BARBOT

Blason de la famille Barbot, branche d'Hauteclaire
D'or à un chevron d'azur, accompagné de trois roses de gueules, tigées et feuillées de sinople, au chef d'azur chargé de trois croissants d'argent.
(Branche d'Hauteclaire)

Devise : "Dieu et Saint-Marc"

I) BARBOT Léonard, écuyer, conseiller du Roi, contrôleur général de son domaine en la généralité de Limoges.
Il épousa le 18 juin 1591, Catherine Guillaumeau.
Ils eurent pour enfants, au moins :

II) BARBOT David, alias Denis, écuyer, lieutenant particulier en l'élection d'Angoulême.
Il fut reçu conseiller au corps de ville d'Angoulême par la promotion de Guillaume Saussy à la charge d'échevin, (Acte fait au greffe de l'élection de vouloir vivre noblement, le 19 janvier 1653.) le 24 décembre 1652.
Il fut maintenu noble, par ordonnance du sieur d'Aguesseau, le 22 janvier 1667.
Il épousa en 1621, Catherine de La Farge.
De cette union naquit, au moins :

III) BARBOT Marc, écuyer.
Il eut les charges de conseiller du Roi, et de Juge-Prévot royal d'Angoulême.
Il épousa par contrat du 7 juillet 1655, Marguerite Moulin, dame de la Trésorière.
De cette union naquirent :
  1) Marc, qui fera la branche de la Trésorière.
2) Léonard, qui suit.
3) peut-être un garçon qui fut ecclésiastique.
4) peut-être une fille mariée à Jean-Jacques Chausse.

IV) BARBOT d'HAUTECLAIRE Léonard, né le 13 mars 1673, écuyer, seigneur d'Hauteclaire. (La Couronne).
Il obtint le 24 mars 1708, un jugement de maintenue de noblesse.
Il épousa le 23 octobre 1694, Françoise Gilbert, fille de Jean, écuyer, seigneur de Borderin, et de Marie Bourdage.
De cette union naquit, au moins :

V) BARBOT d'HAUTECLAIRE Jean, né le 21 juin 1708, écuyer, seigneur d'Hauteclaire, de la Tourette (La Couronne).
Le 31 mai 1712, fut fait, au lieu de Hauteclaire (La Couronne), l'inventaire des meubles, de la succession de Léonard BARBOT. (Jean-Paul Gaillard).
Le 16 mars 1740, il vendit la Tourette (La Couronne), à Gabriel Merceron, marchand boucher, demeurant à Angoulême. (Christian Gillet).
Il fut gendarme du Roi, et eut la distinction de chevalier de Saint-Louis en 1759.
Il épousa en premières noces Marie Barraud, puis en secondes noces, le 14 février 1741, Catherine Sauvo.
Ils étaient dits habitant à Montbron.
De cette seconde union naquit :

VI) BARBOT d'HAUTECLAIRE Germain, né le 29 juin 1744 à Vouthon, seigneur d'Hauteclaire, demeurant au logis noble de la Buzinie.
Il épousa en premières noces par contrat du 13 novembre 1764, Marie Mongin, fille de Pierre, écuyer, seigneur de la Buzinie, et de Marie Bourdin.
Ils partagèrent le 12 septembre 1766, avec les autres héritiers de la famille Mongin, et entrèrent par ce partage en possession de la Buzinie (Champniers). (Christian Gillet).
De cette union naquirent :
  1) Jean, qui fera la branche de la Buzinie.
2) Jean, qui suit.
3) Henri, né le 26 juin 1774.
Il épousa N. de Chancel.
Germain épousa peut-être en secondes noces, le 14 décembre 1778, Marie Rose de La Forestie. Elle décéda sans postérité.
En troisièmes noces, Germain épousa en 1782, Marie Françoise Regnauld de Taponnat (née le 2 février 1748), fille de François Louis, écuyer, seigneur de Taponnat, et de Françoise Marie Faure de Rancureau. (Veuve, elle contracta une seconde union).
Le 31 août 1783, Germain achète la terre de Chément (Garat), de Hilaire Aimable de La Fitte, chevalier du Courteil, demeurant à Poitiers. (Philippe Orain).
Il décéda en 1792 à Garat.
Le 16 mai 1812, Marie Françoise fit don de ses biens à ses trois enfants issus de son premier mariage avec Germain BARBOT d'HAUTECLAIRE. (Jacky Merle).
De l'union de Germain et de Marie-Françoise naquirent :
  4) François Louis Pierre, qui fera la branche de Chément.
5) Dorothée Catherine, qui épousa Gilles François Clergeon.
6) Jean Baptiste, né en 1777.
Il décéda le 9 octobre 1877, sans postérité.

