BARBIER

blason de la famille Barbier
Parti d'argent et de gueules, au bassin d'or posé en abîme brochant.
(d'Hozier, et cachet du XVIIIème siècle).

Cette famille fut présente dans la région de Confolens, et en particulier à Landrevie (Saint-Maurice des Lions), dont une branche en prit le nom.
Quelques uns de ses membres exercèrent au XVIIème siècle des fonctions de Consul et d'avocat à Confolens.
La branche de Landrevie possédait à Confolens, un bel hôtel particulier, placé juste au chevet de l'église Saint-Maxime.

I) BARBIER François, sieur de Landrevie.
Il fut inhumé le 22 mars 1602, à Confolens.
Il avait épousé Françoise Verin, qui lui donna pour enfant :
  1) François, qui suit.
2) peut-être Jehan, qui fit la branche de la Grange.

II) BARBIER François, sieur de Landrevie.
Il signa comme parent de Marguerite BARBIER, fille de Jehan, sieur de la Grange, au contrat du 28 juillet 1614.
Il décéda le Ier septembre 1614, à Confolens.
Il avait épousé Françoise Rousseau, et en eut au moins :
  1) François, qui suit.
2) Léonard, qui fera une branche cadette.
3) peut-être Pierre, qui fera la branche du Chiron.

III) BARBIER François, sieur de Landrevie.
Il décéda en 1630.
De son union avec Madeleine Chazaud, naquit :

IV) BARBIER Philippe, sieur de Landrevie, né en 1619.
Il épousa en 1644 Marguerite de Labajourderie.
Il décéda 1680, ayant eu pour enfant :

V) BARBIER Pierre, dit le Jeune, sieur de Landrevie (?), et de Leschassier.
Il épousa en 1677 Marguerite Churlaud, fille de Paul, sieur de l'Age, et de Jeanne Mondot.
De cette union naquit :

VI) BARBIER Philippe, sieur de Landrevie.
Il épousa en 1712, Jeanne Planteau, et en eut :

VII) BARBIER de LANDREVIE François, sieur de Landrevie.
Il fut capitaine au régiment de Piémont, puis gendarme de la garde du roi, chevalier de Saint-Louis. (Il faisait partie des protégés du marquis de Saint-Chamond, comte de Confolens).
En 1764, la terre de Chez Bourgnaud (Saint-Maurice des Lions) était dite lui appartenir. (Jean-Paul Gaillard et Bruno Sépulchre), ainsi que le logis des Broues (Saint-Claud) (José Délias).
En 1757, il épousa Suzanne Elisabeth Dubois de Masdupuy, fille de François, seigneur du Mas du Puy et de Catherine Babaud.
Il décéda en 1795, ayant eu pour enfants, au moins :
  1) Pierre, qui fit la branche de MAILLARD de LANDREVIE.
2) François Barthélémy, qui suit,
3) Joseph Paul, dit de LANDREVIE-CHIRON, (Saint-Maurice des Lions), né le 22 avril 1764, baptisé le même jour à Saint-Maxime de Confolens. (Il eut pour parrain Joseph Dubois, docteur en médecine, absent, représenté par Jean Dubois, son frère; et pour marraine Anne Dubois.
Il fut cadet gentilhomme à l'île de Ré jusqu'en 1785. En 1783, il s'embarqua pour aller servir dans le régiment de la Martinique. Il fit naufrage, puis revint sur le continent, et fut promu officier au régiment de Barrois-Infanterie, lieutenant-colonel.
Il fut nommé par le roi, chevalier de Saint-Louis et de la Légion d'honneur.
Il épousa à Saint-Claud, le 19 novembre 1806, Françoise Céleste Garnier de La Boissière, (veuve en premières noces d'André Emmanuel de Salignac-Fénelon, ancien porte-étendard des chevau-légers de la garde du roi, fusillé à Quiberon le 2 août 1795), fille d'André, écuyer, seigneur du Bois et de la Boissière, et de Françoise de Salignac de La Maingoterie. (Elle décéda à Confolens le 30 septembre 1833).
Soupçonné d'émigration à la Révolution, il fut amnistié le 20 Vendémiaire an XI.
Il exerça un temps les fonctions d'entreposeur des tabacs, et de juge de paix, à Confolens.
Sous le premier Empire, il fut élu par le Sénat conservateur, le 18 février 1808, député au corps législatif. Ce choix du Sénat ratifia le vœu des électeurs de l'arrondissement de Confolens, qui l'avaient élu candidat par 37 voix sur 70 votants.
Il resta député de la Charente jusqu'au 4 juin 1814, puis fut à nouveau réélu député du 4 juin 1814 au 20 mars 1815.
Il décéda le 17 juin 1829, sans avoir eu de postérité. (abbé Pierre Bureau).
4) Joseph Paul, dit de LANDREVIE-MALLERET, né en 1765.
Il fut chanoine à Sainte-Geneviève, puis devint inspecteur de l'Université, sous l'Empire, et vicaire général de Meaux.
Il décéda en 1847.
5) Jean François, dit de LANDREVIE-BOISREDON, né le 8 février 1771, et baptisé le lendemain à Saint-Maxime de Confolens.
Il fut chevalier de Saint-Louis.
Soupçonné d'émigration à la Révolution, il fut amnistié le 20 Vendémiaire an XI.
Il décéda sans alliance à Confolens, le 20 janvier 1840. (abbé Pierre Bureau).
6) Jean Hyacinthe Louis, né le 3 juillet 1772, et baptisé le lendemain à Saint-Maxime de Confolens.
Il fut amnistié le 28 Fructidor an X.
Il décéda à Paris le Ier février 1817. Il était alors maréchal des logis des gardes du corps du roi, et demeurait au Vigean (Vienne). (abbé Pierre Bureau).

