), et Javrezac (Cozes). Il fut maintenu par d'AGUESSEAU dans sa noblesse, en 1666, puis par BÉGON le 18 juillet 1698. Il déclarait avoir été capitaine au régiment de Vignolle. (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). Par contrat du 28 juillet 1666, passé à Poitiers (GAULTIER et BOURBEAU, notaires royaux à Poitiers), il épousa Elisabeth BONNIN, fille de René, marquis de Messignac, la Rigaudière er Marsay, en Poitou, et de Judith BERNARD. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) Dans son testament de 1685, Louis Annibal écrivit que sa femme Elisabeth était déclarée indigne de la tutelle de leurs enfants "attendu l'abandon qu'elle a fait de moy, de sa famille, et de sa maison, depuis l'an 1680, malgré les sommations à elle faites". (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). Il décéda en 1708, ayant eu pour enfants : (Commission des Arts et Monuments - Charente-Maritime) :
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IX) du BREUIL Antoine, chevalier, seigneur de Théon de Méchers (Meschers sur Gironde), Château-Bardon (Meschers sur Gironde), Javrezac (Cozes). Le fief et seigneurie de Guitaut, paroisse de Méchers (Meschers sur Gironde), lui fut rétrocédé en 1714 de la famille FROGER. (Frédéric CHASSEBOEUF) Par contrats des 7, 8, et 13 septembre 1688, il épousa Marguerite Louise d'ACHARD (décédée le 18 janvier 1719), sa cousine, fille de Charles, seigneur de Théon (Cozes - Charente-Maritime), et de Louise de BOSCAL de RÉAL. Par ce mariage, la terre de Théon (Cozes), après être parti dans la maison d'ACHARD, revint dans celle du BREUIL. (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER) Antoine décéda en février 1746, ayant eu pour enfants : (Bulletins de la Société des Archives Historiques de la Saintonge et de l'Aunis - Années 1876 à 1930).
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X) du BREUIL de THÉON de CHÂTEAU-BARDON Eutrope Alexandre, seigneur de Château-Bardon, qui fut capitaine au régiment de Normandie. Il fut breveté chevalier de Saint-Louis. Le 31 octobre 1746, il épousa Marie Louise de RAYMOND, fille de Charles et de Marie Louise GIRARDON. (BEAUCHET-FILLEAU) Par ce mariage, Marie Louise apporta à son mari la terre des Ecurolles (Availles sur Chizé 'Deux-Sèvres). (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914). Il décéda en 1759, ayant eu pour enfants : (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER)
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XI) du BREUIL de THÉON de CHÂTEAU-BARDON Jean Augustin, chevalier, seigneur des Ecurolles (Availles sur Chizé - Deux-Sèvres). Il fut élève de l'Ecole Militaire, servit comme sous-lieutenant en la compagnie du chevalier de VAUGRAND, dans le régiment d'infanterie des gardes de Lorraine., (Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914), et comparut par procureur à l'assemblée de la noblesse du Poitou, en 1789. Malgré ses infirmités, il n'hésita pas à émigrer en 1791, et demanda à être inscrit dans la Ière compagnie noble du Poitou. Quand l'armée des Princes fut dissoute, il partit rejoindre l'armée de CONDÉ. En septembre 1788, il épousa à Niort (BION, notaire), Angélique Marguerite Louise de LINIERS, fille de Jacques Joseph Louis, seigneur du Grand Breuil, et d'Henriette Thérèse de BREMOND. Il décéda le 10 juin 1836, ayant eu pour enfants : (BEAUCHET-FILLEAU)
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XII) du BREUIL de THÉON de CHÂTEAU-BARDON Gustave Eutrope Alexandre, qui fut officier de cavalerie. Il épousa Marie Caroline de LESCAILLE. Il décéda le 28 février 1871, ayant eu pour enfants : (BEAUCHET-FILLEAU)
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Branche d'Eutrope Alexandre Bertrand : |
XI) du BREUIL de THÉON Eutrope Alexandre Bertrand, fils d'Eutrope Alexandre et de Marie Louise de RAYMOND, degré X, branche des seigneurs de Théon. Il était qualifié de chevalier de Théon. Il fut officier au régiment de Beauvoisis, et était en 1791, major au régiment Colonel-Général-Infanterie, lorsqu'il émigra à la tête de 36 officiers de son régiment, emportant avec lui l'enseigne de la générale. Au cantonnement d'Oth, il remplit les fonctions de major général, et au moment du licenciement de l'armée de CONDÉ, il était premier fourrier major du premier bataillon de l'infanterie noble. Le 15 août 1797, il épousa à Duderstadt (Allemagne), N. d'AFFRENGUESs de LIENNE. (BEAUCHET-FILLEAU) De cette union naquit : |
XII) du BREUIL de THÉON Edouard, qui fut sous-lieutenant au 4ème régiment de la Garde (1815). De son union avec Joséphine LASCOSTE, naquit : (BEAUCHET-FILLEAU) |
XIII) du BREUIL de THÉON Alexandre, qui épousa N. THENIER. De cette union naquirent 2 fils et une fille. (BEAUCHET-FILLEAU) |
Rameau de Charles Louis du BREUIL : |
X) du BREUIL Charles Louis, seigneur de Guitaut, alias Guitteau (Meschers sur Gironde), fils d'Antoine et de Marguerite ACHARD, degré IX branche des THÉON de MESCHERS. Il fut lieutenant de vaisseau du roi. Breveté chevalier de Saint-Louis, il fut pensionné du roi. Il assista au ban de 1768. (BEAUCHET-FILLEAU) Il épousa Marie TURMET de MONT-GUION. Il décéda en 1780, ayant eu pour enfants : (La CHENAYE-DESBOIS et BADIER)
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XI) du BREUIL Paul Charles, comte de Guitteau, seigneur de la Montagne-Villarsay (Rochefort), par son union avec Henriette d'ABBADIE. (Frédéric CHASSEBOEUF). Il assista à la réunion de l'assemblée de la noblesse à Saintes, et fut officier au régiment de Jarnac-Dragons. Paul Charles épousa Marie Anne Henriette d'ABBADIE, fille unique de Jean Jacques Blaise, et de Marie Magdelaine HARANGER du MESNIL-ROLLAND. (Frédéric CHASSEBOEUF). En 1790, il céda le domaine de la Montagne-Villarsay à Antoine FAYE, marchand parfumeur. Ce domaine prit par la suite le nom de Bois d'Amourette. (Frédéric CHASSEBOEUF). De son union naquirent :
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- La CHENAYE-DESBOIS et BADIER : Dictionnaire de la noblesse. - BEAUCHET-FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou. - Etienne BARTH : Le canton de Barbezieux au temps passé. - Frédéric CHASSEBOEUF : Châteaux, manoirs et logis de la Charente-Maritime. - Commission des Arts et Monuments - Charente-Maritime. Recueil des actes années 1860 à 1912. - Archives Historiques de Saintonge et Aunis - Années 1874 à 1914. - Bulletins de la Société des Archives Historiques de la Saintonge et de l'Aunis - Années 1876 à 1930. - Roger MARCHIVE : Article sur la Touche (Conzac), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie BRUNO SÉPULCHRE. |