VII) BARBOT d'HAUTECLAIRE Jean, né le 16 mars 1771 et baptisé le 18 à Champniers, dit le chevalier 'Hauteclaire, écuyer, seigneur de la Buzinie.
Il émigra à La Révolution, et revenu en France, il fit sa déclaration devant le préfet de la Charente le 2 Prairial an X. Il fut amnistié le 18 Frimaire an XI. (abbé Pierre Bureau).
Il épousa en premières noces à Angoulême, le 15 Messidor an XI, Marie Françoise Monod, fille de Pierre Antoine, négociant, et de Marie Ravon..
Elle décéda sans lui laisser de postérité.
En 1814, il fut nommé chevalier de Saint-Louis.
Il épousa alors en secondes noces le 16 janvier 1816, à Taponnat, Marie Amélie de Larye de Châteautizon, (née en 1785, et décédée le 19 mars 1853), fille de Jacques, chevalier, seigneur de Lauberge, chevau-léger de la garde du roi; et d'Anne Thérèse Pasquet de Roumazières. (Elle était veuve en premières noces de Jean Baptiste Albert du Vignaud, et décéda à La Rochefoucauld le 18 mars 1853). (abbé Pierre Bureau).
Il décéda à La Rochefoucauld le 14 janvier 1829, ayant eu de sa seconde union :

VIII) BARBOT d'HAUTECLAIRE Aubin, né à Taponnat-Fleurignac le 25 avril 1819. (Pierre BOULANGER)
Il fut élu maire de Massignac.
Il fit construire le logis de Thauzac (Massignac).
Le 14 octobre 1844, il épousa à Roumazières, sa cousine germaine, Marie Malvina, alias Marie des Roberties Dumontet de Lambertie (née le 9 janvier 1823 à Roumazières, décédée à Massignac le 25 avril 1903), fille de Jean Baptiste Théodore, capitaine de cavalerie, et de Louise de Larye de Châteautizon. (Pierre BOULANGER).
Aubin décéda à Massignac le 30 janvier 1884. (Pierre BOULANGER)
Le 8 avril 1893, Marie Malvina, sa veuve, fit une donation-partage de ses biens entre ses 2 enfants, qui étaient : (Pierre BOULANGER)
  1) René, né le 27 septembre 1858.
En 1892, il était conseiller minicipal.
Le 26 octobre 1893, (ou 1894), il épousa Marie Pauline Angèle de Brettes (née le 9 novembre 1863), fille du comte Séverin Henri, et de Marguerite du Breuil-Hélion de La Guéronnière, demeutant au château d'Ajat (Dordogne). (Pierre BOULANGER)
De leur union naquit au moins un fils :
  a) Marie Olivier Joseph Henri, qui décéda le 29 septembre 1895. (Pierre BOULANGER)
2) Marie Odette, née à Massignac le 11 septembre 1860.
Le 20 août 1883, elle épousa à Thauzac, Emile André Chatard, (dit Emile), (né à Limoges le 26 janvier 1842), fils de Guillaume André et de Thérèse Léonide Jabet.
D'où descendance. (Pierre BOULANGER)

Branche de CHÉMENT (Garat):
VII) BARBOT de CHEMENT François Pierre, né en 1783, (décédé le 12 octobre 1872), seigneur de Chément.
Il épousa N. Maulde de l'Oisellerie.
Ils eurent pour enfants :
  1) Pierre Ludovic, qui suit.
2) Daniel, qui décéda sans postérité.
3) Gabrielle, qui épousa son cousin Philippe de Guttierez de Ocana de Cordova.