VIII) BARBIER de LANDREVIE-VILLETTE François Barthélémy, (Saint-Maurice des Lions), né le 24 août 1762, et baptisé le même jour à Saint-Maxime de Confolens.
Il fut garde du corps du roi, chevalier de Saint-Louis.
A la Révolution, il émigra à Coblence, en août 1791, avec Monsieur de Salignac-Fénelon, invitant les autres nobles à faire comme lui. Au cours de sa correspondance avec Duclos de Laganne, une lettre compromettante fut saisie.
Il fit sa déclaration devant le préfet de la Vienne, le 2 Prairial an X, et fut amnistié le 28 Fructidor an X. (abbé Pierre Bureau).
En 1801, il rentra au château du Vigean, alors loué par sa mère.
Protégé du duc de Richelieu, il fut nommé sous-préfet de Confolens en 1814, et le resta jusqu'au 6 août 1830. (Ce jour là, il adressa sa démission au préfet, Armand Jahan de Belleville) (Pierre Boulanger).
Il décéda à Confolens, le 23 janvier 1834.

Branche de MAIILARD de LANDREVIE :
VIII) BARBIER de LANDREVIE Pierre, né le 25 novembre 1758. Il fut baptisé le même jour à Saint-Maxime de Confolens, écuyer.
Il fut garde du corps du roi.
Le 25 mai 1789, il épousa à Rancon (Haute-Vienne), Marie Charlotte Bonnin de Grandmont, fille de Charles, écuyer, seigneur de Puymartin, le Croc, Chabanne, etc., et de Marie Anne de Lavalette des Houmeaux.
Il fut soupçonné d'émigration à la Révolution, et sa femme ayant obtenu le divorce, l'obtint le 5 Pluviose an II, à Bellac.
Pierre fit une pétition pour obtenir sa radiation de la liste des émigrés, où il déclara s'être caché parce qu'on voulait l'assassiner, ajoutant qu'il avait réclamé à Montbrison (Loire), le 12 Thermidor an III, toujours contre son inscription sur ladite liste des émigrés. Il produisit aussi 4 certificats attestant de sa résidence à Montbrison et à Neilize (Loire), d'octobre 1791 au 25 Fructidor an V. Cependant, sa pétition n'aboutit à rien.
Le 28 Floréal an X, il fit sa déclaration devant le préfet de la Haute-Vienne, et fut amnistié le 28 Fructidor an X.
Il contracta un nouveau mariage civil avec Marie Charlotte Bonnin de Grandmont, son ex-femme, à Bellac (Haute-Vienne), le 16 Messidor an X. Elle décéda à Saint-Maurice des Lions, le 10 mars 1806.
Lui-même décéda à Confolens, le 18 janvier 1810, étant alors juge de paix.
Pierre et Marie-Anne eurent pour enfant : (abbé Pierre Bureau).
Ils eurent pour enfant :

IX) BARBIER de LANDREVIE François Jules, qui épousa Anne Marie de Lavaud.
Est-ce lui qui fut élu conseiller municipal de Confolens, le 9 juin 1840 (avec 9 autres), et qui prêta serment le 13 juillet suivant ? (Pierre Boulanger).
Le 19 août 1845, un BARBIER de LANDREVIE fut victime d'un accident de la voiture d'Angoulême à Confolens. Les entrepreneurs lui offrirent 1000 francs à titre de dédommagements, qu'il offrit ensuite au bureau de bienfaisance. (Pierre Boulanger).
De cette union naquirent :
  a) Louis, qui épousa Marie Noualhier, fille de Paul et de Magdeleine Ruben de l'Ombre de La Condamine.
Il décéda en 1910.
b) Anne Marie, née en 1845.
Elle épousa Hubert Renaud de Bermondet de Cromières, marquis de Cromières, fils d'Alexis Hyppolite et de Marie Caroline de Bermondet, d'où descendance.
Elle décéda en 1916.
c) François Maxime, qui suit.

X) de MAILLARD de LANDREVIE François Maxime, né le 28 mai 1847.
Il épousa le 22 octobre 1884, Marie Solange Jeanne de Maistre, fille d'Armand Emmanuel, baron de Maistre, et de Marie Pauline de Montsaulnin de Fontenay.
Il décéda le 4 septembre 1912, ayant eu pour enfants :
  1) Anne Marie Pauline Catherine, née en 1885.
Elle épousa en 1909 Louis de Coustin du Masnadaud, marquis de Masnadaud, fils d'Henri et de Marie de Félix du Muy.
Elle décéda le 6 novembre 1958, ayant eu une descendance, qui habite toujours le château de Landrevie.
2) Anne Marie, née en 1887. Elle décéda en 1893.
3) Renée Radegonde Marie Solange, née le 29 mai à Poitiers. Elle décéda en 1894.
4) Ignace Ivan Marie Pierre, né le 15 mai 1891, comte de Landrevie, officier de cavalerie.
Il épousa en 1946 Christiane de Châteaubodeau.
Il décéda le 7 octobre 1958, au château de Landrevie.
5) Elisabeth, née en 1892. Elle décéda en 1942.

Branche cadette :
III) BARBIER Léonard.
Il épousa Anne Tiffonnet. (Elle décéda en 1611).
De cette union naquit :

  1) Jacques, qui suit.
2) Jean, né le 9 mai 1609 à Confolens.
Il épousa Marie Riffaud.

IV) BARBIER Jacques, né le 18 mars 1603.
Il épousa Suzanne Desvaux.
Il décéda en 1664, ayant eu pour enfant :
  1) Marie, née le 4 décembre 1633.
Elle épousa le 23 septembre 1659, Joseph Pougeard.
Elle décéda le 27 mars 1697, à Confolens.
2) Jehan, né en juillet 1639, et baptisé le 9, à Confolens.
3) Pierre, qui suit.
4) Françoise, qui décéda en décembre 1659.
5) Suzanne, née en 1642, et baptisée le 8 novembre à Saint-Maxime.
Elle décéda le 3 novembre 1654, à Confolens.
6) Catherine, née le 16 juin 1644.
7) Jeanne, née le 7 janvier 1647.

V) BARBIER Pierre, né en 1641.
Il fut avocat au parlement.
Il épousa le 12 juillet 1662, en l'église Saint-Maxime de Confolens, Anne Chazaud.
Il décéda le 19 février 1691, ayant eu pour enfant :
  a31) Suzanne, qui épousa le 19 février 1691, à Manot, Jacques Boreau.