VIII) BARBOT de CHEMENT Pierre Ludovic, chevalier de la Légion d'Honneur.
Il fut officier supérieur d'artillerie.
Il épousa le 7 mai 1851, Louise de Berthoumé, fille de Isaac Bertrand, et de Radegonde de Tryons de Salles.
Il décéda le 27 septembre 1888.
( Bien que le nom des BARBOT disparut vers le début du XXème siècle, le domaine de Chément resta entre les mains de la famille jusque dans les années 1960.
Au milieu du corps central du bâtiment, au second étage, sont sculptées les armes des BARBOT. La construction date de la seconde moitié du XIXème siècle). (Philippe Orain).

Branche de la BUZINIE (Champniers) :
VII) BARBOT de la BUZINIE Jean, né le 31 octobre 1765 et baptisé le Ier novembre à Champniers, écuyer, seigneur de la Buzinie.
Jean et Henri, son frère, après l'émigration de leur frère Jean, et la vente de la Buzinie, rachetèrent cette terre le 2ème jour complémentaire an VI (18 septembre 1796). (Christian Gillet).
Il épousa en premières noces, le 17 janvier 1791, à Taponnat, Suzanne Rose Regnauld, fille de François Louis, écuyer, seigneur de Taponnat; et de Marie Faure de Rancureau.
(Elle était née le 12 mars 1763, et fut baptisé le 15 à Taponnat. Elle décéda à Champniers le 20 Nivôse an VIII). (abbé Pierre Bureau).
Ils eurent pour enfants :
  1) Germain.
Il habitait Angoulême et fut docteur en médecine. Il décéda sans postérité en 1876.
2) Catherine Aimée, née en 1798.
Elle épousa le 28 juillet 1817 Charles de Chancel. Elle décéda le 4 octobre 1862.
Jean épousa en secondes noces, le 31 août 1807 à Rouillac, Anne Eugénie Frétard de Boisauroux, fille de Charles, écuyer, seigneur de Boisauroux, et de Anne Philippier de Fontgrive. (Elle était née le 3 février 1772, et baptisée le 4 à Rouillac. Elle décéda le 22 septembre 1842 à Champniers.) (abbé Pierre Bureau).
Jean décéda à Angoulême le 19 décembre 1845.
De sa seconde union étaient nés :
  3) Catherine Germaine, née le 14 mars 1809.
Elle épousa Prosper Etienne Mesneau de Saint-Paul, d'où 7 enfants.
Elle décéda le 24 décembre 1870.

Branche de la TRÉSORIÈRE (Angoulême) :
blason de la famille Barbot, branche de la Trésorière.
D'or à un chevron d'azur, accompagné de trois roses de gueules, tigées et feuillées de sinople, au chef d'azur chargé de trois étoiles d'argent.
(Branche de la Trésorière)
IV) BARBOT de la TRÉSORIÈRE Marc, écuyer, seigneur de la Trésorière.
Il eut les charges de juge et prévôt de la ville d'Angoulême.
Il épousa en 1678, Agathe Vauvert, et en eut pour enfants, au moins :

V) BARBOT de la TRÉSORIÈRE Marc Antoine, écuyer, seigneur de la Trésorière, de Peudry, (Saint-Martial de Montmoreau), de Courgeac, et de Saint-Laurent de Belzagot en partie, de Beaulieu (Saint-Laurent de Belzagot), de Sillac, et de Champrose (Saint-Laurent de Belzagot) en 1760. (Jean-Paul Gaillard).
Il fut conseiller du Roi, juge et prévôt royal des ville et châtellenie d'Angoulême.
Il épousa par contrat du 9 juin 1719, Catherine Fouchier, fille de Philippe, écuyer, et de Mathurine Moussier.
Il acquit le 18 octobre 1732, les deux tiers de la seigneurie de Peudry (ancienne paroisse - Saint-Martial de Montmoreau). (Jean-Paul Gaillard).
Le 15 novembre 1743, il vendit le lieu de Sillac (Angoulême), à François de Corgnol, seigneur de Glange. (Jean-Paul Gaillard).
Il décéda le 24 février 1777.
Le 12 avril 1777, Catherine Fouchier, alors veuve de Marc, fit dresser l'inventaire du mobilier dans leur maison d'Angoulême, au logis de Champrose (Saint-Laurent de Belzagot), et au logis de Beaulieu (Saint-Laurent de Belzagot). (Jean-Paul Gaillard).
De son union avec Catherine naquirent :
  1) Marc, qui suit.
2) Marc, qui devint Capitaine Aide Major au régiment d'Aquitaine. Il alla s'établir à Rochefort sur Mer.
Il eut pour enfant :
  a) Pierre, qui fut capitaine de frégate.
Il épousa à Rochefort le 19 mars 1837 Amélie Viginie Faurès, et en eut deux fils.
Il décéda à Angoulême en 1863.
De cette union naquirent :
  a1) Pierre-Marc-Anatole, né à Rochefort le Ier octobre 1839.
a2) André-Joseph-Edmond, né à Rochefort le 27 février 1842.
3) Jean, né le 26 décembre 1727, baptisé le Ier janvier 1728 à Saint-André d'Angoulême, écuyer, chevalier de Sillac (Angoulême), seigneur de Beaulieu (Saint-Laurent de Belzagot), sieur de la Trésorière.
Il fut capitaine d'infanterie au régiment de Montmorin, chevalier de Saint-Louis.
Il épousa par contrat du 27 mars 1772, (Audouin, notaire royal à Angoulême), Jeanne de l'Estoille (alias Lestoille), fille de Louis, écuyer, seigneur de la Croix, avocat et juge sénéchal de Blanzac; et de Marie Salmon.
La célébration religieuse eut lieu à Cressac le Ier mars 1772.
Il fut inscrit sur la liste des émigrés, le 3 juin 1792, et fut maintenu définitivement sur cette liste par décision du Directoire exécutif du 3 Floréal an VI.
Sa femme, dans une pétition que le directoire du département de la Charente avait retournée au district de Barbezieux le 7 Messidor an III, avait réclamé un sursis de 6 mois à la vente des biens de son mari, arguant que ledit, envoyé à l'île de Porquerolles pour y commander une troupe d'invalides, s'y trouvait encore à l'époque où cette île fut prise par les Anglais. Après enquête, il se trouva que Jean avait suivi les Anglais quand ils se retirèrent de l'île.
Il semble aussi qu'il était accompagné d'un de ses fils, du nom de Jacques.
Leur domaine de Beaulieu (Saint-Martial de Montmoreau), fut saisi, divisé en deux lots, puis vendu comme bien national. (Jean-Paul Gaillard).
Jeanne de Lestoille décéda à Angoulême le 16 Prairial an V. (abbé Pierre Bureau).
Jean et Jeanne eurent pour enfants :
  a) Jacques, né en 1771.
Est-ce lui qui suivit les Anglais avec son père, après le départ de ceux-ci de l'île de Porquerolles ?
Il y eut un Jacques BARBOT de La TRÉSORIÈRE qui, détenu à Angoulême depuis plusieurs années pour avoir pris part aux troubles de la Vendée, réclama le 25 Ventôse an VIII, sa remise en liberté. (abbé Pierre Bureau).
Il se maria, mais n'eut pas de descendance.
b) Marc, né en 1773.
c) Jacques, né en 1779.
Il fut attaché au corps de la gendarmerie royale, à Paris en 1815.
4) Marc, dit de la Trésorière de Saint-Marc, né en 1735 à Angoulême (décédé au même lieu en 1808).
Il devint capitaine au régiment de l'Ile de France, chevalier de Saint-Louis.
Il épousa le 21 messidor an II, Marguerite Chatanet, et en eut pour enfant :
  a) Marguerite, qui épousa en 1821, Henri Gaspard de La Porte aux Loups.
5) peut-être Marie, qui épousa le 21 août 1780, André Mesnaud, fils de Paul, seigneur de la Prade, Saint-Paul et Nanclars, et de Louise de Saluces.