Branche de la GRANGE (Ansac sur Vienne) :
II) BARBIER Jehan,
En 1604, il était dit possédant la terre de Villechaise (Saint-Maurice des Lions). (Jacques Dumont).
En 1614, il était avocat au présidial d'Angoulême, et juge assesseur à Confolens.
Il assista comme oncle maternel du futur, au contrat de mariage de Jehan Mondot, écuyer, seigneur de Laleu, avec Anne Riffaud, le 20 octobre 1650.
Il fit un acquêt, le 10 juillet 1651, d'Anne Riffaud, veuve de Jean Mondot, et de Jean et Pierre Mondot. Il était dit à cette date seigneur de Lésignac (Saint-Maurice des Lions), demeurant au lieu noble de la Grange, (commune de Nanteuil en Vallée ), et juridiction d'Aizecq, en Angoumois.
Il épousa Marguerite de La Grange, dont il eut pour enfants, entre autres :
  1) Marguerite, qui épousa en premières noces, le 28 juillet 1614 (Dutiers, notaire), Jehan Mondot, écuyer, seigneur de la Croze, fils de feu Maurice, écuyer, seigneur de Laleu, et de Marie BARBIER.
Ils firent leurs testaments le 24 mars 1634, et donnèrent leurs biens à leurs enfants.
Marguerite était veuve le 27 avril 1635, date d'un échange fait par elle à cette époque, avec François Mondot, sieur de la Vergne.
Elle épousa en secondes noces, avant le 4 janvier 1650, Joseph de La Borderie, sieur de Chez Bonneau.

Autres noms se rapportant à la branche de la GRANGE :
- BARBIER Jean, écuyer.
Le 21 juin 1707, il était dit demeurant en sa maison noble de la Grange. (Jean-Paul Gaillard).

- BARBIER François, écuyer, sieur de la Grange.
D'argent à un chevron de gueules accompagné de trois molettes à cinq pointes de sable, posées deux en chef et une en pointe.
blason de François Barbier
Son blason lui fut attribué lors de la création de l'Armorial Général de la France, dressé par Charles d'Hozier.
Il fut enregistré dans le registre du 18 mai 1699.
(J. MOREAU de PRAVIEUX, dans son ouvrage sur l'armorial général de la France dressé par Charles D'Hozier - généralité de Limoges, se trompe lorsqu'il décrit ce blason avec un chevron de couleur pourpre. L'original montre bien un chevron de gueules).

- BARBIER François, écuyer.
Il était qualifié en 1735 de seigneur de la Grange. (Jean-Paul Gaillard).

- BARBIER Magdeleine, épousa Hippolyte de Pontbriand. En 1748, ce dernier se qualifiait de seigneur de la Grange. (Jean-Paul Gaillard).

(*) Branche du CHIRON (Saint-Maurice des Lions :
III) BARBIER Pierre, sieur de Landrevie (Saint-Maurice des Lions).
Il épousa Marthe de La Haye, et eut pour enfant, au moins :

IV) BARBIER Etienne, sieur de Landrevie, du Chiron.
Il habitait Ambernac, le 26 décembre 1657, comme on peut le voir sur un acte de cette époque, dans lequel il fut cité comme témoin. Puis il habita ensuite à Confolens.
Il épousa en premières noces, le 14 janvier 1681, à Abzac, Catherine Reyne, ou Reix (habitant le château de Serre, paroisse d'Abzac), fille de feu Jammet Reyne, sieur de Darnat, et de Marie Mourgaud.
De cette union naquirent :
  1) Marthe, qui épousa le 27 août 1713, à Abzac, Joseph Plumant, sieur de Villambeix, fils de feu Pierre, sieur de Villambeix, et de Marie de Limagne.
Elle demeurait alors à Saulgond.
2) Jacques, sieur de Fournioux. Il épousa en mars 1715, à Abzac, Jeanne Couraud, fille de Paul, et de feue Anne Baltou.
Ils eurent pour enfant, au moins :
  a) Jeanne, qui épousa le Ier mai 1735, à Abzac, Jean Chaneaud, maître chirurgien, habitant le bourg d'Oradour Fanais, fils de feu Jean et de Françoise Jourdaneau.
Les témoins de ce mariage furent : Luc Dansais, sieur de la Coste, tuteur de la femme, Philippe et Etienne Barbier, frère et oncle de la femme.
Une opposition à ce mariage, formulée par Joseph Plumant de Villoubé, fut levée le 9 février 1735.
Il épousa ensuite en secondes noces, en septembre 1696, à Abzac, Jeanne Puisset, fille de Louis, sieur de la Perche, et de Elie Rousseau. Les témoins de ce mariage furent Jacques Thorigné, procureur fiscal d'Availles, et Louis Baraud.
Etienne eut pour enfant de sa seconde union, au moins :
  3) Françoise, qui épousa le 27 mai 1720, à Abzac, François, alias Etienne Rempnoux, sieur de Villatte, habitant à Availles-Limousine, fils de feu François, et de Jeanne Thenaud.
Il y avait un degré de consanguinité au troisième degré.