VI) BARBOT de la TRÉSORIÈRE Marc, écuyer, seigneur de Peudry, de la Trésorière, de Saint-Laurent, et de Courgeac.
Les deux tiers de la seigneurie de Peudry était encore sa possession vers 1775. (Jean-Paul Gaillard).
Il épousa Marguerite Dubois de Bellegarde, fille de Laurent, écuyer, seigneur de Bellegarde.
Elle représenta son fils mineur, étant alors veuve, aux élections de la noblesse en 1789.
Ils eurent pour enfants, au moins :
  1) Georges Marc, né le 15 août 1765, et baptisé le 22 à Courgeac.
Il épousa à Angoulême, Marie Joussiaume, fille d'Etienne et de Marie Danias. (Elle était née à Bellon).
Il semble qu'il fut détenu à Angoulême, puis remis en liberté le 21 Vendémiaire an III.
Le 26 Thermidor an III, il fut définitivement rayé de la liste des émigrés, par arrêté du comité de législation de la convention nationale. (abbé Pierre Bureau).
Il décéda à Angoulême le 12 mai 1834, ayant eu un fils unique :
  a) Anax, qui naquit à Angoulême, le 10 août 1824. Il ne fut jamais enregistré de par la volonté de ses parents. (abbé Pierre Bureau).
2) Antoine, qui suit.

VII) BARBOT de la TRÉSORIÈRE Antoine.
Il était mineur en 1789.
De son mariage avec N., il eut pour enfant :
  1) Délie, qui épousa en 1826, Pierre Alexandre Ganivet Desgraviers.

Autres notes concernant les BARBOT de La TRÉSORIÈRE :
- A la fin du XVIIème et au début du XVIIIème siècle, le lieu noble de Belleveau (Sers), appartenait à cette famille. (Jean-Paul Gaillard et Bruno Sépulchre).

- Généalogie rectifiée envoyée par M. Christion de CORGNOL.
- Abbé Adolphe MONDON : Notes historiques sur la baronnie de Marthon.
- Abbé TRICOIRE : Le château d'Ardenne.
- Simon des COUSTURES : Nobiliaire de la Généralité de Limoges.
- M. Amaury de MONTLEAU (que je remercie particulièrement) pour l'apport de sa généalogie.
- Abbé Pierre. BUREAU : Liste des membres de la noblesse d'Angoumois, et les émigrés charentais.
- Christian GILLET : articles sur la Buzinie (Champniers), et la Tourette (La Couronne), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Jean-Paul GAILLARD : articles sur Sillac (Angoulême), Hauteclaire (La Couronne), Beaulieu (Saint-Laurent de Belzagot), Champrose (Saint-Laurent de Belzagot), et Peudry (Saint-Martial de Montmoreau), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Jean-Paul GAILLARD et Bruno SÉPULCHRE : article sur Belleveau (Sers), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Jacky MERLE : article sur la Taillandière (Taponnat-Fleurignac), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Philippe ORAIN : article sur Chément (Garat), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Pierre BOULANGER : Massignac, quelques pages d'histoire...
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