(*) Autre branche, de la région d'ABZAC :
I) BARBIER Jean, né vers 1744.
Il exerça la charge de notaire procureur des châtellenies d'Abzac et d'Availles.
Il épousa le 19 février 1770, Marie-Anne Corderoy, fille de Jacques, sieur de la Noze, et de sa première femme, Anne Laurent.
De cette union naquirent :
  1) Françoise Julie, qui épousa le 18 décembre 1786, à Abzac, François Corderoy (né le 11 avril 1761, sieur de Lauderie, habitant Availles-Limouzine), fils de Nicolas, sieur de la Bussière, bourgeois, et de Marie Anne Churlaud.
Les témoins de ce mariage furent :
- François de Couhé de Lusignan, sieur de Fayolle.
- Jean BARBIER, juge d'Abzac et de Brillac, habitant Saint-Germain de Confolens.
- Antoine Maisondieu, notaire à Abzac.
Ils eurent au moins trois enfants : Nicolas, Jean, et Françoise.
2) Marguerite Sophie. Elle épousa le Ier février 1790, à Abzac, François Desvaud (habitant Mézières), fils d'Antoine, bourgeois, et de feue Jeanne Jaurat.
Les témoins de ce mariage furent :
- François de Couhé de Lusignan, écuyer.
- François Corderoy, sieur de Lauderie, bourgeois, beau-frère de Marguerite Sophie.
3) Radegonde, qui épousa le 19 février 1800, à Abzac, Louis François Bernardeau (né en 1776, habitant Pressac), fils de Jean Baptiste et de feue Catherine Thomassin.

Autres noms se rapportant à la branche de la région d'ABZAC :
(*) - BARBIER Jeanne. Elle épousa le 21 janvier 1671, à Abzac, Léonard de Chabanne.

(*) - BARBIER Charlotte-Marie. Elle épousa le 16 février 1708, à Abzac, François Genty, apothicaire, habitant Bellac (Haute-Vienne).

(*) - BARBIER Magdeleine. Elle épousa le 3 février 1723, à Abzac, Pierre Dupin, écuyer, sieur de Masjoubert, habitant Saulgond.

Noms isolés :
- BARBIER Marie, qui épousa, par contrat du 7 août 1651, François de Barbarin, écuyer, sieur du Cluzeau.

- BARBIER François, avocat en Parlement.
Il épousa en 1761, Marie-Françoise Babaud, fille de Jean, sieur du Mas de La Roche, et de Françoise Boreau des Costes.

- BARBIER N., était procureur fiscal d'Alloue, en 1777.

- BARBIER Jacques, propriétaire à Alloue. Avec plusieurs autres personnes du même nom, ils furent délégués par leur communes, pour assisté à l'assemblée tenue à Poitiers en 1789, pour nommer des députés aux Etats Généraux.

- BARBIER Suzanne, habitante des environs de Confolens.
Elle épousa, vers 1800, Charles-François-Gabriel Prévost-Sansac, marquis de La Vauzelle.

- BARBIER Gabriel, chevalier, seigneur de Luison.
Le 9 novembre 1732, étant capitaine dans le régiment de Clermont-Cavalerie, et comme héritier des frères d'Hauteclaire, il vendit le Caduceau (Montignac le Coq), à Pierre Gaston de Saulnier, chevalier, seigneur d'Argentine. (Jean-Paul Gaillard).

(*) apport généalogique fourni par Mme Elise CHAGOUX-POUGETOUX.
-
BEAUCHET-FILLEAU : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou.
- Jean-Paul GAILLARD : articles sur la Grange (Ansac sur Vienne), le Caduceau (Montignac Le Coq), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Jacques DUMONT : articles sur Landrevie et Villechaise (Saint-Maurice des Lions), dans Châteaux, manoirs et logis de la Charente - Association Promotion Patrimoine.
- abbé Pierre BUREAU : Les émigrés charentais.
- Pierre BOULANGER : Confolens au XIXème siècle.
- José D
ÉLIAS : article sur les Broues (Saint-Claud), dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Jean-Paul GAILLARD et Bruno SÉPULCHRE : article sur le Bourgnaud (Saint-Maurice des Lions),
dans Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente - Librairie Bruno Sépulchre.
- Armorial Général de la France, dressé par Charles d'HOZIER, publié par J. MOREAU de PRAVIEUX.
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